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    Près du England 's Bristol Zoo existe un parc de stationnement pour 150 voitures et 8 autocars. Pendant 25 ans, la gestion du parking a été effectué un sympathique monsieur fort efficace. Les prix étaient de 1.40 € pour les voitures et de 7.00 € pour les autocars.

     

    Un jour, après 25 ans de bons et loyaux services, sans défection, le petit monsieur n'est pas venu travailler.

     

    L'administration du zoo, a donc appelé la mairie et a demandé qu'elle envoie un autre employé.

     

    La mairie a effectué une petite enquête et a déclaré que le stationnement était à la charge du Zoo.

    Ce à  quoi, la direction du zoo a répondu que l'agent du parking était un employé municipal.

     

    La mairie a affirmé qu'il s'agissait d'une erreur car cette personne n'a jamais fait partie de son personnel et qu'elle ne lui versait aucun salaire puisque simplement et définitivement inconnue de ses services.

     

    Pendant ce temps, quelque part "au soleil", dans une belle villa, il y a un homme qui, apparemment avait organisé son propre dispositif de paiement de parking et s'est consacré tous les jours, pendant 25 ans à la percetion du prix du stationnement des visiteurs du zoo...

     

    Cet homme a travaillé sept jours par semaine. Un rapide calcul permet de dire qu’il a amassé en moyenne la coquette somme de 600€ chaque jour...

     

    Cela, au bout de 25 ans, peut lui avoir assuré environ 7 millions d'euros : c’est une très belle retraite. Elle ne coûte rien à la communauté.

     

    Il est à noter que personne n’a jamais eu besoin de connaître ni son nom, ni son adresse pendant les 25 ans de sa présence sur le parking.

     

    Elle n'est pas belle la vie ?

    Inutile de ne recourir qu'à un pôle emploi !

    Lui n'a fait que preuve d'imagination…





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  • MP-J-ose-et-j-assume-07-09.jpg




    "Autrui" dans mes mots est femme, mari, enfant(s), ami(e) ou collègue…

    Depuis des années j’ai appris à me passer de chaque autrui néfaste pour moi…

    Souvent se passer d’un autrui impose de le désaimer et cela est très difficile…

    Chacun de nous peut lui aussi ne plus laisser un seul autrui lui voler sa vie…

     

     

     

    Vie passée dans la dépendance d’autrui est odieuse

    Nous disposons en nous des moyens d’y mettre fin

    Ce qui contrarie notre succès se sont nos scrupules

    Apprendre à dire non c’est retrouver un peu de liberté

     

    Atteindre autant que nous sommes atteints est légitime

    La force d’autrui c’est notre silence qui est acceptation

    Autrui n’a pas le droit de nous encaver dans notre vie

    J’ai appris de la vie que je devais y exister aussi pour moi

     

    Il y en a capables de nous aimer dans cette disposition

    Eux aussi sont en révolte contre un autrui vampirique

    Avec un autrui égoïste je deviens plus égoïste que lui

    Avec un autrui méchant je deviens plus méchant que lui

     

    Avec un autrui néfaste pour moi je deviens néfaste pour lui

    Avec les autres j’aime être moi et je sais qu’ils aiment cela

    Chacun de nous doit accepter de s’écouter simplement

    Chacun de nous a toutes les réponses en lui toujours

     

    Aucun de nous ne doit passer une vie à ménager autrui

    Autrui ne tient lui sa force que tant qu’il nous connait

    Autrui n’abuse que de nos faiblesses et de nos scrupules

    Autrui réussit cela tant que nous commettons l’erreur de l’aimer

     

    Aimer ce n’est pas être à la disposition des exigences d’autrui

    Aimer c’est être avec autrui dans le simple partage d’amour

    Rien ne nous oblige à supporter autrui blessant et méprisant

    Tous pouvons inviter autrui à aller jouer avec un autre autrui



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  • MP-Qu-entre-vous-et-moi-07-09.jpg


    Je suis tagué.

    Je déteste être tagué mais je fais : par amitié, par faiblesse, par jeu ?

    Je cherche la réponse à cette terrible question.

    Pour le moment, j’ai trouvé celles de ce tag.

    Je ne peux pas tout faire en même temps !

     

    1

    Si dans ta future vie tu devais être un animal : lequel serais-tu et pourquoi ?

     

    Un condor pour voler heureux et libre dans les vallées andines.

    Pour m’y espérer alors y être protégé de la bêtise humaine.

     

    2

    Si tu étais un aliment lequel serais-tu ?

     

    Un pois chiche car j’adore ça !

    Je suis toujours aussi traumatisé qu’un jour « on » ait osé me servir un couscous sans le plus petit pois chiche : une hérésie ! J’adore le couscous entre autres…

     

    3

    Si tu gagnais au loto "Imagine que tu y joues !" Que ferais-tu et pourquoi ?

     

    Je retournerai vivre en Nouvelle Calédonie.

    C’est un rêve puisque j’y suis né.

    J’en suis privé depuis ce qui me semble être des centaines d’années.

    Enfin vivre dans cette île, la mienne, aussi somptueusement belle que trop loin.

    Le voyage est hors de prix !

     

    5

    Es-tu plus du genre "J'm'en tape" ou "Je flippe" ?

     

    Je flippe, j’ai flippé et je flipperai : c’est mon karma.

    J’aime bien dorénavnt m’en taper le plus possible. De tout je me tape et surtout des personnes qui ne veulent pas ou plus de moi dans leur vie ! 

     

    6

    Quel est le défaut que tu supportes le moins chez les autres ?

     

    La connerie, celle qui est méchante !

     

    7

    Qui t'a offert ta première boîte de chocolats, combien y en avait-il et de quelle marque était-elle ?

     

    J’ai dégusté des centaines de boîtes de chocolats alors impossible de me souvenir de la première. Ce devait être entre deux biberons et offerte par mes parents alors formidables et aimants. La dernière elle est parmi les dernières un assortiment énorme de chocolats de chez Jeff de Bruges, présenté dans une magnifique corbeille d’osier et je crois pouvoir dire que j’en ai mangé une bonne moitié soit une bonne trentaine au moins !

     

    8

    Pourquoi blogues-tu ?

     

    Lorsque j’aurai la réponse à cette question… je répondrai ! Impossible de savoir pourquoi j’ai ouvert un blog, pourquoi je blogue ! Ce que je peux dire c’est que je suis ravi de le faire même si cela est particulièrement prenant, trop prenant ! Je cherche à me défaire de cette addiction ! A l’aide…

     

    Je vais le regretter mais je ne vais désigner aucune victime supplémentaire pour poursuivre ce tag. Je préfère vous inviter, vous les huit que je ne tague pas, à prendre par amitié pour moi cette décision de vous taguer. Vous êtes mes meilleurs amies et amis ici, vous vous reconnaitrez, j’en suis certain !

     

    IMPORTANT : si vous deviez ne pas vous taguer et bien j’en serais alors très très déçu et effondré à vie !


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  • Sur la table 1 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Combien de casseroles restent vides trop souvent ?

    Combien de mamans n’achètent même plus l’indispensable ?

    Combien d’enfants ne croquent plus jamais dans des fruits ?

    Combien de sœurs n’ont jamais faim pour que les petits mangent ?

    Combien de papas amaigris ne mangent plus de légumes ?

    Combien de personnes âgées ne se nourrissent plus que très mal ?

    Combien de ménagères n’accordent plus qu’un bout de pain ?

    Combien de frères se sacrifient pour les autres plus jeunes ?

    Combien de petits retraités ne mangent plus à leur faim ?

    Combien d’élèves pales n’ont jamais avec eux un goûter ?

    Combien d’adultes ne mangent plus de légumes frais ?

    Combien de parents se privent du nécessaire pour les leurs ?

    Combien de citoyens sont privés de ces simples victuailles !

    Combien de personnes se battent pour avoir à mettre la table ?

    Combien de mamans et papas ne savent plus faire de miracle ?

    Combien d’enfants les regardent tristement en leur pardonnant ?

    Combien de casseroles et d’assiettes restent propres en France ?

     

     

     

     

    Sur la table 2 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Sur la table 3 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Sur la table 4 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Sur la table 5 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Sur la table 6 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Sur la table 7 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Sur la table 8 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Sur la table 9 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

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  • Le journal d'un chien…

     

    J’ai une semaine :

     

    Cela fait aujourd'hui une semaine que je suis né

    Quel bonheur d'être arrivé dans ce monde!

     

    J’ai un mois :

     

    Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire.

     

    J’ai deux mois :

     

    Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait.

     

    J’ai quatre mois :

     

    J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.

     

    J’ai cinq mois :

     

    Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas !

     

    J’ai douze mois :

     

    Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi !

     

    J’ai treize mois :

     

    Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe.

     

    J’ai quinze mois :

     

    Plus rien n'est pareil...

    Je vis sur le balcon.

    Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus.

    Ils oublient parfois que j'ai faim et soif.

    Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.

     

     

    J’ai seize mois :

     

    Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés.

     

    Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Ecoutez, attendez, vous... vous m'oubliez ! ».

     

    J'ai couru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.

     

    J’ai dix-sept mois :

     

    J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison.

    Je me sens et je suis perdu.

    Sur mon chemin, il y a des gens de cœur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger.

    Je les remercie du regard et du fond du cœur.

    J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne.

    Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre…

     

    J’ai dix-huit mois :

     

    L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abîmé l'œil et depuis je ne vois plus de celui-ci...

     

    J’ai dix-neuf mois :

     

    Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli.

    Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé.

    J'ai perdu mon œil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre.

     

    J’ai vingt mois :

     

    Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrière ne réagissent plus et je me suis difficilement installé sur un peu d'herbe au bord de la route.

     

    J’ai vingt et un mois :

     

    Cela fait dix jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger.

    Je ne peux pas bouger.

    La douleur est insupportable.

    Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe.

    Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche pas".

    Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux...

    La douceur de sa voix m'a fait réagir.

    Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"...

    Avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances".

    La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé.

     

    Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.

    Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait ?

     

    Après moi :

     

    La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés.

     

    Si tu effaces ce message et ne l'envoie pas à celles et ceux qui te lisent sur ton blog, c’est que tu n'a pas de cœur et que tu n'en as vraiment rien à faire de nous les animaux sacrifiés.

     

    Propose ce texte terrible à autant de personnes que tu peux !

    Cela ne te coûte rien !

    Si tu publies des blagues, ça ne te coûte rien non plus de publier mon journal qui ressemble à tant d’autres tristes et sordides journaux de chiens et d’autres animaux domestiques !

     

    Nous les animaux nous te seront reconnaissants et ton Cœur lui sera tranquille !


     

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    Le principe des impôts semble pouvoir s'expliquer par une logique assez simple.

    Mais beaucoup pourtant ne le saisissent toujours pas.

     

    Comme ce va être la saison des impôts, laissez-moi vous l'expliquer en des termes simples que tout le monde peut comprendre.

     

    Imaginons que tous les jours, dix amis se retrouvent pour boire une bière et que l'addition totale se monte à 100 euros (normalement, cela ferait 10 euros par personne).

     

    Mais nos dix amis décidèrent de payer cette facture selon une répartition qui s'inspire du calcul de l'impôt sur le revenu, ce qui donna :

     

      • les 4 premiers (les plus pauvres), ne paient rien

      • le cinquième paye 1 euros

      • le sixième paye 3 euros

      • le septième paye 7 euros

      • le huitième paye 12 euros

      • le neuvième paye 18 euros

      • le dernier (le plus riche) paye 59 euros

     

    Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour pour boire leur bière et semblaient assez contents de leur arrangement.

     

    Jusqu'au jour où le tenancier décida de leur faire une remise de fidélité : « Comme vous êtes de bons clients, dit-il, j'ai décidé de vous faire une remise de 20 euros sur la facture totale. Vous ne payerez donc désormais vos dix bières que 80 euros. ».

     

    Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon qu'ils auraient payé leurs taxes.

     

    Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement. Mais comment les six autres, (les clients payants), allaient diviser les 20 euros de remise de façon équitable ?

     

    Ils réalisèrent que 20 euros divisé par 6 faisaient 3.33 euros.

     

    Mais s'ils soustrayaient cette somme de leur partage alors le 5ème et 6ème homme devraient être payés pour boire leur bière.

     

    Le tenancier du bar suggéra qu'il serait plus équitable de réduire l'addition de chacun d'un pourcentage du même ordre, il fit donc les calculs.

     

    Ce qui donna ceci :

     

      • Le 5ème homme, comme les quatre premiers ne paya plus rien. (un pauvre de plus)

      • Le 6ème paya 2 euros au lieu de 3 (33% réduction)

      • Le 7ème paya 5 euros au lieu de 7 (28% de réduction)

      • Le 8ème paya 9 euros au lieu de 12 (25% de réduction)

      • Le 9ème paya 14 euros au lieu de 18 (22% de réduction)

      • Le 10ème paya 50 euros au lieu de 59 euros (16% de réduction)

     

    Chacun des six « payants » paya moins qu'avant et les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement.

     

     Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie :

     

    « J'ai seulement eu 1 euros sur les 20 euros de remise ! », dit le 6ème il désigna le 10ème et dit « toi, tu as eu 9 euros ! ».

     

    « Ouais ! dit le 5ème, j'ai eu seulement eu 1 euros d'économie ! ».

    « C'est vrai ! » s'exclama le 7ème, « pourquoi aurait- il 9 euros alors que je n'en ai eu que 2 ? Le plus riche avait le plus gros de la réduction ! ».

     

    « Attendez une minute » cria le 1er homme, « nous quatre n'avons rien eu du tout nous. Le système exploite les pauvres ».

     

    Les neuf hommes cernèrent le dixième et l'insultèrent.

     

    Le jour suivant le dixième homme (le plus riche ) ne vint pas.

     

    Les neuf autres s'assirent et burent leur bière sans lui. Mais quant vint le moment de payer leur note ils découvrirent quelque chose d'important :

     

    ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition !

    Et cela, mes chers amis, est le strict reflet de notre système d'imposition.

    Les gens qui payent le plus de taxes tirent le plus de bénéfice d'une réduction de taxe.

    Taxez les plus fort, accusez-les d'être riches et ils risquent de ne plus se montrer désormais.

     

    En fait ils vont boire à l'étranger !

     

    Pour ceux qui ont compris, aucune explication n'est nécessaire.

     

    Pour ceux qui n'ont pas compris, aucune explication n'est possible.

     

    Signé

    David R. Kamerschen Ph. D.

    Professeur d'économie


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