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Je vis sans foi mais avec la loi.
Je n’ai pas encore trouvé comment la refuser.
Je suis un citoyen…
Marc de Metz
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Jean Cocteau est le geôlier d’une merveilleuse magie
C’est celle qui s’évade des secrets de Saint-Maximin
Chaque instant de soleil y fait rire les vitraux de l’église
Les piliers le sol et la pierre s’y enivrent dans les couleurs
Jean est en Outre-seille un passeur de lumière joyeuse
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A partir d’une de mes photos.
Avoir envie de la traduire en tableau…
La mettre alors dans d’autres couleurs.
Pour qu’elle invite dans un voyage personnel.
Une autre façon de raconter ma passion des couleurs…
La photo originale est celle que je vous présente ci-dessous.
Une vieille baignoire défigurée par la rouille sur un lit de vieux bois...
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Je suis toujours ému lorsque la nature nous donne des leçons de vie. Cette fleur en perdition va renaitre de ses graines dès les beaux jours revenus l’an prochain et son cycle de vie et de beauté recommencera. C’est une fleur lorraine victime d’un été trop tardif mais qui là aura vaincu sa ténacité et détruit sa beauté. Ce cycle de vie est enviable pour nous si peu enclins à revenir après notre saison achevée. Je dédie cette fleur encore belle à cette vie que nous devrions tous pouvoir traverser en y étant heureux…
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C’est une vie d’avant en une jungle de siècles racinés
Prospérité égarée devinée réinventée qu’en nos rêves
Malheurs à inscrire qu’en contours d’une vie imaginée
Aucun bruit de vie peut engendrer au silence une trêve
Un peuple absent d’une terre verte devenue secrèteInventaire à faire d’une époque pour toujours révolue
Un arbre royal en protecteur de ces ruines se décrète
Point n’est utile qu’un autre peuple s’y trouve reclus
Hommes d’aujourd’hui en prison dans leurs arrogancesEn impossible dialogue entre lui et ceux disparus
Viol organisé d’une civilisation jamais en délivrance
Destin remisé dans la mémoire de ceux ici abattus
Visiteurs confus en contraintes comptables de la mortA pas comptés dans un retour en arrière pour savoir
Intrus désoeuvrés dans des absences de remords
Pourvoyeurs d’envies du besoin de vouloir savoir
Peuple sans autre linceul qu’une verte folie touffueCertitudes humaines stériles dans un mystère obscure
Traduction des ruines en histoire d’un peuple vaincu
Rêve vain d’offrir vie à civilisation à jamais en ratures
Aujourd’hui nous ici à la racine de siècles qui viendrontAcceptons de ces vestiges une vraie leçon d’humilité
Un jour dans cent siècles d’autres nous inventerons
Car temporelles sont nos sociétés d’autres héritées
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La Tour Camoufle, construite en 1437, porte le surnom de Jacob de Castel, dit « Camoufle », un artilleur du XVe siècle, célèbre pour son adresse. Cette vieille dame est le dernier vestige des imposants remparts baignés par des douves qui protégeaient Metz. Classée monument historique depuis 1929, la Tour Camoufle se dresse le long de la prestigieuse avenue Foch de Metz sur le square Camoufle. Arboré et très agréable, ce petit parc verdoyant est une halte pittoresque entre le quartier Impérial et la ville historique.
L’avenue Foch a été construite, par les urbanistes allemands, au début du siècle dernier sur un territoire gagné après la destruction des remparts et le comblement des fossés au cours de travaux considérables. Ils ont été effectués de 1901 à 1906.
Symbole du passé médiéval de Metz, la Tour Camoufle permet d’imaginer ce que pouvaient être la ceinture des remparts qui défendaient le sud de la ville.
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