Un « jeu » pour mettre une photo dans des formes géométriques.

Une photo de la rue Saulnerie à Metz que je transforme en mandala.

Un mandala est un porte-bonheur en même temps qu'une prière.

La deuxième image est l’une des étapes de la réalisation de ce mandala.

La troisième photo est l’original inscrit dans un format carré.

Le carré est la forme traditionnelle du mandala.

La dernière photo est celle originale d’où sont tirées les couleurs du mandala.

La rue Saulnerie débouche dans le haut du Jardin des Tanneurs.

Petit papa Noël Metz pour toi aime se mettre en Noël

Je peux là ne te montrer que le nôtre ici dans ma ville

Période pour les sages enfants de notre ville faste

Je t’invite dans l’ambiance de notre cité parée de magie

Dans ces jours joyeux je te montre le Noël en cours

Proposant à vous ceux loin de Metz d'en faire le vôtre

Pour vous permettre de chez vous notre Noël parcourir

Metz a ouvert ses marchés de Noël pour se faire belle

Novembre lorrain nous met ici qu'en jours très particuliers

Nos commerçants fragilisés redoutent un bilan néfaste

Tous nous portons en nous d’autres Noëls avec nostalgie

Une année est passée et un nouveau Noël est de retour

Je le souhaite escale heureuse dans la morosité des nôtres

Pour réussir à nous fabriquer encore merveilleux souvenirs

Dur d’être un chien trimballé partout

Le petit navigue sur une coquille de noix

Il y est impossible pour lui de sauter partout

L’autre sur son grand-yacht est à l’ombre sous un toit

Comme nous les chiens de Metz n’ont pas tous la même vie 

Photographiés depuis très loin aucun ne s’est préoccupé de moi

Sur la Moselle au pied du Temple Neuf…

Paresse pour moi tu es toujours en quête de temps

Minutes dans lesquelles je suis gaspilleur de temps

Je me clandestine en ce temps pris au temps

passant

Je me fais seul comptable de ce temps alors

dissipé

Je m’immersionne dans ce temps là avec

délectation

Paresse tu es amie de mon temps de temps en temps

Minutes dans lesquelles je coupe le temps en quatre

Je me fais alors que légitimement du très temps

bon

Je me fais ce temps sans temps pour prendre le

temps

Je me fais entre du temps précieux du temps

perdu

Paresse tu es amie de mon temps passé hors du temps

Minutes dans lesquelles je me réfugie en temps mort

Je veux ignorer que ce temps perdu me coûte du

temps

Je veux acheter du temps présent pour avoir du

temps

Je veux du temps entre temps passé et temps

futur

Paresse tu es rare dans mon temps privé de temps

Minutes affranchies trop peu de mes temps occupés

Je sais rester gestionnaire de ce temps débouté

d’infini

Je sais réserver ce temps au temps

fatigué

Je sais que le temps passe trop

vite

Un jour je serai au bord d’un lagon

Des paréos chatoyants claqueront sous le vent

Au bout de la plage joueront des enfants heureux

Le sable blanc sera la couche de pirogues à balancier

La barrière de corail sera diadème sur l’horizon

Les cocotiers graciles flirteront avec le ciel

L’air sera parfumé de subtiles fragrances

Un jour...

Tableau : Marc de Metz…

L’amitié est pour moi et reste pour moi un bien précieux.

Elle l’est pour moi tant qu’il y a de la magie dans ses échanges.

Tant qu’elle se passe dans le respect de la liberté de l’autre : d’être.

Tant que cette amitié apporte à chacun du bonheur des joies du plaisir.

Je ne laisse sur nos blogs jamais mon amitié risquer de blesser par des mots.

Je ne m’y sers jamais du droit de tout dire au nom d’une vérité et d’une honnêteté.

Je lis sur des blogs des mots qui ne me racontent que mensonges et manipulations.

J’y laisse leurs auteurs s’y vautrer dans de tristes écrits auprès d’un auditoire conquis

Je me satisfais de n’avoir ni le temps ni le besoin ni le goût de dénigrer de blesser de peiner.

Rester loin des turpitudes de leurs inutiles harcèlements est une intrinsèque décision intime.

J’ai la chance d’aimer l’amitié mais de savoir la refuser quand elle autorise autrui à me blesser.

L’amitié n’est pas encore pour moi droit de prétendre régir la vie de l’autre à ma convenance.

L’amitié ne me donne pas l’envie d’être déplaisant vis-à-vis d’un ami sous couvert d’une vérité.

Je pardonne beaucoup en amitié mais jamais ce que je sais être une transgression volontaire.

Lorsque je ressens cela je tourne le dos mais sans jamais accabler l’autre de mes errements.

L’amitié est pour moi un bien précieux qui ne perdure que dans le respect de la vie de l’autre.

L’autre a le droit de ne plus me vouloir pour ami et je me suis donné ce droit il y a longtemps.

Je peux l’assumer sans haine et sans ne jamais prendre personne en otage dans mes erreurs.

Puisse plus personne n’attendre de moi que je reste son ami après que la magie n’opère plus.

Une rupture en amitié n’est plus jamais pour moi un au revoir mais un adieu qui m’attriste.

Ces mots sur l'amitié sont ceux que j'ai laissé en commentaire, sur le blog de mon amie Mireille du Sablon, il y a quelques semaines. Pour découvrir son blog qui lui aussi parle de Metz, il vous suffit de cliquer doucement sur :

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