• Retrouver mon blog après une récréation en amitié

    Pour de nouveaux moments avec vous partagés

    Me plonger dans l’urgence par moi alors décidée

     

    Pour

     

    Réussir à vous répondre en publiant mes mots

    Réagir aux chaleureux commentaires réceptionnés

    Ne pas être absent trop dans ce très beau contexte

     

    Pour

     

    Lire chacun de vos écrits envoyés en abondance

    Ecrits quelques heures seulement délaissés

    Les découvrir dans de personnelles émotions

     

    Pour

     

    Consacrer des heures à répondre en travail appliqué

    Moments bonheur solitaire inventoriés en amitié

    Aimer être là au bord de mon clavier très occupé

     

    Pour

     

    Limiter retard des réponses à vos commentaires

    Effacer l’absence dans des mots alors trop remisés

    Assurer à nos blogs belles relations élémentaires

     

    Pour

     

    Faire vite pour ne pas risquer de vous froisser

    Vaincre coup de fatigue en solitude dans mes mots

    Faire raisonnable alors pour ne pas être dépassé

     

    Pour

     

    Me pardonner de ne pas être plus présent toujours

    Me mettre en temps pressé pour effacer mon retard

    Me souvenir que chaque commentaire est lien affectif

     

    Pour

     

    Assumer d’avoir délaissé son clavier pour vivre ailleurs

    Ne pas regretter joie dans mes affaires en amitié d’ici

    S’accepter surtout de ne jamais n’être que perfectible

     

    Pourquoi

     

    Parfois il m’est impossible d’être en votre compagnie

    Quand de vous je suis éloigné dans ma vie d’ici je suis

    Nécessaire alors de vous le confier dans ces mots là

     

    Pourquoi

     

    Par amitié pour vous après vos visites et commentaires

    J’aime partager des mots lorsqu’ils nous rapprochent

    Ils me permettent de dire mon amitié dans ces mots écrits

     

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  •    

     

     

     

     

    Il n'y a pour l'homme que trois évènements...

     

     
    NAITRE
    VIVRE
    MOURIR
     
    Il ne se sent pas  naître
    Il souffre à     mourir
    Il oublie de          vivre
     
     
     
     
    Les caractères / LA BRUYERE
     

     

     

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  • J’accuse du retard dans ma poésie mes écrits

    Je me sais pris par mes heures différentes d’été

    Je n’ai de mon temps à offrir que des débris

    J’accuse du retard je le crains dans votre amitié

     

    Tu peux ami(e) m’en tenir seul responsable

    Tu ignores combien je suis de ce fait affecté

    Tu peux m’imaginer en amitié devenue instable

    Tu dois me savoir être là extrêmement ennuyé

     

    Il / elle pourtant m’accorde son amicale présence

    Il / elle continue à venir me visiter toujours

    Il / elle ignore que je suis ces jours en absence

    Il / elle lit mes mots mis pourtant là qu’en débours

     

    Nous sommes trop dans nos mots des artisans

    Nous devons nous obliger à prendre ce recul

    Nous ne voulons pas de la poésie être courtisans

    Nous aimons de votre retrait pouvoir être émules

     

    Vous savez mettre vos blogs en belles vacances

    Vous vous nous donnez rendez-vous plus tard

    Vous réussissez à laisser vos claviers en souffrance

    Vous vous annoncez de nous en douce instance

     

    Ils /elles visitent nos blogs délaissés sans nous le dire

    Ils / elles laissent rarement chez nous des commentaires

    Ils / elles prennent en notre absence le temps de se divertir

    Ils / elles à nos mots d'avant ne sont pas réfractaires



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  • Oui

    Enfin

    Lundi

    Semaine

    Une semaine

    Une autre semaine

    Une semaine particulière

    La dernière avant que ne je vieillisse

    Pas de grand-chose en fait que d’une année

    Juste une nouvelle année de plus dans ma collection

    Je suis un collectionneur d’anniversaires depuis longtemps

    C’est un ultime lundi dans mes cinquante-cinq ans qui commence

    Bien entendu ce n’est pas une semaine sainte qui m’arrive aujourd’hui

    Juste une semaine qui est là en au revoir d’une année dans laquelle j’ai vécu

    Je vais la vivre comme celle d’avant et comme celle d’après

    Je vais la partager en amitié surtout comme un cadeau

    Personne de ma famille ne sera là car tous sont ailleurs

    Je ne suis pas triste de leur absence volontaire

    Bien trop d’amour et d’amitié me sont offerts

    L’amour des siens n’est donc pas vital

    Car sans lui j’aime vivre ma vie ici

    C’est une semaine particulière

    Elle est unique dans ma vie

    Pourtant une autre viendra

    Elle sera suivie d’une autre

    Je collectionne les anniversaires

    Ma collection n’est pas complète

    J’ai besoin d’en attendre d’autres

    C’est une semaine qui commence

    Une semaine particulière

    Une autre semaine

    Une belle semaine

    Une semaine

    Ce sont des

    Secondes

    Minutes

    Heures

    Jours

     

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  • Aujourd’hui est jour de mémoire de tous nos deuils

    Deuils anciens plus douloureux que deuils récents

    Récents départs déclarés sur papiers administratifs

    Administratifs règlements qui font déclarer un deuil

    Deuil porté pour celui d’un être aimé dans pudeur

    Pudeur de ne pas prétendre le partager avec l’après

    L’après avec l’absence pour bagage de vie est intime

    Intime décision de faire vivre la vie disparue en soi

    Soi dans un deuil impossible se perd entre avant et là

    Là sans un là-bas avec l’absent est une escale solitaire

    Solitaire apprentissage de jours et de nuit sans l’autre

    L’autre devenu image diaphane au bout de longtemps

    Longtemps est purgatoire dans vie en solitude imposée

    Imposée est tradition d’un jour à vivre dans nos souvenirs

    Souvenirs jamais oubliés dans notre présent vide d'eux


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  • undefined

    IL EST A L'USAGE CEUX QUI TRAVAILLENT OU VIVENT
     AVEC DES MOSELLANS


    (Indispensable pour une bonne intégration, en particulier dans notre département de la Moselle)



    En Moselle on ne dit pas :
     
    Ce que tu manges là : c’ est bon?
    on dit : ça schmeckt ?
     
    Comment vas-tu ?
    on dit : comment qu'c'est, gros ?
    (gros indique qu’on parle à un pote)
     
    Dégage !
    on dit : Wek !
     
    On y va ?
    on dit : gemma ?
     
    On rentre à la maison ?
    on dit : gemma hem ?
     
    Je suis crevé(e) !
    on dit : je suis schlass !
     
    On se fait un café pour se donner des nouvelles de tous ?
    on se dit : tu viens, on se fait café Klatsch !
     
    On ne dit pas un morceau (gâteau, tarte, même de sucre…)
    on demande/accepte un schtuk de gâteau
     
    J’aime bien aussi me bécoter avec une femme !
    on dit : j'aime bien aussi Schmouzer avec une femme
     
    T'aimes bien schmouser ? Oh oui je suis un gros schmouseur !
    Schmouser : câliner, flirter, embrasser…
     
    schmirer : façon très conne d'étaler/d’aggraver
    (une tâche de soupe sur un chemisier par exemple).
     
    En Moselle encore on ne dit pas :
    "il dit des bêtises", on dit:"il parle bête !".
     
    IMPORTANT : on dit obligatoirement :
    "je monte en haut !" ou "je descends en bas !"
    "là haut" est utilisé systématiquement au lieu de "là bas".
    Même si c'est en bas ?
    Encore un truc mosellan !
     
    En hiver les petits mosellans ont souvent la schnoudel naz !
    (la morve au nez!) !
     
    Bon... ben oui, ici on vous montre sa schness... (sa figure) !
     
    En Moselle on ne dit pas :
    "je conduis un autobus"mais on dit "j'ch'roule le kaaar / la voiture !"
     
    Y a t’il encore des artisans qui travaillent au noir ?
    on dit : au "schwartz"?
     
    Ici il faut savoir ce qu'est un minch ?
    C’est un jeune voyou !
     
    Je pense que c'est typiquement messin :
    boulibatch de la boue ?
     
    On ne dit pas s’habiller
    on dit : se brailler !
     
    On ne dit pas : arrête de te balancer sur ta chaise !
    on dit : arrête de clouncher !
     
    Un moineau ici c’est un spatz !
     
    Une personne de petite taille, ici c'est un/une ratz !

    Quand on a jeté quelque chose violement...
    on dit  j’ai schlaqué, par exemple, mon imper sur le canap’ (canapé)
     
    A suivre…

     

     

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