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Depuis le 12 septembre et jusqu’au 5 mars 2012, la Grande Nef du Centre Pompidou-Metz est la galerie n° 1 sont transformés en un fascinant labyrinthe d’art. 80 artistes y sont exposés, plus de 200 œuvres y sont à découvrir. Je vous invite pour une première visite dans les différents chapitres de ce voyage initiatique dans l’univers passionnant et mystérieux du labyrinthe.
Voici une partie de ce que j’ai découvert en parcourant chacun des 8 chapitres de l’exposition «Erre, variations labyrinthiques ». Ces huit chapitres sont :
Le labyrinthe architectural
L’espace-temps
Le labyrinthe mental et la mémoire
La ville, dédale moderne
Des bouleversements perceptifs
Contrainte/prison/protection
Initiation/édification
Le labyrinthe comme métaphore artistique
Cette très belle exposition présente de la peinture, de l’architecture, des œuvres pénétrables, des sculptures et diverses collections. Plusieurs objets archéologiques, des films, des plans et des cartes nous invitent dans le monde du labyrinthe. Il est curieux, ludique, parfois mystique, rarement inquiétant parfois sage et parfois déluré.
Ces premières photos sont celles des œuvres à découvrir dans la Grande Nef du Centre Pompidou-Metz.
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Passe devant moi ethnique tatouage
Passe devant moi fille au bel âge
Passe sans me parler
Passe sans me choquer
Passe et ne me voit pas
Passe et s’en va
Place de la gare à Metz…
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Lion sot doit apprendre la vie sa mère veilleL’eau pale trouvée dans une mare lui permet de jouer
En vieux un lion adulte de loin les surveille
La mare elle n’est pas jeu pour ce petit sans danger
Dans le ciel les vents taillent des nuages en taches infinies
Et frayent aussi quelques timides poissons assoiffés
Un désert tique au loin horizon pays en terribles vies
La douce heure du jeu s’achève en éclairs pitonnés
Le son de vie en Afrique impose vacarme en orage
Teinte à mare la pluie s’invite en chutes bruyantes
Par chemins alors trempés la savane change d’images
Ecrit vain celui qui prétend décrire cette vie grouillante
Lionceau doit apprendre la vie sa mère veille
L’opale trouvée dans une mare lui permet de jouer
Envieux un lion adulte de loin les surveille
La marelle n’est pas jeu pour ce petit sans danger
Dans le ciel l’éventail des nuages en taches infinies
Effraye aussi quelques timides poissons assoiffés
Au loin un désertique horizon pays en terribles vies
La douceur du jeu s’achève en éclairs pitonnés
Leçon de vie en Afrique impose vacarme en orage
Tintamarre la pluie s’invite en chutes bruyantes
Parchemins alors trempés la savane change d’images
Ecrivain celui qui prétend décrire cette vie grouillante
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Voici ce que nous avons eu plaisir à découvrir aux Trinitaires. Les Trinitaires sont installés sur une partie du site où se trouvait la fastueuse Cour d’Ord des rois d’Austrasie dont Metz était la capitale. Nous avons admiré, dans la Salle Robert Ochs, elle est l’ancienne chapelle du couvent de l’ordre des Trinitaires. Il possède un magnifique cloître dans lequel était installée une animation visuelle et sonore : La passion selon Judas. Nous avons trouvé que les animations lumineuses installées dans la Chapelle était fabuleuses, la première sous la forme d’un tunnel de lumière qui seul éclairé la partie basse de ce lieu et le seconde à l’étage absolument magique sous ces ogives ancestrales. De cette hauteur, j’ai découvert un nouveau point de vue pour moi sur l’église Sainte-Ségolène avec ses deux tours.
Pour accéder à ces merveilles, nous avons passé près de trois quarts d’heure dans une longue file d’attente et nous ne l’avons pas regretté. A l’inverse, nous avons renoncé à renouveler cela pour ne pas passer cette nuit enfermés. Partout la foule était impressionnante.
Tout doucement, nous sommes redescendus de la colline des Hauts de Sainte-Croix. Nous avons délaissé les Musées de Metz à cause de la foule. Nous avons traversé la place d’Armes entre l’Hôtel de Ville et la cathédrale et nous nous sommes rendus sur la place du Forum du centre commercial Saint-Jacques. Une formidable mise en scène nous y attendait. La grande verrière qui éclaire le centre avait été transformée et magnifiée par un jeu de lumière et la place était elle devenue une jungle incroyable dans laquelle il y avait un zoo imaginaire.
Voir ou revoir le précédent article sur la Nuit Blanche 4 :
Nuit Blanche 4 de Metz 2011 / Promenade dans la lumière...
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Gorze est à vingt kilomètres au sud de Metz. C’est un village qui s’impose comme ayant eu un très riche passé. Tant de traces de ces différentes époques étant encore visibles il en devient très attachant, pour qui aime « les vieilles pierres ».
En préparant cette petite série d'articles, il y en aura quatre, j’ai trouvé ce qui m’y fascine : Gorze, pour moi a des couleurs lorraines authentiques. Celles de certaines vieilles façades encore trop décrépies me racontent l’usure du temps, la rudesse des saisons froides et aussi que des maisons peuvent avoir été délaissées. Le bois de ses portes, de ses volets de ces vieilles portes de garage ont souvent la couleur de la pierre et j’aime la l’ambiance passéiste qui transpire de l’alignements de ses maisons le long de sa rue principale si étroite que les voitures s'y cèdent le passage à tour de rôle, dans chaque sens de circulation…
Je vous invite dans ce premier article pour vous montrer qu’en photos ce qu’est ici en terre Lorraine, en terre mosellane un très vieux village ne reniant rien de son histoire très riche. C’est un village qui se remet en beauté, tout doucement, à son rythme et les travaux de rénovations déjà entrepris le promettent à un très bel avenir.
Chronique et moi ne nous sommes promenés que dans le « vieux village ». Bien d’autres rues sont restées hors de la portée de nos objectifs.
Je vous invite à ne surtout pas hésiter à taper les lettres du mot « Gorze » sur un moteur de recherches. Sur Internet, on trouve, le concernant ce vieux village mosellan, beaucoup d’informations…
Pour découvrir les chemins pierrés de gorze :
Vivre en Moselle / Gorze / Les chemins pierrés...
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