C’est une forme poétique inspirée par une photo.

Son texte comporte un maximum de 31 syllabes.

Celles-ci sont obligatoirement réparties sur trois lignes.

Un rirekû ne s’écrit pas en vers.

C’est une poésie écrite pour exprimer une évidence.

Ce mot vient du français : « rire ».

 

 

Photo prise à Silly-sur-Nied dans la campagne messine.

 

 

 

 

 

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

   

Difficile d’échapper à l’objectif de Chronique.

Elle est capable de faire des photos sympathiques.

Parfois je me retrouve dans sa quête photographique.

Voici ses photos mises en manipulations chromatiques.

J’en fais ainsi un reportage dans cette démarche que ludique.

Il n’est qu’une première sélection des photos d’été de Chronique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je suis allé traverser le « Bivouac » que le Centre Pompidou-Metz consacre à Ronan et Erwan Bouroullec depuis le 7 octobre 2011. Jusqu’au 30 juillet 2012, cette exposition est et restera la première grande rétrospective dédiée en France à ces deux frères originaires de Quimper. Ces bretons très primés car de réputation internationale sont nés au début des années 70.

 

Je vous invite pendant cette semaine à découvrir, en quelques photos, ce qui est exposé, sur plus de 1 000 m2, dans la galerie n° 3 du Centre Pompidou-Metz. Ce n’est qu’un aperçu de la collaboration de ces deux concepteurs. Depuis 1999, Ronan né en 1971 et Erwan né en 1976 sont associés dans la création des pièces dont nombreuses sont celles déjà présentes dans les collections des grands musées du Monde. Ces deux designers réalisent aussi des projets d’architecture. Ils ont été en 2002 élus Créateurs de l’année au Salon du Meuble.

 

 

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

  

           

   

 

   

 

 

 

 

Hier à l’Hôtel de Ville j’ai eu le privilège de voter

Cassé par un affreux lumbago j’y ai alors souri

 Je suis dans un processus politique qui me ravit

J’ai été invité à désigner un futur candidat choisi

Démocratie participative de toi j’avais moi envie

Je me veux de ceux qui là t’installent être un ami

Démocrate dans ses enjeux j’ai aimé m’être défini

Dimanche près d’une urne j’ai un rendez-vous ici

Je suis là citoyen devant son avenir moins démuni

A qui m’a donné le droit de mon avenir je dis merci

 

 

 

 

 

 

 

 

J’espère ne vexer aucun luxoviens en n’en montrant pas assez, cete fois, de sa ville. Je n’ai découvert celle-ci, en début de soirée, et seulement ce que j’en ai vu entre l’endroit où nous avions garé notre voiture et le restaurant dans lequel nous étions inviter à diner, à quelques pas…

 

Depuis toujours je connaissais le nom de Luxeuil les Bains car beaucoup de personnes de Metz y allaient, y vont toujours en cure. Cette ville très proche de la frontière sud de la lorraine, se trouve à un peu plus de trente kilomètres de Vesoul. Pendant la saison estivale, sa population augmente considérablement grâce à la réputation de ses eaux thermales exploitées déjà par les romains avant la conquête de la Gaulle.

 

Depuis que je parcours la route entre Metz et Vesoul, je longe quelques minutes cette ville. Ce soir là, je m’y suis retrouvé au retour de Passavant la Rochère, invité au restaurant par les amis de mon amie de Vesoul qui vivent à proximité.

 

Je partage avec vous ces quelques photos. Elles me font me souvenir qu’il me faut très vite aller visiter cette ville thermale car son patrimoine est lui aussi d’une évidente richesse. Les fouilles en cours (depuis 2008) de la place de la république, la Maison du Bailly, d’autres très beaux bâtiments, l’ambiance historique de la ville me donnent très envie de prévoir une plus longue halte à Luxeuil les Bains pour y découvrir et y admirer son patrimoine des XVe, XVIe et XVIIe siècles.

 

Luxeuil les Bains est une ville du département de la Haute-Saône dans la région Franche-Comté voisine de la Lorraine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

Dunes de sables en ondulations soyeuses

Ciel haut en traîne de poussières dorées

Désert avide que de la liberté des hommes

Peuple séculiers en instance de modernité

 

Fragiles palissades délavées par le sable

Tamanrasset léthargique cité ocrée de vie

Redevance en pluie jamais assez acquittée

Destin ralenti par les excès de son désert

 

Femmes parées de suffisance d’être belles

Enfants teint soleil poussiéreux dans leur jeux

Hommes fiers de leur vie passée hors tentes

Peuples noble séculier en instance d’avenir

 

Vie trop précieuse eau rare que gouttelettes

Chameaux lourds en caravanes vers ailleurs

Heures étoilées pour unique temps de route

Voyage ralenti par les excès de leur désert

 

Soirées chantées par les femmes entre-elles

Hommes en proximité traditionnelle à l’écoute

Enfants endormis dans des rêves douceur

Peuple fier otage volontaire de sa tradition