Sa terrasse est posée depuis des années à fleur d’eau.

Je la sais être des plus agréables et avoir un point de vue exceptionnel.

D’une de ses tables ont peut admirer le Temple Neuf sur le Jardin d’Amour.

L’eau, c’est celle de la Moselle baignant le centre ville Historique de notre ville.

Son cadre est ici considéré comme exceptionnel au pied du Moyen-Pont.

Le restaurant « Maire » est l’une des très rares tables de Metz en bord de Moselle.

Ne me sachant pas critique gastronomique, je ne souhaite que vous le montrer.

Si sa carte devait vous intéresser je vous propose de cliquer sur l’image de son site.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

  

 

  

 

 

 

 

 

 

Elles sont compagnes permanentes de nos pas lorsque nous sommes dans la ville. Dans Metz les façades sont souvent belles, riches, impériales. Elles sont aussi modestes, décrépies parfois, tristes et même mais rarement moches. Certaines sont séculaires, d’autres sont celles de notre époque et d’autres encore sont en construction. Ici la beauté de la ville se confirme lorsque le regard glisse sur elles et part à la recherche du ciel, à la croisée des balcons et des toits. Celles-ci sont un des nombreux témoignages de la diversité architecturale de notre cité.

 

 

 

 

Il va mal

C’est d’un banal

Il nous fait son carnaval

L’homme y est souvent animal

 

Il ne tourne pas rond

Parfois il est moribond

La vie est la mort y sont en doublon

L’espoir y est souvent à double-fond

 

Il se rebelle dans l’impatience

Il nous bouleverse l’inconscience

Sont alors sans recours nos sciences

Soudain la vie s’y retrouve en déficience

 

Il c’est lui le Monde

Ses tsunamis nous inondent

Ses colères ont des conséquences immondes

Dans ses limites souffrances et bonheurs abondent

 

Ce Monde est notre planète

L’humanité le veut salle des fêtes

Elle gomme le souvenir des tempêtes

Jamais aucune catastrophe ne l’arrête

 

Notre Monde accepte les guerres

Il est saccagé dans des contrées mortifères

L’homme n’apprend rien de celles de naguère

Chaque génération sacrifiée ralentit l’avenir de la Terre

 

 

 

 

 

 

 

 

A côté de cette piscine il y a une glycine.

Derrière le mur d'un jardin il y a cette piscine.

 

Question :

 

mieux vaut pisser dans la glycine

ou

mieux vaut glisser dans la piscine ?

 

Là, moi je réfléchis !

 

La piscine et la glycine sont mitoyennes du jardin de notre amie.

Dans le jardin de notre amie il n’y a ni piscine ni glycine :

pour le moment…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

 

Le petit texte, que je vous propose de savourer, a été trouvé dans un vieil almanach.  

Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère.

De ce mariage, est né un fils aux yeux pers.

Monsieur est le père, Madame est la mère.

Les deux font la paire.

Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant d'être Lamère était Lepère.

Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu'il est Lamère et la mère est Lamère, bien que née Lepère.

Aucun des deux n'est maire.

N'étant ni le maire ni la mère, le père ne commet donc  pas d'impair en signant Lamère.

Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire.

Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur Lamère, son père, et de Mademoiselle Lepère, sa mère.

La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd.

Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère, vient du bord de la mer, et marche de pair avec le maire Lamère, son petit-fils.

Les amis du maire, venus pour la mère, cherchent les Lamère, ne trouvent que le maire et Lepère, père de la mère du maire, venu de la mer, et chacun s'y perd !".


 

 

 

D’autres mots

Mis sur une photo prise à Bleisbruck en Moselle

En suite sage

Ou pas

Pour être lus

Les uns à la suite des autres

Ou

Les uns sous les autres