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A partir d’une de mes photos.
Avoir envie de la traduire en tableau…
La mettre alors dans d’autres couleurs.
Pour qu’elle invite dans un voyage personnel.
Une autre façon de raconter ma passion des couleurs…
La photo originale est celle que je vous présente ci-dessous.
Elle a été prise en passant la porte d'entrée de l'immeuble où je vis.
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Un jour une photo
Un de mes « Vu à Metz »
Publié pour devenir un clin d’œil
Avec vous aujourd’hui je le partage
Il est l’image d’un instant de vie à Metz
Invitation à partager une ou dix émotions…
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Ce merveilleux et vaste continent me fascine depuis ma toute petite enfance. Mille rêveries d’enfant lui sont attachées et j’aime depuis toujours l’Afrique, ses peuples, son Art. Je ne peux rien expliquer, ni rien justifier. L’Afrique est le continent qui fait partie de moi tout simplement. Je suis immédiatement touché lorsque je pose mon regard sur ce continent avec une préférence, petite… pour ce qui est « l’AFRIQUE NOIRE »… J’aime aimer cette somptueuse et douloureuse Afrique si belle, si riche de ses peuples, si trop souvent mise à mal par ses propres enfants dans des conflits terriblement destructeurs de vie et d’espérance.
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C’est d’une commune, à l'est de la Moselle qu’a été extrait le grès gris pâle, utilisé pour ériger le château d’eau de la gare de Metz. Il a été construit pour alimenter les locomotives à vapeur. La gare a été inaugurée en 1908.
Dominant la Gare, du haut de ses 40 mètres de hauteur, il est posé sur un socle très sombre en pierre noire. Monumental, il est un très bel exemple du style néo-roman imposait par l’empereur Guillaume d’Allemagne pour « germaniser » Metz pendant son annexion suite à la guerre de 1870. Celle-ci a pris fin en 1918 après la défaite allemande.
C’est à l’architecte allemand Jürgen Kröger que nous devons cette insolite construction. Sa capacité en eau était de 300 m3. C’est sans doute pour cela qu’en 1909 une partie des locaux a été transformée en bains pour les personnels ferroviaires.
Le rendent « élégant » sa polychromie, sa forme et ce très beau balcon à balustres qui le ceinture à hauteur des quais de la gare, pour marquer le changement de couleur entre sa base et le reste de sa construction. Des renforts courant contre sa façade strient sa façade. La partie haute, celle du réservoir est ajouré. Des petites fenêtres, des voutes d’allégement à sa base contribuent à lui donner une très belle présence dans le ciel de cette partie de la ville.
Depuis des années, nous entendons à Metz parler de projets pour le devenir de ce château d’eau. Il est devenu le voisin du Centre Pompidou-Metz. J’ai lu, quelque part, qu’il pourrait devenir un restaurant panoramique, un prestigieux restaurant…
A vous les curieuses et les curieux :
pour en savoir plus sur cette dernière photo...
Je vous propose de cliquer sur elle.
Pour découvrir le précédent article sur Metz :
Autour de l'Hôtel Kiryad de Metz...
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Le bruit s’impose sans préavis
Sur du sans-gêne m’instruit
Blesse à l’infini
Dérange même l’ennui
Sait n’être qu’ennemi
Le silence il détruit
N’est pas bienvenu ami
Est blessure qui se construit
N’accompagne pas belle vie
Est indésirable quand fortuit
Ne me fait jamais être ravi
Parfois vers la folie il conduit
Insupporte amis et ennemis
Est l’adversaire de mes nuits
N’est pas dans mes envies
Jamais avare il est gratuit
Jamais il ne finit
Jamais il ne s’enfuit
Le bruit est délit
Mots inspirés par ceux de mon ami C. Sumadrad.
Pour les découvrir eux et sa très belle poésie :
un simple clic sur le pseudo de cet Architecte d'intercoeurs...
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Vibrations de vie me fabriquent cette patine
Paumes moites dans amours clandestines
Mains sèches en retour d’un retard trop tardif
Empoignades brutales d’un locataire incisif
Menottes douces et joyeuses des enfants
Pressions féminines de toutes les mamans
En affection je suis avec une main familière
J’aime aussi celles des papas si journalières
Quand l’une m’est inconnue inquiète je suis
Plus encore si elle vient me toucher la nuit
De vilaines personnes me violentent alors
Leur brutalité silencieuse me fait grand tort
En jours froids personne sur moi ne s’attarde
Mauvais rapport j’ai avec pluies revanchardes
Je déteste si mouillée déranger mains amies
L’été j’aime être caressée par mains brunies
Je sais me faire toute douce avec mains ridées
Amies nous sommes elles et moi autant patinée
La taille des mains me fait savoir enfants grandir
La pression d’autres me fait savoir adultes vieillir
Mains amies un jour ne viennent plus me toucher
J’ai accepté que la mort toujours sache les éloigner
Le souvenir de toutes ces mains ne disparaît jamais
Je suis poignée elles y sont tendrement imprimées
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