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    Je suis né en Nouvelle Calédonie.

    Nouméa est ville magnifiée par la baie de la Moselle.
     
    Je trouve "aimable" si ici en Moselle on me demande où je suis né de répondre :
     
    au bord de la baie de la Moselle.

     Cette appellation n'existe pas dans tout le département de la Moselle.
     
    Ce n'est pas de ma faute, même pas en Lorraine...
     
    De la même façon, lorsqu’on me demande quand je suis né  :

    je réponds (naturellement) au printemps !

    Je suis né à la mi-novembre et ce n’est toujours pas de ma faute...

     Qu'en Nouvelle Calédonie novembre soit au printemps !

    Quelques photos de mon île pour vous inviter à oublier notre automne.

    Y partir quelques instants pour rêver.




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    Photos : source Internet et mes souvenirs...

     

     

     

     

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  • Vivre à Metz 1 Marc de Metz 2011

     

     

     

      

    J’aime ressentir ceci :

    Metz, ville où il fait bon et beau vivre !

    J’aime en être de plus en plus certain.

    J'aime vivre ici et j’aime partager cette ville avec vous.

    Voici aujourd’hui vingt tout petits « morceaux » de Metz.

    Il me reste des milliers de choses à découvrir ici, je le sais…

     

     

     

     

      Vivre à Metz 2 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

     

    Vivre à Metz 3 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 4 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 5 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 6 Marc de Metz 2011  

     

     

     

    Vivre à Metz 7 Marc de Metz 2011  

     

     

     

    Vivre à Metz 8 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 9 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 10 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 11 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 12 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 13 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

      Vivre à Metz 14 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 15 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 16 Marc de Metz 2011  

     

     

     

      Vivre à Metz 17 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 18 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 19 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Vivre à Metz 20 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Pour découvrir ou revoir : Vingt de mes "autour" du Centre Pompidou-Metz / 30...

     

     

     

           

    Choisir un nouvel article Metz 26 sepembre 2010

     

     

     

     

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  • Parfois avec insouciance ma mélancolie me gribouille

    En secret je repasse ma tristesse avec une pattemouille

     

    Solitaire j’aime laisser mon cœur partir en vadrouille

    Liberté de le laisser s’y perdre dans mes embrouilles

     

    Au bout de ces escapades jamais il ne rentre bredouille

    Mes peines sont ses ennemis alors mes passés il fouille

     

    Compagnon il guerroie pour que je m’en dépouille

    Stratégie partagée pour que ces souffrances je verrouille

     

    Allié de ma vie mon cœur dans mes peines patrouille

    Pour lui point n’est plus odieux qu’encore je dérouille

     

    Patient rien ne lui permet d’ignorer que parfois je cafouille

    Faiblesses passagères qui jamais plus ma vie ne souillent

     

    Il me sait et m’aime apaisé quand une larme ma joue mouille

    Aujourd’hui quand mon cœur part en vadrouille je n’ai plus la trouille


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  • Autour du Kyriad Metz 1 Marc de Metz 2011

     

     

     

       

    Au fond de cette première photo, vous découvrez le site de l’ancien Hôpital Saint-Nicolas de Metz (816-1986). Il a été le plus grand hôpital de la ville, Rabelais y a exercé la médecine (1545-1546). Quatre années de travaux (1986-1990) ont été nécessaires pour le convertir en résidence d’habitations et y adjoindre un hôtel deux étoiles appartenant à la chaine des « Kyriad ». Il dispose de 57 chambres et d’un restaurant donnant sur la rue du Père Potot.

     

    Des vestiges ont été conservés : le portail du Moyen-âge de style flamboyant date de 1514. Il donne encore accès à une vaste salle gothique du XIIIème siècle. Dans la cour, traitée en parc, le clocher préservé de la démolition date du XIVème siècle. Derrière l’indication « Metz Centre ville » et dans les reflets d’un magasin de meubles, vous pouvez apercevoir la fontaine de 1739.

     

    Face au parc et le double grand porche de la Résidence Saint-Nicolas, un ensemble résidentiel moderne, devancé par une immense fontaine, donne à cette rue, percée durant les travaux de l'époque, une atmosphère particulière et agréable. Elle est renforcée par le beau traitement des sols de cette autre rue piétonne de Metz. Le vieux clocher de la chapelle de l’ancien hospice se laisse apercevoir au dessus d’une des façades de l’Hôtel Kiryad. Au fond du parc ensoleillé, derrière les grilles, c’est cet hôtel que l’on aperçoit. Il se situe à dix « grosses » minutes à pied du Centre Pompidou de Metz, de son quartier historique, de son quartier Impérial, de sa cathédrale et de centaines de commerces.  

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 2 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 01 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 29 Marc de Metz 2011

     

     

    Autour du Kyriad Metz 3 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 4 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 5 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 6 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 7 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 8 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 28 Marc de Metz 2011

     

      

     

     

    Autour du Kyriad Metz 9 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 10 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 11 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 12 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 13 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 25 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 26 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 14 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 15 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 16 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 17 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 18 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 19 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 20 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 27 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 21 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 22 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 23 Marc de Metz 2011

     

     

     

     

    Autour du Kyriad Metz 24 Marc de Metz 2011

     

     

     

       

    Poursuivre-dans-Metz-20-07-2008.JPG   

    D’autres articles sur Metz sont publiés dans la catégorie :

    « Vivre à Metz (Photos) »

     

        

     

    Pour découvrir le précédent article sur Metz : 

    22, Avenue Foch à Metz / La Villa Burger...

     

     

     

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  • La Voile Blanche au Centre Pompidou-Metz 1 Marc de Metz 201

     

    Le Centre Pompidou-Metz a onze mois !

    Son succès et sa fréquentation restent exceptionnels et mérités !

    Mais...

     

    C’est peut-être l’occasion de déplorer que rien ne semble avoir été amélioré assez dans les prestations de son restaurant pour satisfaire le plus grand nombre… Nous, nous n’y sommes jamais retournés dîner après notre expérience de juin dernier. Aujourd’hui je m’en félicite car un commentaire corrobore les avis récents que j’entends ici à Metz et ceux que je trouve aussi sur Internet… Rarissimes sont ceux qui ont un avis positif sur « La Voile Blanche ».

     

    Je vous le livre tel que je l’ai trouvé hier sur mon blog. Vous trouverez en fin de cet article les deux liens vers deux articles que j’ai consacrés à ce restaurant. Ils sont abondamment commentés par d’autres clients...

     

     

     

    Metz, en date du 10 avril 2011.

    Commentaire déposé à 16h26.

    Auteur : un responsable d’association.

     

    « On n'est pas près de me revoir à « La Voile Blanche » !

    J'en sors...

    Quelle expérience désolante !

     

    Je ne vais pas m'étaler en commentaires tellement c'était pathétique de bout en bout :

     

    - décor : des tables en formica sans nappe, mais avec serviettes en papier, mises bout à bout pour 9 convives dont l'un se retrouve isolé sans vis-à-vis en bout de table...

     

    - les menus : 2 feuilles A4 non plastifiées ;

     

    - arrivés à 12h30, il n'y a déjà plus de homard à la carte. Nous nous rabattons sur la perche du Nil, qui, lorsqu'elle arrive, nage dans un Nil de beurre, sans légumes autres qu'une petite poignée de demi-patates sautées

     

    - Après une longue attente, les plats arrivent au compte-goutte. La sauce des tournedos (foie gras trop cuit) commence à figer avant l'arrivée des perches.

     

    - le vin reste dans son seau... Nous finissons par nous servir nous-mêmes tout au long du repas.

     

    - les desserts n'ont rien d'extraordinaire mais sont corrects. On n'a pas encore trouvé quel était le parfum du jour de la crème brûlée... Comme les plats principaux, ils arrivent au fur et à mesure... et en plusieurs parties : les glaces censées accompagner les gâteaux au citron sont ajoutées après coup sur l'assiette et les couverts d'une partie de la tablée arrivent alors que les autres ont déjà presque terminé.

     

    - café (correct) servi avec une coupelle de cacahuètes enrobées de chocolat tiédasse... On ne m'aurait pas fait y toucher

     

    - la carte dit "5% sur présentation de la carte Pass", que nous avions prise... et nous avons en effet droit une réduction de 5%... sur 1 seul plat-dessert, soit moins d'1,5 euro sur une addition qui se monte à près de 370 euros ! Royal ! 

     

    - et pour couronner le tout, on est raccompagnés jusqu'à la sortie par un agent de sécurité, dès fois qu'il nous vienne l'idée de visiter le Centre Pompidou sans avoir payé l'entrée !

     

    Ca m'arrache le cœur d'écrire ça parce qu'on a vraiment besoin que le CPM marche, qu'il attire du monde et qu'on en dise du bien.

     

    Mais ce restaurant est cher pour ce qu'il sert, n'a aucune classe et, je le redis, tant qu'il n'aura pas changé de main on n'est pas près de m'y revoir.

     

    Dès que j'aurai réussi à digérer le beurre de la perche, je me hâterai de l'oublier ». 

     

     

    J’ai répondu à ce responsable d’association dès hier soir. 

    Voici son deuxième commentaire, déposé cette nuit à 01h18…

    Je vous recommande de retenir sa suggestion d’aller déjeuner ou dîner en ville.

     

    « Bonsoir Marc de Metz.

     

    Je ne vois aucun inconvénient à ce que vous publiiez mon message sur votre blog. Je l'ai un peu "peaufiné" sur le site que lequel vous l'avez trouvé par ailleurs. N'hésitez pas à le reprendre de là-bas. Le fond reste bien sûr le même.

     

    Si les visiteurs du Centre Pompidou-Metz font l'effort de prendre l'un des nombreux minibus qui relient en 5 minutes le CPM et l'hyper-centre, ils trouveront quantité de bons restaurants, pour tous les goûts, toutes les envies, tous les prix. On a l'habitude de bien manger à Metz !

     

    Et en prime, ils pourront flâner dans une ville qui les séduira à coup sûr !

    Bien à vous. 

    Voici les liens vers mes deux précédents articles :

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    Le blogueur et le lecteur,

     

    Lui, blogueur sur son siège concentré, tenait en ses mains son clavier.

     

    L'autre, lecteur alléché par son précédent billet, lui adresse à peu près ce commentaire premier : et bonjour Monsieur le blogueur ! Que vous êtes habile, que vous me semblez novateur, ce dont j’ai plaisir à vous féliciter !

     

    Sans aucunement vouloir vous tenir dans un, de ma part, mensonge : bravo pour votre verbiage qui se retrouve dans votre ouvrage. Vous êtes, parmi ceux que j'apprécie de lire, devenu l'un de mes préférés des hôtes de ces blogs !

     

    A ces mots, lui, le visage illuminé par la chaude lumière du moniteur, autant que par la flatterie, ne sent pas sa fierté. Il décide de montrer à l'autre d'autres belles capacités encore cachées. Il lui envoie, trop pressé car trop excité d'avoir séduit par ses seuls mots, un long remerciement mais sans orthographe vérifiée.

     

    L'autre s'en saisi, et lui écrit immédiatement : mon bon blogueur, apprenez que tout auteur sur la toile qui s'y commet en mauvais français vit aux dépends des réactions et corrections de qui le lit ! Cette leçon vaut bien vos excuses d'une part et que je renonce non à vous lire mais à ne plus vous laisser un commentaire sans doute.

     

    Lui, honteux et vexé, se jura un peu tard qu'on ne l'y reprendrait plus, n'envoie point de réponse à l'autre, porte ses mains désoeuvrées à son visage, commence à pleurer.

     

    L'autre, lui adresse alors, intrigué par cette suite manquante après son intervention, cet autre message :

     

    Puissiez-vous Monsieur le blogueur ne pas avoir trop pris ombrage. Ce que me fait craindre votre silence. Je ne vous veux ni courroucé à mon encontre,  ni déconcerté jusqu'à vouloir me priver plus longtemps que ce temps déjà par moi passé à attendre de votre part une réponse que je vous demande de considérer comme attendue.

     

    Lui se ressaisit et répond :

     

    Monsieur, je vous suis gré de l’attention amicale dont me fait témoin votre insistance. Sachez que je vous tiens dorénavant, en ces termes par mes seuls soins mesurés autant que volontaires  :  vous, unique et bienveillant commentateur de mon blog, êtes mon préféré lecteur. Je vous invite pour peu que cela puisse ne pas trop vous déplaire à m'en faire connaître, lorsque vous le lirez d'autres fois prochaines, vos impressions qu'elles soient envers moi flatteuses ou pas.

     

     

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