Je n’en ai jamais rêvé… Je n’en avais jamais entendu parler… Je n’avais jamais rien lu sur ce dispositif révolutionnaire… Je n’en avais alors et bien sûr jamais vu et je m’en retrouve estomaqué !

Qu’il est agréable, enrichissant et stimulant de savoir que cela existe ! Qu’il est bouleversant de découvrir que cet objet soit vendu ! Qu’il est surprenant de constater que c’est utilisé en public ! Qu’il est fascinant de découvrir que c’est déjà indispensable à certains !

Mon objectif, alors sans objectif précis trainait au bout de la plus haute galerie du Centre Pompidou Metz. Il a eu le privilège de saisir un moment de "grâce", grâce à une innovation technique, pratique, ergonomique, esthétique, télescopique, comique !

Insolite, inutile, ridicule, nous est apparue une longue « nouveauté » soudainement déployée entre deux humains qui s'aiment et un tout petit numérique de poche. C’est sans doute grâce à toutes ces raisons que nous avons été quelques rares privilégiés à partager alors un étonnant et inattendu moment d’étonnement dans le silence de nos regards croisés, médusés, amusés…

Bla!Bla!Bla! / Marion Bodin : je me permets de vous contacter, pour vous faire part d'un projet que j'organise avec la Galerie Octave Cowbell du 26 mai au 31 mai 2010.

Nous invitons quatre jeunes artistes slovènes à Metz, durant une semaine qui a commencé hier. A cette occasion de nombreuses animations sont mises en place, et tout le monde est convié à ces manifestations !

L’ouverture du centre Pompidou de Metz, ainsi que l’intérêt croissant porté pour les pays d’Europe de l’Est, nous souhaitons que cet échange artistique contribue à cette mouvance, en offrant une occasion supplémentaire d’être une fenêtre ouverte sur la grande famille Européenne !

« La Slovénie c’est où ? Les gens sont comment là-bas ? ». Ces questions illustrent parfaitement le flou existant autour de ce jeune pays, membre de l’Union Européenne. Cet échange offrira donc l’occasion au public lorrain de s’ouvrir vers nouvelle culture, grâce à la venue de quatre jeunes artistes slovènes à Metz, du 26 mai au 31 mai 2010.

En effet un programme riche en rencontres aura lieu durant cette semaine, permettant ainsi à chacun de découvrir des œuvres de la nouvelle génération slovènes. Ils permettront de donner un échantillon de la diversité artistique :

Bostjan Pucelj est photographe

Tomaz Furlan réalise des vidéos performances

Eva Luzka Kozac présentera ses gravures

Davorin Slana ses peintures.

Ces jeunes artistes, encore étudiants à l’Académie des Beaux Arts de Ljubljana ou ayant été récemment diplômés, seront présents lors des manifestations prévues.

Cette semaine « slovène » a inauguré ses festivités par une rencontre avec ces artistes, le mercredi 26 mai à 18h à la Maison des Etudiants, de l’université Paul Verlaine. Les artistes ont présenté, à cette occasion, leur production. Cette soirée a été clôturée par un concert entraînant avec 9m2 et le collectif Voodoo.

Le jeudi 27 mai est sous le signe du cinéma, grâce à la projection de courts-métrages de Tomaz Furlan au Caméo à 18 heures.

La fin de semaine se poursuivra avec deux vernissages chaleureux : le premier à la Galerie Octave Cowbell, vendredi 28 mai à 18h, où seront exposées les photographies de Bostjan Pucelj, qui sont des portraits humoristiques et touchants des habitants de Dolenjska, région du Sud Est de la Slovénie.

Le deuxième vernissage se déroulera aux Galeries Lafayette à 18h, où seront présentées les œuvres poétiques d’Eva Luzka Kozac, les peintures de Slana Davorin qui exploitent différentes techniques et ces productions plastiques seront accompagnées de la projection des vidéos-performances de Tomaz Furlan.

Une rencontre franco-slovène rythmera ce weekend par la mise en place d’un « apéro graphique » à la librairie du Carré des bulles, qui invitera les artistes slovènes et français à dessiner ensemble autour d’un thème commun, dans une ambiance festive.

Cette semaine sera clôturée par une rencontre des artistes avec les étudiants de l’ESAMM à 14h à la bibliothèque.

Ces rencontres sont ouvertes à tous, et gratuites.

Voici le programme :de cette semaine « slovène » :

Mercredi 26 mai :

Repas slovènes au RU Rimbaud et Verlaine (midi et soir) et visite de l'ESAMM.

Rencontre avec les étudiants de l'Université Paul Verlaine à la Maison des Etudiants - concert de 9m2 et Voodoo clan / 18H00.

jeudi 27 mai :

projection de courts métrages de Tomaz Fulcan au Palace & rencontre avec le public/18h00.

Vendredi 28 mai : vernissage à la Galerie Octave Cowbell / 18H00 (l’exposition aura lieu jusqu’au 17 juin.)

Samedi 29 mai : «Apero graphique» au Carré des Bulles/11h30 :vernissage aux Galeries Lafayette / 18H00 (l’expostion aura lieu jusqu’au 17 juin).

Lundi 31 mai :

rencontre avec les étudiants de l'ESAMM à la médiathèque / 14H00.

Photos prises à partir d’un troisième balcon à l’entrée d’une galerie n°3.

L’identité de ce sympathique couple n’a pas d’importance dans ce propos.

La fréquentation de cet immense hall est habituellement cent fois supérieure.

Dernière précision : aucune rémunération n’a été proposée à ces deux visiteurs…

Ces trois photos pour décrire une plongée vertigineuse dans un univers fantastique.

Pour vous faciliter l’identification de ce site je vous indique qu’il est ici à Metz depuis peu.

Avant le mariage :

Elle : Salut !

Lui : Ah, depuis le temps que j'attends ça !

Elle : Tu veux que je parte ?

Lui : Non. Je n'ose même pas y penser.

Elle : Tu m'aimes ?

Lui : Bien sûr ! Énormément !

Elle : Tu m'as déjà trompée ?

Lui : Non ! Pourquoi demandes-tu ça ?

Elle : Tu veux m'embrasser ?

Lui : Chaque fois que j'en aurai l'occasion !

Elle : Tu me battras un jour ?

Lui : Tu es folle ? Jamais de la vie !

Elle : Je peux te faire confiance ?

Lui : Oui !

Elle : Chéri !

 
Après le mariage :

Ne vous donnez que la peine de relire ce texte mais de bas en haut...

Un jour j’ai cru être aimé autant que j’aimais

Des années d’absence m’imposent contraire

Ce troisième jour de mai est jour qu’imparfait

Des années silence m’imposent de m’y taire

Un jour enfant m’imposa punition volontaire

Douze fois longue année est passée depuis

Mai est devenu mois sans fête d’anniversaire

Le temps passé ne m’y inflige plus grand ennui

Un jour enfin j’ai cessé de me rechercher fautif

J’ai appris alors à tout conjuguer qu'au présent

Les verbes d’amour je les mets depuis à l’infinitif

M'en priver m'a installé dans le rôle de l’absent

Un jour dans un mai je suis heureux devenu père

Un jour j’ai été spolié du devoir d'aimer et le rester

Un jour j’ai cessé d’attendre après un vide amer

Là apaisé j’accepte dans des mots d’en parler

Il n’est de plus inutile sentiment que le mien

Une silencieuse incompréhension m’habite

C’est son acceptation qui m’offre seul soutien

Avec colère secrète en mon fond elle cohabite

Un jour dans un ancien mai je suis devenu père

Etrange devenu que celui de ne jamais plus l’être

Je situe ce bonheur que souvenir dans un naguère

Ce jour et d'autres je n’y peux plus m’y compromettre

Voici la définition du barbecue d'été : c'est le seul type de cuisine qu'un "vrai" homme va faire. Lorsqu'un homme se porte volontaire pour faire ce type de cuisine, la chaîne d'événements suivante est enclenchée...

1. La femme va au magasin.

2. La femme arrange la salade, les légumes et fait le dessert.

3. La femme prépare la viande pour la cuisson, la place sur un plateau près des  stensiles nécessaires à la cuisson et les apporte à l'homme, qui se tient à côté du grill, une bière à la main.

4. L'homme place la viande sur le grill.

5. La femme va à l'intérieur de la maison, pour mettre la table et vérifier les légumes.

6. La femme sort pour dire à l'homme que la viande brûle.

7. L'homme retire la viande du grill et la tend à la femme.

8. La femme prépare les assiettes et les apporte à la table.

9. Après avoir mangé, la femme nettoie la table et lave la vaisselle.

10. L'homme demande à la femme comment elle a apprécié son "congé de cuisine".

Constatant sa réaction un peu ennuyée, il en tire la conclusion qu'elle n'est jamais satisfaite !

Précision importante : je ne suis pas l'auteur de ce texte si réaliste pourtant...