Un jour une photo

Un de mes « Vu à Metz ».

Publié pour devenir un clin d’œil.

Avec vous aujourd’hui je le partage.

Il est l’image d’un instant de vie à Metz.

Invitation à partager une ou dix émotions.

Pour mériter ce blouson nul besoin d'avoir couru 42 kilomètres.

Il était offert à aux bénévoles assurant la sécurité du marathon 2011.

J'ai parlé à ma banque qui n'est pas celle-ci : je n'ai pas eu de blouson...

Ici, une mère sourit à un enfant.

Ici, un enfant lui répond par un sourire aussi beau que le sien.

Ici : sous le Portail de la Vierge de la cathédrale Saint-Etienne de Metz.

Ce portail date de la fin du 19e siècle (reconstruction).

Ma vie a été trop longtemps un fleuve en furie

Je m’y suis perdu dans les remous de la peur

Puis je suis revenu de ces turbulences grandi

Je navigue dans ses méandres qu’en douceur

J’ai laissé couler dans l’eau déchainée une vie

J’en suis revenu allégé de lourds amours stériles

Ce n’est plus mon rôle que d’aimer mes ennemis

Depuis sur terre il y a un homme moins hostile

L’eau d’entre des berges à l’océan souvent finit

Celle chargée de mes peurs y est arrivée sombre

Depuis le cours de mon fleuve est calme à l’infini

Aucune de mes vieilles peur n’y jette une ombre

Il est tellement nouveau ce restaurant « La Robe des Champs et Délices » à Metz que je n’en ai pas trouvé la trace ni sur Internet, ni dans les Pages Jaunes : cela me rend perplexe, très ! Il m’est donc impossible d’en faire plus (comme indiquer par exemple son site en en mettant le lien dans cet article) que de vous montrer ces quelques photos. Il se trouve Place Saint-Jacques, celle qui est le « salon » de Metz puisqu’elle est quasiment dédiée aux café, aux bars, aux restaurants.

Lorsque je longeais son chantier, j’étais déjà subjugué par la tonalité du vert de sa façade. Là je suis enthousiasmé par le résultat et plus encore. Malgré la grisaille du moment (il fait que très rarement gris à Metz (*) au début du mois de juin, j’ai aimé ce qu’il dégage et son classicisme très moderne me plait beaucoup. Il est fort probable que nous le testions très vite.

(*) Que celles et ceux qui ne me croient pas ne me le fassent surtout pas savoir : merci d’avance…

Le mandala de juin est dans des couleurs chaudes, chaleureuses, joyeuses. Juin est mois entre printemps et été. Je nous sais très nombreuses et nombreux rêver que notre été soit cette année une très belle saison.

Un mandala, en occident,  c’est un porte-bonheur. C’est aussi un message de  réconfort, c’est encore un vœu d’un mieux, d’un meilleur pour celles et ceux qui sont dans la peine, dans la tristesse, dans la peur.

Je vous offre ce mandala avec mon amitié. Il est pour chacune et chacun de vous. A partir de ce mandala en utilisant une seule fonction d’un logiciel dit de retouche de photos, j’ai obtenu le second « tableau ».

A partir de ce « tableau », en utilisant qu’une autre seule fonction de ce même logiciel gratuit, j’ai obtenu aussi en un seul clic le deuxième « tableau ». Inscrit dans un cercle, il devient alors un autre mandala...

Je me suis laissé dire

que de toutes les croyances

jamais il ne faut surtout médire

finalement elles sont prévoyance

Je me suis laissé raconter

tout ce qui devait porter bonheur

pour alors tacher toujours d’éviter

tout ce qui pouvait me porter malheur

Je me suis aussi laissé lire

des mots que d’autres montrent

pour en moi en garder le souvenir

et ne plus faire de mauvaises rencontre s

Je me suis laissé expliquer

des façons de vivre ensemble

pour une place dans la vie trouver

sans que personne pour moi ne tremble

Je me suis laissé surprendre

longtemps par le poids des émotions

pour savoir avoir tant encore à apprendre

sans vouloir renier aucune de mes aspirations

Je me suis laissé faire

par trop d’autres dans ma vie

pour enfin renoncer à ne plus rien défaire

sans risquer de ne satisfaire que mes ennemis

Je me suis laissé grandir

en voulant taire en moi l’enfant

pour être un adulte passager de l’avenir

sans savoir que je l’y retrouverai constamment

Je vais le laisser me reconquérir

En acceptant sa présence quotidienne

Pour qu’il me rappelle mes beaux souvenirs

Sans cesser de marcher avec lui en file indienne