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Je sais vous intriguer avec ces mandalas que je vous propose sur mon blog puisque plusieurs parmi-vous me demandent comment je fais, quels logiciels j’utilise et m’affirme que ce doit être particulièrement difficile à faire alors que ce ne l’est pas du tout…
En quelques étapes, je vous propose de découvrir comment je fabrique un mandala avec principalement le logiciel PAINT qui est gratuit et très souvent disponible d’office dans les logiciels livrés avec nos ordinateurs. Je sais avoir fait quelques petites fautes, souvent d’inattention dans les explications, j’espère que vous ne m’en tiendrez pas trop rigueur car je m’en suis rendu compte qu’une fois l’article fait et ces texte font partie des images…
J’ai choisi volontairement un dessin très simple, très graphique et des couleurs franches ce qui je le souhaite vous permettra de comprendre cette petite démonstration en quarante étapes plus facilement.
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Je dédie cet article à une amie grande voyageuse. Elle se confie à son GPS lors de ses longs déplacements. Elle a depuis, matière à raconter mille et une péripéties routières…
La saison des vacances est propice pour connaître bien des déboires. C’est pourquoi, il est peut-être important que je partage avec vous cette mise en garde que j’ai reçue par messagerie, bien que je n'ai pas encore de GPS.
Lors d'un trajet en voiture, très nombreux sont les utilisateurs de GPS qui font appel à lui pour rejoindre leur lieu de vacances, où toute autre destination. Les cambrioleurs le savent pertinemment.
Voici un scénario qui peut devenir « catastrophe » et avoir des conséquences incalculables.
Une famille part en vacances en voiture.
Elle passe une magnifique journée très excitée, joyeuse, ravie de rejoindre son lieu de séjour estival.
Elle décide de prendre un rafraichissement à la terrasse d’un café après avoir « abandonné » son véhicule sur un parking de proximité.
Lorsqu’elle rejoint sa voiture c’est pour constater que son véhicule a été vandalisé et que seul son GPS a été volé dans l'habitacle.
Quelques heures plus tard, les voisins lui téléphonent pour l'avertir que son domicile a été cambriolé et vandalisé.
Les voleurs auront simplement utilisé la fonction « Vers le domicile ».
Ils auront été tranquilles :
propriétaires en vacances, très loin de chez eux…
loisir de commettre leur forfait sans craindre d'être dérangés.
Un premier conseil : remplacez votre adresse de départ, si c'est celle de votre domicile (vous connaissez par cœur l'itinéraire qui vous y mène) par celle du bureau de police le plus proche.
Les voleurs auront alors une adresse « Domicile » mais pas celle de votre maison et de vos bien les plus précieux.
Un autre conseil : ne laissez jamais le système de fixation du GPS en apparence sur votre barre-brise. Il indique que ce système équipe votre voiture. Les voleurs à la recherche du moindre butin seront persuadés qu’il y est caché. Cela suffira à vous faire vandaliser votre véhicule.
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Esprits sensibles s’abstenir puisque sur ce « site » confidentiel je vous propose de venir mesurer ma perversité sans limite lorsqu’il s’agit pour moi d’utiliser une photo. Je vous entraine sans aucune vergogne de ma part dans cette aventure... La photo originale, le plus souvent "volée" quelque part en Metz est placée en dernier !
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Traumatisme national français
Inconcevable équipée mondiale
Indigne comportement sportif
Arrogance définitivement inventoriée
Incompétence avérée sanctionnée
Fiasco inconcevable arrivé
Lamentable équipe inexcusable
Honte elle collective
Bleu blanc rouge
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Entre nos maisons une place confortable
Confortable pour s’y donner rendez-vous
Rendez-vous de toute la ville durant l’été
L’été est ici vie en terrasses pour y parler
Parler de tout de rien parler sous le soleil
Soleil place Saint-Jacques est notre hôte
Hôte aimable dans ces heures chaudes
Chaudes sous ses rayons sans obstacles
Obstacles installés en grands parasols
Parasols inutiles dans l’ombre d’après-midi
Après-midi salutaire fraicheur fait halte belle
Belle place en moitié soleil et moitié ombre
Ombre propice à longs moments de détente
Détente en proximité de la ville laborieuse
Laborieuse dans ses affaires de commerce
Commerce avide de soif et de convivialité
Convivialité facile en ce lieu de promenade
Promenade en long de terrasses achalandées
Achalandées pour autoriser belles rencontres
Rencontres souvent convenues entre amis
Amis alors heureux dans le salon de la ville
Ville chaleureuse dans ses couleurs de l’été
L’été à Metz se partage place Saint-Jacques
Saint-Jacques se la joue alors en vacances
Au centre de cette vue aérienne la place Saint-Jacques
Ses contours sont tracés par des parasols alors blancs
Entre ses murs protecteurs voici le salon d’été de Metz
De rendez-vous en rendez-vous l’été s’y vit en amitié
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La note : 148 euros.
Notre table : cinq personnes.
Trois amis de Franche-Comté venus découvrir le Centre Pompidou de Metz et nous deux.
Durée du repas : 2h30.
Refus à notre arrivée (19h40) de nous placer sur la terrasse couverte alors que deux tables seulement y étaient occupées, trois autres dans la salle :
« ce ne sera pas possible Monsieur. Les clients qui ont réservé ce soir ont émis eux la préférence de diner sur la terrasse ! Je peux vous proposer alors cette table là !».
La table en question a été la plus proche de l’entrée du restaurant, la moins tranquille de toutes.
Cette proximité nous aura fait partager l’accueil des clients tout au long de notre diner :
« Bonsoir, avez-vous une réservation ? Vous être prévus à une table à l’intérieur, mais je peux vous proposer d’aller voir la terrasse. Si ensuite vous préférez y diner, cela peut se faire sans aucune difficulté. Je vous en prie, je vous laisse aller la voir et décider après… ».
Rappelez-vous que cela nous a été refusé en début de service !
Bonsoir (c’est un jeune homme qui là nous parle), vous désirez prendre un apéritif ?
Trois d'entre nous avons pris un apéritif.
Désolé Monsieur, nous n'avons plus de porto rouge...
Le porto fut bu blanc...
Nous avons décliné son offre de boire du vin.
Un seul d’entre-nous souhaitait en boire.
La formule « au verre » fut choisie.
Le serveur alors s’est « renfrogné » en silence toutefois !
Ce verre de vin, il a fallu le réclamer alors que le plat qu’il devait accompagner venait d’être mangé. Le serveur responsable de notre table ne l’a pas servi au bon moment !
Il a été aussi nécessaire de lui réclamer par deux fois une carafe d’eau…
Il est vrai qu’il ne l’approchait pas vraiment notre table, sauf au moment de desservir.
Nous avons décidé de manger à la carte. Au moment de la prise de notre commande, le serveur nous a tout de suite prévenu qu’il ne pourrait pas nous proposer d’œufs à la neige au moment du dessert, que nous n’en trouverions pas (il était alors que 20h00 et le service commence le soir à 19h00) dans le buffet des desserts.
Pas une seule fois durant ce repas quelqu’un est venu nous demander si cela se passait bien ?
Pendant ce temps, la personne à l’accueil n’a jamais cessé de proposer aux nouveaux arrivants de choisir entre la terrasse et la salle intérieure tant qu’il y avait des tables disponibles sur celle-ci…
L’un des plats, des filets de rouget, s’est révélé délicieux et joliment servi dans sa version « entrée » à 18€.
L’autre, des gambas l’était aussi mais « chichement » servi dans sa version « plat » à 26€.
Un autre choix s’est porté sur du saumon qui s’est révélé attractif et goûteux dans sa version "entrée" à 14€.
Mon amie et moi nous sommes décidés pour un hamburger de luxe très bien présenté, 17€ pièce. Ludique de devoir y retirer la peau de la tomate et encore plus amusant de trouver que la mie de pain (magnifique pain) y est bien moins sèche que le steak haché réputé être de qualité parfaite… mais ce soir là parfaitement trop cuit.
Le petit plateau individuel de fromages 7€ et la sublime assiette gourmande 11€ choisis par deux d’entre-nous ont été très agréables à déguster et présentés de très belle façon. Les cafés, eux aussi furent à la hauteur de notre attente…
Ce même jeune serveur est arrivé alors que tous nous étions en train de finir notre plat principal. Il a versé une « flaque » de vin au fond d’un verre immense ce qui nous a à tous semblé « mesquin », le tout en disant : désolé pour ce retard !
Comble alors de malchance : le vin était en fait de l’eau !
De l’eau...
Interpellation d’une jeune serveuse bien aimable (nous nous étions lassés de la familiarité du jeune serveur ne faisant pas son service).
La jeune fille bafouille, présente des excuses et part avec le verre (il a été question d’un problème avec un rafraîchisseur de vin ?).
Le jeune serveur revient quelques minutes plus tard avec un verre couleur lui « vin blanc ».
Vin toujours proposé en quantité « mesquine » au fond d’un verre toujours immense…
Oui Monsieur, c’est du vin !
Je m’en suis assuré (son sourire frisait alors la désobligeance) !
Fumeurs (je sais, ce n'est pas bien), nous sommes allés mon amie et moi sur la terrasse découverte. J’ai eu à cœur d'y regarder le buffet des entrées (à volonté) et celui des desserts (lui aussi à volonté).
Nous, nous nous sommes félicités d’avoir opté pour la carte. Je me souviens en particulier de quatre saladiers ronds, bien ventrus en verre, contenant, comme à la cantine, des carottes râpées, du céleri râpé, des betteraves en dès et des tomates… J’ai aussi le souvenir de ces plateaux proposant différents pâtés ou de terrines et du pâté en croute présenté en tranches. Le buffet des desserts m’a semblé sympathique... de loin. Je n’ai pas eu besoin, moi qui suis très gourmand, de m’en approcher après avoir vu celui des entrées…
Nous avons quitté cet établissement sans que personne, parmi le personnel, n’accompagne notre départ par un mot ou par un geste. Le personnel le plus serviable devait être lui occupé de l’autre côté des miroirs. Oui, tout le personnel n'a pas été comme ce jeune serveur « indigeste ». A Metz, nous sommes habitués à être accompagnés vers la sortie, dans la totalité de ses restaurants, avec des remerciements et même des souhaits pour une bonne fin de soirée…
Comme je le dis, cette soirée ne fut pas CATASTROPHIQUE…
Comme je le dis, cette soirée restera pourtant notre unique expérience.
Comme je l’ai lu et comme je suis maintenant obligé d’en convenir : c’est une soirée onéreuse et décevante qui attend le client. La perfection n’y est pas encore au rendez-vous…
Comme je le dis, si nous devions pourtant y retourner, pour faire plaisir à quelqu’un de passage qui pourrait souhaiter y diner, nous lui recommanderions actuellement :
de ne pas s’attendre à y trouver un service parfait,
de ne pas s’attendre à y passer un moment de pure détente,
de ne pas prendre ombrage des dysfonctionnements,
de ne pas tenir rigueur à un membre du personnel s’il devait manquer de classe où être familier où s’il devait comme cette personne à l’accueil être totalement incohérent.
de ne pas imaginer cet établissement être pour le moment à la hauteur de son attente du fait qu’il soit situé dans un lieu déjà lui devenu prestigieux : le Centre Pompidou Metz.
Non, cette soirée n’a pas été, après un premier mois d’ouverture, CATASTROPHIQUE, juste très DECEVANTE ! Ce genre de déception ne se pardonne presque jamais surtout dans une ville où il est facile de très bien manger…
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