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Centre Pompidou-Metz / Chefs-d’œuvre 4 / Guernica de Picasso...
Le tableau « Guernica » date de 1937. La guerre d'Espagne fait alors rage. La ville de Gernika a été bombardée et presque entièrement détruite lors de la guerre civile espagnole par un acte d'une violence sans précédent à l'égard des populations civiles.
Pablo Picasso, choqué et bouleversé par les exactions du Général Franco, sur une toile de 8 mètres de long et 3,5 mètres de large, jette alors sa colère. Il le fait au travers d’une réaction personnelle, érigée en symbole.
Trois exemplaires de cette tapisserie de 7 mètres de long et de 3,30 mètres de large sont tissés, à la demande de Picasso, dans l’atelier Cavalaire de Jacqueline et René DÜRRBACH de saint Rémy de Provence, avec cette injonction de l’artiste : « surtout ne soyez pas imitatifs ! ».
Le premier (1955) se trouve actuellement dans la salle d'entrée du Conseil de Sécurité de l'ONU à New York, le second (1976) est conservé en France, au Musée Unterlinden de Colmar qui l'a prêté à Bayonne et à Bilbao. Le dernier exemplaire, tissé en 1985, a été acquis par le Musée d'Art Moderne de Gunma au Japon en 1995.
La tapisserie de Guernica présentée au Centre Pompidou-Metz est celle de 1976. Elle est un prêt du Musée d’Unterlinden à Colmar / France.
Cette tapisserie est réalisée :
en laine
en onze nuances
sur un métier à tisser de basse-lice.
en six mois de tissage
Le tableau original est arrivé, des Etats-Unis, en Espagne en 1981.
Il est exposé depuis au Musée de la Reine Sofia à Madrid.
Au centre Pompidou-Metz, ce «Guernica » est visible jusqu’au 25 octobre 2010, dans la grande nef, au travers de l’exposition « Chefs d’œuvres dans l’Histoire ».
Un clic sur "CPM" pour poursuivre la découverte du Centre Pompidou-Metz…
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Commentaires
15gavrocheDimanche 5 Mai 2013 à 22:19bonjour merci pour ce magnifique tableau
dont les details sont tres significatifs
bon jeudi amities
Moi, elle m’a touché cette œuvre magistrale de Picasso dès la première fois où je l’ai vue en photo. Ecrire cela me permet de me rendre compte qu’en fait elle est pour moi une œuvre majeure et figure dans mes préférées parmi les milliers que j’aime. Bonne soirée, @mitié l’ami, Marc de Metz.
Cela fait presque deux ans que je partage l’aventure du Centre Pompidou Metz avec vous ici sur mon blog car depuis toujours ce bâtiment me fascine. Merci pour ce commentaire, il m’est très agréable. @micalement, Marc de Metz. Bonne soirée.
Merci Marc de Metz, pour ces très belles photos du Centre Pompidou de Metz.Merci pour ce partage, cette découverte. Elisabeth
Depuis presque deux heures, je m’autorise à utiliser quelques « copier / coller » pour répondre à tous ces commentaires auxquels je n’ai pas trouvé le temps de répondre depuis quelques semaines durant lesquelles j’ai eu plusieurs visites d’amies. Je ne m’y résous que pour très vite, faire une réponse à chacun de ses commentaires. Celui-ci me permet d’arriver à ces derniers encore sans réponse dont le tien là fait partie.
Lorsque tu m’as laissé ce commentaire, j’étais plongé dans de très belles affaires d’amitié avec « Chronique » venue passer plus de huit jours avec nous, Metz et le Centre Pompidou. « Domajj » elle est venue ensuite durant trois jours. Lorsque j’ai de la visite, je réduis mon temps sur mon blog au maximum pour le consacrer à celle ou celui qui nous fait l’amitié de venir jusqu’à nous.
En me levant très tôt, j’ai réussi à publier, à lire tous les commentaires reçus et aussi à passer sur mes blogs amis mais sans trouver le temps d’y écrire.
Merci de me pardonner l’usage de ces « copier / coller » que je trouve incontournables lorsque j’ai près de 200 commentaires en instance et que j’ai besoin de leur donner une réponse avant de reprendre sur mon blog et les vôtres, ma place habituelle. @mitié de Metz, @ bientôt. Marc.
Lorsque tu m’as laissé ce commentaire, j’étais plongé dans de très belles affaires d’amitié avec « Chronique » venue passer plus de huit jours avec nous, Metz et le Centre Pompidou. « Domajj » elle est venue ensuite durant trois jours. Lorsque j’ai de la visite, je réduis mon temps sur mon blog au maximum pour le consacrer à celle ou celui qui nous fait l’amitié de venir jusqu’à nous.
En me levant très tôt, j’ai réussi à publier, à lire tous les commentaires et aussi à passer sur mes blogs amis mais sans trouver le temps d’y écrire.
Aujourd’hui, sachant que j’en avais, pour les avoir vu arriver et les avoir alors lu, j’ai trié mes commentaires pour y chercher ceux restés sans réponse de ma part. Celui-ci en est un parmi beaucoup… Je suis désolé de ne pas y avoir répondu en temps voulu. Mais, comme je souhaite que tu saches que je lis mes commentaires, je te fais cette réponse bien tardive sans doute mais qui me permet de te remercier de m’avoir écrit un jour ce commentaire. @mitié de Metz, Marc.
En te présentant surtout mes excuses d’utiliser ce copier-coller. Il est là le seul moyen pour laisser sous chacun de vos commentaires ces mots, enfin !
Lorsque tu m’as laissé ce commentaire, j’étais plongé dans de très belles affaires d’amitié avec « Chronique » venue passer plus de huit jours avec nous, Metz et le Centre Pompidou. « Domajj » elle est venue ensuite durant trois jours. Lorsque j’ai de la visite, je réduis mon temps sur mon blog au maximum pour le consacrer à celle ou celui qui nous fait l’amitié de venir jusqu’à nous.
En me levant très tôt, j’ai réussi à publier, à lire tous les commentaires et aussi à passer sur mes blogs amis mais sans trouver le temps d’y écrire.
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En te présentant surtout mes excuses d’utiliser ce copier-coller. Il est là le seul moyen pour laisser sous chacun de vos commentaires ces mots, enfin !
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Aujourd’hui, sachant que j’en avais, pour les avoir vu arriver et les avoir alors lu, j’ai trié mes commentaires pour y chercher ceux restés sans réponse de ma part. Celui-ci en est un parmi beaucoup… Je suis désolé de ne pas y avoir répondu en temps voulu. Mais, comme je souhaite que tu saches que je lis mes commentaires, je te fais cette réponse bien tardive sans doute mais qui me permet de te remercier de m’avoir écrit un jour ce commentaire. @mitié de Metz, Marc.
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En te présentant surtout mes excuses d’utiliser ce copier-coller. Il est là le seul moyen pour laisser sous chacun de vos commentaires ces mots, enfin !
Il y a de belles choses dans ce centre !
le tableau de Picasson traduit bien la violence de l'évènement !
(ma belle- mère y était; toute gamine)
Sans doute le tableau qui marqua le plus mon imaginaire de cette barbarie, accroché à la mémoire culturelle et la mienne dans mes engagements!
Merci Marc, donc il faut que je cadre ma visite.
Bonne soirée
@mitié
Covix
n'aimant pas parrtiulierement picasso j'ignorais , bien que connaissant ce tableau que cette oeuvre etait tissée... merci pour ce plus dont tu nous informes
je découvre votre blog par le blog d'une amie......bravo pour votre ouverture au monde ! si cela vous intéresse il y a une expo au chateau de Freistroff ce WE !
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je connais ce tableau pour l'avoir admirer et étudié.....hormis la violence dont il témoigne il est aussi une part émotionnelle de picasso/ on aime ou on aime pas....mais c'est une oeuvre qui est loin de me laisser indifférent.....bien de la présenter....surtout qu'elle se trouve prés de chez toi....merci de ce partage.....bonne soirée.........;amitiés>
sumadrad