Document photo : Anniclick d’Amiens.

Dialogue : auteur inconnu.

Lien vers le blog d’Anniclick : sous « Anniclick d’Amiens ».

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comme tous les dimanches depuis le début de cette année je vous propose de découvrir ou de revoir l’un de mes anciens articles « perdu » au milieu de milliers d’autres déjà publiés.

 

Depuis cette semaine ici le printemps est arrivé et enfin nous allons revoir les arbres de la place Jeanne D’arc commencer à verdir lui rendre son statut de place intime. Bientôt, c’est là que nous irons prendre un verre en nous y sentant à des milliers de kilomètres de la foule affairée dans la zone piétonne et commerciale.

 

 

 

 

Une place intime est posée au cœur du quartier le plus ancien et historique de Metz : « Les Hauts de Sainte-Croix ». Celles et ceux qui aiment remonter la rue Taison, en venant du centre ville commercial et bruyant, y trouvent un très beau refuge loin de l’agitation et du bruit. Les enfants y sont rois et y jouent, sous les regards des parents et adultes, autour de sa fontaine en la transformant en terrain de jeu, depuis des générations et des générations.

 

La place Jeanne d’Arc est l’un des joyaux de la Metz gallo-romaine. Depuis un siècle : 1905, elle est aménagée dans sa configuration actuelle. Celle-ci la rend très agréable en été et pittoresque toute l’année ; dominée par la magnifique église qui part à l’assaut du ciel avec ses deux tours élégantes. C’est là que se trouvent les vitraux les plus anciens de Metz.

 

C’est la première fois que j’y aie découvert les escaliers de l’église Sainte-Ségolène transformés en « plage » par une jeune fille posée elle aussi sur une grande serviette de plage rouge.

 

Amusant qu’elle l’ait été face à la petite foule du café « Jehanne d’Arc », elle à l’ombre des grands arbres de la petite place, ombre très recherchée pendant les fortes chaleurs de nos étés messins.

 

Le café est installé dans une bâtisse qui date du 13^e siècle. Dans sa salle il y a des dessins du 13^e et des pochoirs du 16^e siècle. L’église est présente dans ce quartier de vignerons depuis le 5^e siècle. Ses façades offrent des vestiges de portes et de fenêtres gothiques.

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’eau est pour l'humanité une source de vie.

A Metz elle est là source de beautés discrètes.

Un vieux pieu rouillé au bord de la Moselle,

Dessine des arabesques noires irréelles.

Le beau je vous le dis existe autour de nous.

Il en en va ici de cette réalité comme partout...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

Avant de dire un adieu définitif aux ambiances, couleurs et émotions de l’hiver, je vous entraine dans une dernière promenade glaciale dans le parc de la Promenade Wiltzer, sous les fenêtres de mon bureau. Dans ces photos, elles datent de la semaine dernière, je n’ai pas inventé le soleil.

 

Depuis l’automne dernier, je n’avais plus vu une affluence comme celle de cette mi-journée d’avril glaciale. C’est en y croisant une vingtaine de promeneurs (j'ai compté les deux chiens) que j’ai su que le printemps enfin arrivait.

 

Si les messines et les messins sont très amateurs de soleil, de grand air, de calme ils le sont surtout lorsqu’il fait beau et doux… Bientôt, après des mois de confinement au chaud, nous seront des dizaines, des centaines voire des milliers dans les parcs car il fait de moins en moins froid et de plus en plus soleil.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

  

 

 

 

Ici, le printemps c’est le retour des échafaudages.

A bon nombre de nos bâtiments on refait une beauté.

C’est pour préserver leur pudeur qu’on les voile de tulle.

Bientôt, place des Charrons il y aura un immeuble "neuf"...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Environ 125 000 personnes me tiennent compagnie à Metz.

Je ne les connais pas toutes mais je les croise dans la ville.

Ici certaines marchent, d’autres roulent, d’autre naviguent…

J’en vois des pressées, des tranquilles, des en repos ou pas.

Je les photographie seules en couple, en famille, entre amis.

Oui, je ne vis pas seul dans Metz et cela me rassure toujours.

 

Un clic sur chacune de ces photos vous permettra de la voir en plus grand.

 

 

 

 

            

 

 

 

             

 

 

 

             

 

 

 

            

 

 

 

             

 

 

 

             

 

 

 

             

 

 

 

             

 

 

 

              

 

 

 

            

  

  Voir ou revoir "A la rencontre des gens de Metz / 1..." par un clic ici...