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A Metz l’été aime écrire sa poésie sur un rideau d’eau.
Il le fait en utilisant de frêles branchages pour l’inventer.
J’aime que l’été me dise bonjour au bord du lac aux Cygnes.
Il n’y a des moments de sérénité qui ne sont qu’à voler à la nature.
Être touché par cette beauté c’est se réconcilier avec beaucoup et soi…
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La Seille mesure près de 140 kilomètres. Elle prend sa source en Moselle, va faire un petit tour en Meurthe et Moselle. Puis elle y revient pour avoir le plaisir de se jeter dans la Moselle à Metz. La Moselle à son tour se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne.
A Metz, la Seille devenue urbaine longe le vaste parc des Jardins de la Seille dont nous profitons depuis une grosse dizaine d’années. D’une superficie de 20 hectares ce parc est le voisin du Centre Pompidou-Metz et aussi du "Palais des sports / salle de concert" qui porte ce nom "Les Arènes".
Une élégante passerelle, la passerelle du Graoully, passe au dessus de ce cours d’eau toujours très paisible... pendant la belle saison. Très récente, très moderne, trs aérienne elle rapproche le centre ville du quartier résidentiel de Queuleu. A droite, "Les Arènes".
Nous Habitons tout près de cet immeuble blanc qui apparait au dessus des arbres. La Seille coule a ses pieds juste à côté de chez nous. J’aime beaucoup venir au Centre Pompidou-Metz en passant par là. Au fait, c’est dans cet immeuble que sont logés les pompiers de Metz et leur famille.
Les berges de la Seille sont prévues pour héberger l’eau de ses crues hivernales et sans que cela occasionne des dégâts irréparables. Volontairement et légèrement encaissée le lit de la rivière, en période de crue, ne déborde que provisoirement sur les berges aménagées du parc. Aucune crue ne perturbe sa fréquentation ni même celle des canards et des cygnes, bien au contraire.
Pour rester au sec, il suffit de ne pas emprunter pendant quelques jours les grands escaliers qui desservent les berges. Le spectacle de la crue est aussi beau vu depuis les autres allées du Parc.
Ces pontons de bois sont des points de vue sur la Seille. Ils sont bien plus fréquentés pendant la belle saison que pendant les crues. Beaucoup de sportifs aiment s’y arrêter pour y reprendre leur souffle et peut leur importe alors le niveau de l’eau.
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Je n’ai pas trouvé le temps de vous montrer quelques photos d’une belle exposition au Centre Pompidou-Metz (CPM) et je ne le trouve qu’après qu’elle soit terminée. En effet, elle vient de fermer ses portes le 1er avril.
Mireille du Sablon et moi y sommes un jour allés ensemble pour découvrir ce qui y était présenté sur le thème « Une brève histoire des lignes ». Lorsque nous nous rencontrons, nous trouvons le plus souvent le temps d’aller faire un tour dans les expositions du CPM, ou d'y retourner.
Nous y avons vu, réalisées par 80 artistes, près de 220 œuvres permettant d’y appréhender la pratique du dessin et du tracé de 1925 à nos jours.
Au moins une visiteuse a franchi la ligne interdite pendant cette exposition. Pas de chance pour elle, j’étais là et cette photo prouve qu’il peut y avoir des lignes franchissables même lorsqu’elles ne doivent pas l’être (ce n'est pas Mireille du Sablon).
Dans un coin de l’exposition, j’ai vu et aimé ce qui pouvait être une allusion au fait qu’un solide cordage puisse être une ligne de vie.
Je connais à Metz une gentille dame qui craque a chaque fois qu’elle a un magnifique et gentil bébé en ligne de mire et cela se traduit par un sourire alors radieux… C'est vrai que le bébé était adorable et adorablement beau.
Je ne me suis pas risqué à déranger ces deux là car j’ai supposé qu’ils pouvaient être en train de se demander chacun où pouvait être passée leur ligne. Ils sont restés longtemps assis et silencieux.
Pas la moindre trace d’une ligne verte dans l’exposition alors que c’est une ligne qui a eu un succès considérable au cinéma. « La ligne verte » est l’un de mes films préférés.
J’ai beaucoup aimé cette incroyable photo avec ces lignes de la main (des doigts) et depuis je me suis découvert des lignes identiques sur les miens (au même endroit) qui elles n’ont jamais été exposées.
Si vous deviez ne pas l’avoir encore su, Mireille du Sablon est une briseuse de lignes noires. J’étais en train de cadrer ces deux là lorsqu’elle a fait un pas en arrière et cela a suffit à briser, mais joliment, une ligne noire parfaite.
Un clic sur cette photo vous permettra d’aller sur son blog pour le découvrir et même de lui faire savoir que j’en ai fait une œuvre d’art du Centre Pompidou-Metz. Rapporter n’est pas toujours un si vilain défaut surtout lorsque cela concerne l'art…
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Un jour deux photos
Un de mes « Vu à Metz ».
Publié pour devenir un clin d’œil.
Avec vous aujourd’hui je le partage.
Il est l’image d’un instant de vie à Metz.
Invitation à partager une ou dix émotions.
Si la tour Effel fait 324 mètres de hauteur, le Mont Saint-Quentin en fait lui 358.
C’est la « montagne » de Metz. Elle domine ici la vallée de la Moselle.
Il n’a ni étages, ni ascenseurs, ni des millions de visiteurs.
Il ne peut être comparé ni au Mont Fuji, ni au Kilimandjaro.
Tant mieux car ainsi ne risquons ni éruptions ni neiges éternelles
Et lui, Il est est au bout de notre regard au dessus du plan d'eau…
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Ces photos sans légende sont toutes prises à Metz.
Elles me permettent de vous en montrer plus de la ville.
Ces bouts de Metz sont un kaléidoscope de ses beautés.
Metz, « Ville où il fait beau et bon vivre !» : j’aime le montrer.
Cette série est inépuisable car Metz est une ville photogénique.
Ces photos n’ont qu’un but, celui de vous apprendre à l'imaginer.
Il est possible que je tente de vous donnez envie de venir la découvrir…
Si je devais avoir numéroté les photos de ces « Vingt de mes « Autour » du Centre Pompidou-Metz », la dernière de cet article, celle du Centre Pompidou-Metz porterait le numéro 2 000 de cette série commencée il y a des années.
J’ai choisi, au travers de ces nouvelles photos, de vous montrer la présence de la pierre de Jaumont, jaune, safranée ou dorée dans la ville. Depuis des centaines d’années, la cathédrale de Metz fêtera bientôt ses huit cent ans, c’est avec cette pierre exceptionnelle (sa carrière est encore exploitée à une vingtaine de kilomètres de Metz) qu’on été construits une grande majorité des bâtiments de Metz, publics ou privés.
La dernière photo est un clin d’œil à la modernité et l’élégance du Centre Pompidou-Pas un centimètre carré de pierre de Jaumont n’a été utilisé pour édifier le centre inauguré en 2010 et autour duquel Metz reste une ville fière de ses 3 000 ans d’histoire.
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