Je vous invite dans une promenade en couleurs subtiles

Elles sont invitées depuis des siècles dans sublime ville

 

Là-bas les façades séculières sont cloisonnées par le bois

En milliers de lignes robustes il s’impose sous ses toits

 

A Strasbourg les colombages signent le temps passé

J’aime les redécouvrir à chaque fois dans leurs beautés

 

Bonjour Eva que ces photos te fasse amie savoir cela

Dès que l’hiver sera passé nous te retrouverons là-bas

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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D’autres couleurs habillent une forêt qui part en hiver

Celle autour du village de Gorze cache des trésors divers

Les regrets d’un été passé sont imprimés dans ses verts

Cette forêt de la part des hommes ne subis que petits revers

Je vous invite dans ce qui décrit ici de l’automne bel univers

 

Cette forêt au début de l’automne se referme doucement

Bientôt ses chemins seront dans des malheurs permanents

Alors les hommes ne s’y risqueront en hiver que rarement

Des neiges lourdes effaceront ses chemins pendant longtemps

Je vous invite le long de ses chemins pendant qu’il est temps

 

Pourtant il y restera des vies confinées au bout des ornières

Dans la forêt de Gorze les heures d’hiver sont irrégulières

Le temps s’y passera dans des envies de journées printanières

De loin les gens de la ville reviendront dans des allées cavalières

Je vous invite dans une forêt qui avec l’hiver n’est jamais rancunière

 

Photos : Bernard de Metz.

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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C’est sur la Place de la république que le village du marathon a été installé cette année. C’est une des nouveautés de cette deuxième édition que celle d’avoir alors pu y monter un village plus vaste, plus convivial, plus festif. Nous y avons côtoyé de très nombreux « champions » au bout de leurs efforts.

 

Toutes les installations nécessaires à la fin d’un marathon y étaient rassemblées à proximité immédiate de l’arrivée. Des élèves de l’école de kiné de Nancy ont été prévus pour masser les participants qui l’on souhaité. Les concurrents les plus en forme ont commencé à se disperser dans la foule parés le plus souvent de leur couverture d’or.

 

Pendant ce temps les arrivées continuaient parfois groupées, parfois individuelles, souvent entre participants qui devaient avoir fait la course en binôme depuis le départ.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

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Le marathon de Metz 2011 / Le bonheur était place de la République...

 

 

 

 

 

 

 

  

 

J’écris depuis des mois entre les lettres A et E d’un clavier

Je fabrique des mots pour me mettre avec vous en amitié

Contraint dans du temps je le fais parfois à la vitesse épervier

Temps alors volé à vie amour amis dans heures ici isolées

 

Ami alors en écriture je sais l’être pour beaucoup devenu

Emotions partagées bien moins virtuelles que supposées

Mots réfléchis choisis envoyés vers l’autre jamais entrevu

Prisonnier involontaire je suis dans des destins racontés

 

Comptable attendri bouleversé blessé par la souffrance

Je devine entre des mots des vides remplis de malheurs

Lecteur je suis de vies rarement en cours de délivrance

Mon moi me met dans vos maux alors le cœur en labeur

 

J’aime ces écritures belles même dans des mots déchirés

Habillé de solitude je suis en voyage dans d’autres vies

J’aime ces heures troubles invité dans vos vies chavirées

C’est en apnée dans votre douleur que la mienne je dévie

 

J’écris depuis des mois entre les lettres S et E d’un clavier

J’usine des phrases pour me mettre avec vous en solidarité

Quand mon temps je trouve je fais à la vitesse du caravanier

Temps alors consacré à toi à lui à vous à eux en seule amitié

 

 

 

 

 

Voisin du Centre Pompidou-Metz, avenue Louis Ledébonaire, « Les Arènes », palais omnisports de Metz est un exemple de l’architecture contemporaine ici. Posé le long de la Seille dans le quartier de l’Amphithéâtre, il est un magnifique balcon sur le parc de la Seille qui offre, grâce à ses 20 hectares de jardins et de pelouses, un site apprécié pour la promenade, pour la détente et pour ses nombreuses installations ludiques réservées aux enfants. J’aime y accéder par la promenade de la première photo. Elle longe la Seille et commence à cinq minutes à pied de notre domicile.

 

Avec 4 300 places dans les gradins, « Les Arènes », depuis une dizaine d’années, sont un complexe polyvalent. Elles accueillent des évènements sportifs et artistiques nationaux et internationaux depuis son inauguration en septembre 2001. Conçues par l'architecte Paul Chemetov elles sont construites sur les vestiges de l'ancien amphithéâtre gallo-romain, comme l’est le Centre Pompidou-Metz et une partie des voies ferrées de la gare de Metz.

 

Offrant une surface de 16 850 m2, sa longueur est de 152m, sa largeur de 100 m et sa hauteur de 19 m, ce palais omnisports est plus de deux fois plus grand que l’ancien incendié en mars 1999. Son chantier a duré deux ans. A titre de comparaison, la cathédrale de Metz fait 138 m de long, 58 m de large et près de 42 m de hauteur sous la nef. La hauteur de la grande salle des Arènes est elle de 18 m.

 

Un autre chiffre comparatif me permet de vous préciser que la cathédrale de Metz occupe au sol une surface de 4 800 m2, alors que celle des Arènes est de 12 000 m2. ,

 

Côté Seille, c’est une petite rivière qui se jette plus loin dans la Moselle, ce vaste édifice aux lignes épurées est ouvert sur l’extérieur grâce à d’immenses baies vitrées. Je me suis promené tout autour de ce bâtiment et je vous propose d’en voir quelques photos. De son immense parvis, j’aime admirer la combinaison très moderne de son architecture avec celle du Centre Pompidou-Metz.

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

Impossible de rater ce jeune tambour si flamboyant

Plus encore sous une pluie presque froide d’un jour gris d’été

Belle opportunité de mettre de la couleur dans ma journée

Ce jeune tambour m’a fait voyager jusqu’en Ecosse

Sa chevelure m’a aussi fait toucher les rivages de l’Irlande

C’est à sa barbe que j’ai pris ces photos de loin

 

Fête de la Mirabelle à Metz...