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Rue de la Fontaine.
Elle est proche de la place Saint-Louis.
C’est la rue piétonne la plus récente de Metz.
Elle abrite depuis quelques siècles un fabuleux immeuble.
Ce bâtiment classé monuments historique date de 1480.
Je vous invite à découvrir l’Hôtel de Heu construit dans le style gothique.
Cette puissante famille Heu est arrivée à Metz, du pays de Meuse, au XIIIème siècle.
Des Heu gouverneront la ville et d’autres seront « maitres échevins ».
Les maitres échevins étaient alors les plus riches des commerçants de Metz.
Sa façade est exceptionnelle à bien des égards :
de hautes et étroites fenêtres à lancettes surmontées de tribolets (qui possède trois lobes)
des fenêtres du second étage elles à linteaux rectangulaires
un haut mur écran
des vestiges gothiques encore visibles.
Un extraordinaire escalier à vis, à double résolution dessert les étages supérieurs dans une cage particulièrement intéressante. Il s’ouvre sur la façade en partant d’un vaste porche très impressionnant avec sa croisée d’ogives. Cet hôtel était alors considéré comme la plus belle maison de Metz.
Les ouvertures des façades ont été modifiées au cours des XVIIIème et XIXème siècles.
En 1661, cette somptueuse demeure a été achetée par Anne d’Autriche qui y fit installer un Séminaire de la Mission Saint-Vincent-de-Paul. Cet immeuble est l’un des plus beaux témoignages de la période de l’apogée de Metz aux XIIIème et XIVème siècles. A cette époque, l’aristocratie se devait de posséder et de vivre dans les plus somptueuses maisons de la ville.
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A mes années violentées et définitivement compostées
Elles me gardent captif d'une mémoire initiée et secrète
Je dois enfin rétrocéder un passé trop composé et saturé
Me faire l’acteur d'une vie acceptée devenue concrète
J'ai des souffrances en auréole et des bonheurs encavés
Je suis de moi auditeur permanent confidentiel et ultime
Rescapé d'un passé sarcophage encore jamais apaisé
De n'avoir point été dénoncé dans un écrit journal intime
Passé en torchis de sentiments définitivement calfeutrés
Obscur chantier d'une enfance délocalisée dans mes peurs
Moments d'une vie amorcée puis dans la douleur basculée
Sans nul autre tord que de n'avoir pas su être l'un des leurs
Pleurs étouffés haine quantifiée refus d'être par eux muselé
Heures en écoute de moi seul pour de ces souffrances m'exiler
Paria dans cette vie en maison de famille je m'y savais rejeté
Miséreux de survivre à chaque instant sans jamais m'aimer
Ces années sont d'avant et d'autres m'en séparent par dizaines
Moments de désenchantements conjugués en renoncements
Temps d'après dans une vie ignorée qu'elle resterait lorraine
Vie ponctuée loin du pays famille de tant d’autres évènements
Voyageur dans une quête trop souvent par d’autres éconduite
Convulsions valsées et endiablées dans de sordides émotions
Je suis par mes peines avalées en calcul de revanche réduite
Indisposition très passagère avant d’un avenir sans condition
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Domajj et Chronique trouvent que Metz est une ville « belle et tranquille » !
Je la désigne donc « Ville sage 2010 »…
Oui, Metz est une ville sage dans ses beautés et sa diversité !
Voici, en vingt photos une contribution modeste de ma part à cette réalité…
Chronique a perdu en une dizaine de jour une croyance !
Metz n’est pas une ville immense mais bien une ville où il fait bon vivre…
Domajj elle affirme que Metz est une ville sans limite dans ses surprises !
Je suis absolument ravi par leur perception de ma ville…
Redécouvrir ou voir : Vingt de mes "autour" du Centre Pompidou-Metz / 8...
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Je ne m’en reviens pas !
1 : Il fait extraordinairement beau à Metz…
2 : Nous nous sommes promenés très tôt ce matin.
3 : Nous avons ensuite pris un café place Saint-Jacques…
Moment heureux en matin clair d’avril frais et si lumineux.
Je ne m’en reviens pas !
Dans ma tasse de café, j’ai vu apparaître mon prénom ?
Levés tôt, nous avions décidé d’aller voir la ville au lever un dimanche.
Je ne m’en reviens pas !
Je ne suis pas prêt d’en revenir…
Troublé, j’ai décidé de prendre cette photo, unique au Monde…
L’extraordinaire c’est que cela se passe un 25 avril !
Vous pouvez là vous demander ce qui est si exceptionnel ?
Le 25 avril c’est la Saint-Marc !
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Les amantsLaisse donc les amantsS’aimer passionnémentVivre le jour la nuitEnsemble réunisIls se sont rencontrésRegardés et aimésIls se sont retrouvésSur un lit défaitLes draps blancs sont froissésLes lumières tamiséesL’homme est allongéLa femme est couchéeLes amants sont iciIls ont été unisPar le commun désirDe goûter au plaisirLaisse donc les amantsS’aimer passionnémentVivre le jour la nuitEnsemble réunisMarc, écrit à Metz le 1er avril 1971
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Dur-dur de photographier Chronique ! Elle trouve depuis une semaine, à Strasbourg comme à Metz de quoi se cacher derrière des panneaux ? Impossible de mieux vous la montrer malgré mille efforts… Dur apprentissage de paparazzi que le mien ! Voici un résultat, sans doute pas du tout méritant du prix « Pulitzer ». Je tenterai ma chance une autre fois avec l'aide de Laurent. La discrète s’annonce vouloir revenir à Metz, ravie d’y séjourner incognito… (*) Bien plus amusant de photographier amie Domajj arrivée hier à Metz ou amie petite Eva à Strasbourg…
(*) Chronique est internationalement connue dans un village (**) !
(**) Moins de 8 000 habitants !
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