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Images sages qui se comptent de une à vingt.
Morceaux de vie ici à Metz partagés avec vous.
Récolte d’instants de vie dans les coins de ville.
Sans autre ordre que celui invitant à la découverte.
La vieille colonne Morris parée d’affiches colorées.
La voute pointue ouverte sur la place Saint-Louis.
Le plan d’eau qui se la joue en lagon d’ailleurs.
Le vieil Hôtel de Burtaigne caché par les parasols.
L’excellent primeur du Marché couvert de Metz.
Une des péniches du canal vers le plan d’eau.
Les créneaux du grenier de Chèvremont.
Les vitraux sur le quai n° 1 de la gare de Metz.
La salle de l’Arsenal et la chapelle des templiers.
L’homme aux cygnes sur la pelouse du plan d’eau.
Une enseigne de la rue des Piques près de la Moselle.
Une porte bleue rencontrée au bout de l’avenue Foch.
Le passage sous les immeubles de la rue Gambetta.
Les tables désertées d’une terrasse place de Chambre.
Le petit restaurant fleuri en bas de la rue Sainte-Marie.
Le grand escalier entre place de Chambre et cathédrale.
Quelques reflets sur la façade du Centre des Affaires de Metz.
Chaises encore rangées pour la nuit sur la place Saint-Louis.
Reflets de la place Saint-Louis sur la vitrine de FRESSON.
Deux ouvriers sur la palissade du chantier de la cathédrale.
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Femme amour singulier
Amour intarissable et irrégulier
Sentiments ancrés au fond d’un cœur
Espoirs tournés vers le bonheur
Parfois l’amour laisse des traces
La haine empreinte qui difficilement d’efface
Mais qui avec le temps sans amertume
S’atténue pour devenir de la rancune
Souvent la femme trouve son bonheur
Dans une vie simple qui s’écoule avec douceur
Et quand la mort intransigeante arrive
C’est un cœur comblé qu’elle entraine à la dérive
Ecrit à Nice durant l’été 1968
L’été de mes quatorze ans
Retrouvé à Metz par hasard en mars 2009
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