• Aucune famille autour de mon bientôt Noël

    Pas l’ombre d’un d’une relié à moi par le sang

    Pourtant les heures en réveillon seront belles

    Entourées d’amis dans le rejet de mes avants

     

    Point de Noël partagé avec mes deux enfants

    Aucun cadeau de filles à faire en choix délicat

    Heureux pourtant le temps s’est mis en paravent

    De mon côté la peine ne m’impose aucun dictat

     

    Amitié précieuse en moments heureux pour moi

    Noël ne me raconte que le désamour des miens

    Ma vie les relègue entre parenthèses sans émoi

    Vide d’eux d’elles apprivoisé en sérénité me tient

     

    Le cœur au bord d’une tablée d’amis chaleureux

    L’esprit loin dans des Noëls en beaux souvenirs

    Chaque instant partagé cette nuit me fera heureux

    Merci compagnons joyeux de plaisirs en avenir

     

    Chanceux je me sais l'être de vivre en amitié

    D’autres seront seuls dans cette nuit de réveillon

    Tristes heures solitaires dans des heures isolées

    Je pense à vous dans un partage vos émotions

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  • Je n’ai rien caché l’an dernier de ma colère contre Numéricâble à Metz.


    Aujourd’hui je ne suis plus un client ulcéré par la médiocrité des prestations offertes, par une exécrable hot line odieusement coûteuse et inaccessible.


    Plusieurs mois se sont passés sans aucune privation d’accès à Internet.


    Je peux en dire autant de la fourniture des programmes de télévision.


    Le débit entrant et sortant est très satisfaisant.

    Aucun décrochage du modem à déplorer.
    Aucune interruption dans la diffusion des programmes télé.
    Un accès facilité, rapide avec au bout la résolution de mes problèmes de connexion lors de mon changement de materiel.

    Je reçois même et enfin des courriers de Numéricâble à caractère commercial ou technique.


    Ma facture est mise à ma disposition sur mon compte électronique.

    Je suis donc un client satisfait par Numéricâble.

     

    Je me devais après un terrible coup de gueule publié dans l’un de mes anciens article simplement vous dire qu’à Metz, au centre ville, les prestations offertes par ce FAI correspondent depuis des mois aux engagements contractuels entre  cette société et moi après des débuts particulièrement lamentables.

     

    En souhaitant que cette situation puisse coller à la réalité d’une très grande majorité des clients de Numéricâble à travers la France.

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  • Septembre je suis chez eux bouleversé je pleure

    Ils sont présents tous témoins et aussi acteurs

    Sommes dans notre vie en famille heureuse unie

    Ce soir là pourtant pulvérisée brutalement ma vie

     

    Hurlements d’une mère contre ma seule présence

    Mère crie père se dresse en combat de sa violence

    Frère aîné soudain partagé entre sourire et stupeur

    Une enfant fille princesse me regarde c’est ma sœur

     

    Nul mot ne sort de moi j’ai la tête écrasée par la peur

    Affreuses minutes que je sais en gestation de malheur

    Prise de conscience odieuse de me savoir plus aimé

    La honte d’être fils me vêt d’habits hideux imposés

     

    Je suis seul accablé dans ma chambre je pleure

    Je suis prisonnier de la mise à mort de mon cœur

    Quinze ans je veux contre l’absurde entrer en guerre

    Seul j’appréhende mon devenir abimé le cœur amer

     

    Définitive rupture sans pardon possible s’impose à moi

    Je me découvre affairé en révolte sous leur propre toit

    Soirée en bascule entre respect-amour et profond mépris

    Amour pour eux j’ai fait alors le deuil au bout de ces cris

     

    Années d’après en cascade de brimades violentes

    Rebelle dans ces années vécues en crises permanentes

    Solitaire je m’y suis dépouillé de mon amour pour eux

    J’entrais dans un drame eux deux s’y trouvaient heureux

     

    Un homme au bout de sa vie pour l’éternité repose en terre

    D’autres pleurs que les miens sont versés pour ce père

    Deuil pour moi accompli au fond de mes quarante années

    Cinquante-cinq ans est âge apaisé en souffrances oubliées

     

    Passé révolu d’une vie heureuse assassinée par parents

    Victime d’une maltraitance verbale proférée en cris déments

    Perte à jamais avérée de ce qui me faisait être fils heureux

    Mon père vient de mourir sans que j’en sois malheureux

     


    Leur père

    1918 / 2009

    Mon père

    1953 / 1968

     

    Leur mère

    1916 / 1985

    Ma mère

    1953 / 1968


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  • Un Guanaja vernissé dans sa somptueuse robe de chocolat noir

    Un Tokio-Abidjan dans ses saveurs matinées de rêves de voyage

     

    Des truffes provoquant des émotions à ne partager qu’entre amis

    Un assortiment de chocolats d’une douce finesse exceptionnelle

     

    Juste une infime parcelle des talents de Monsieur FRESSON Metz

    Souvenirs exquis rajoutés à émotions sublimes dans notre amitié

     

    Merveilleux moments enjoués dans ces dégustations de bonheur

    Captivante escales dans nos moments en quête que de perfection

     

    Secrets de nos plaisir dévoilés à Violette belle Dame mauve à Metz

    Moments qu’en unique exigence d’autres souhaités par nous tous










































































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  • Un homme je vous le dis vient de perdre son père

    Perte sans aucune douleur pour lui aujourd’hui

    Un homme vit un deuil inventorié sans être amer

    Enfant depuis longtemps spolié de son amour pour lui

     

    Dans ces heures de peine pour d’autres il ne pleure pas

    Autres peines et pleurs étaient dans sa vie les siens

    Homme de trop loin maintenant en nouvelles de là-bas

    Père absent dans quarante années en dix mille quotidiens

     

    Dans ses bagages vers cette mort pas de place pour larmes

    Un enfant abimé par son père ne pleure plus adulte devenu

    Ses renoncements sont devenus terrible redoutable arme

    Un jour pour lui en fin d’une relation destructrice est venu

     

    Voyage vers une sœur et un frère eux devenus orphelins

    Route empruntée sans possibilité de partager leur désarroi

    Cet homme lui a déjà perdu son père dans passé enfantin

    Triste certitude là de n’être pas même victime d’un émoi

     

    Un homme s’en va au devant des siens eux bouleversés

    Déjà enfant il a été privé du bonheur d’aimer son père

    Pour d’autres dans sa famille un deuil a commencé

    Depuis quarante ans il vivait ces émotions à l’envers

     

    Etrange réalité que celle de se savoir là sans souffrance

    Le cœur en écritoire de trop de chapitres destructeurs

    Un homme se promet de taire au siens sa délivrance

    Formelle intention de rester indifférent à leur malheur

     

    Un homme sans père avant eux est requis par sa fratrie

    Je suis incertain sur le devenir de sa présence parmi eux

    Comment rester unis sans partager un chagrin infini

    Je suis homme dans ce deuil sans y être malheureux


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  • En soleil de fêtes ce jour en Metz la glaciale

    Pâques ici sans invite d’un rendez-vous familial

    Heures devenues sans autre propos que nous

    Enfants absents en refus de nos besoins d’eux

     

    Etranges sentiments que ceux là en mon cœur

    Père tenu hors portée de mes enfants adultes

    Absence et mise à sac d’amour pour mes filles

    Jours semaines mois années sans être le père

     

    Jours bousculés mais jamais le laisser paraître

    Moments dépassés d’apprentissages d’oublis

    S’accepter imparfait pour avaler d’être détesté

    Nuits bascule entre hier et demain sans elles

     

    Navré de cette vie sans plus aucune paternité

    Rassuré de mes jours jamais vidés de mes vies

    Etonné de n’être désaimer que de mes enfants

    Saturé de n’être indigne que dans mes familles

     

    Familles chez vous je me sais être sans place

    Place sacrifiée sur l’autel de valeurs sociales

    Présence interdite dans votre familial spectacle

    Sachez bien que j’en forcerai jamais votre loi

     

    Sans vous j’ai amour amitié urbanité complicité

    Place j’ai encore dans des maisons et vies amies

    Ma présence est souhaitée dans d’autres vies

    Sachez bien que je n’en céderai jamais ma place



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