• Que personne ne m’imagine avoir mérité cela

    J’ai été bicyclette de promenades joyeuses

    Avant je roulais fière vers d’autres beaux là-bas

    Maintenant je suis là en situation douloureuse

     

    Mauvaise rencontre j’ai faite en heure de minuit

    Je suis bicyclette violentée par nocturne vandale

    Inouïe fut la violence commise avant qu’il s'enfuit

    J’ai honte d’être autre victime d’actions infernales

     

    Les feuilles mortes veulent adoucir mon inconfort

    Je suis bicyclette victime d’un sordide individu

    En tapis elles me protègent du froid de dehors

    Tant d’humain sont déjà passés sans m’avoir vu

     

    Encore attachée je suis humiliée couchée à terre

    Je ne suis plus qu’une pauvre bicyclette outragée

    Je déteste le tortionnaire qui m’a laissée en misère

    Que personne ne m’ignore pleurer d’être blessée

     

     

     

    C’est Fuxy du terrier des renards qui nous propose de participer à un nouveau jeu d'écriture. Ce texte est celui de ma participation.

     

    Les règles sont très simples :

     

    - un texte inspiré de cette photo

    - un article sur notre blog avec notre texte

    - pas de limite de temps

    - envoyer notre texte en commentaire ou par mail au Terrier des renards

     

    Notre texte sera publié dans le terrier des renards, dans un article avec un lien vers notre blog.

     

    Une seule obligation pour les participants :

     

    citer et faire un lien vers le terrier des renards dans l'article concernant ce jeu sur notre blog.

     

    Le lien demandé par Fuxy est ici caché sous la photo de la bicyclette.

    Il vous dirigera vers l’article de ce jeu en écriture.


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  • C’est sous un ciel changeant d’automne

    C’est sous son ciel de Metz qu’il est fascinant

    C’est dans un chantier fabuleux qu’il est si beau

    C’est ici un projet qui est devenu une sublime réalité

    C’est ici une controverse entretenue par rares mécontents

    C’est ici notre chantier du Centre Pompidou-Metz en devenir

    C’est de notre ville qu’un jour prochain il sera un nouveau phare

    C’est dès la fin de cette année qu’il se tiendra enfin magnifique achevé

    C’est le 10 mai de l’année à venir qu’il deviendra un musée international

    C’est au travers de ces photos très récentes du plaisir pour moi de le montrer































































    Poursuivre visite CPM 06 02 2010




     

     

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  • C’est la fin de cette visite que je vous propose de faire en entrant dans la cathédrale. Je vous laisse poursuivre votre promenade entre des murs séculiers qui font la particularité de cet édifice. Il y a en effet moins de murs pleins que de surface de vitraux dans cette cathédrale. Pas moins de 6 500 mètres carrés de verres colorés s’offrent à la vue des paroissiens qui la fréquent et à celle des visiteurs qui les découvrent. Vous y verrez, parmi d’autres trésors, un merveilleux petit orgue Renaissance suspendu depuis 1537 dans la nef centrale à proximité du maître hôtel et des grandes orgues actuelles.































































































































































































      

     

     

     

    2010 Bannière Suivi d'articles Metz 17 09 2010

     

     

     

     

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  • Octobre est mois particulier pour moi.

    Chaque nouvel octobre rajoute une année à une rupture.

    Rupture consommée aujourd’hui qui ne me met plus en souffrance.

    Octobre là est alors pour moi l’occasion d’en écrire l’histoire.

    Histoire vraie mais qui ne me met là qu’heureux dans ma vie.

     

     

     

    Un jour j’ai ressenti les plus extraordinaires émotions de toute ma vie.

    Matin de mai en arrière de près de quarante ans jamais oublié par moi.

    Au sortir d’une nuit fascinante et bouleversante j’étais devenu père.

    Matin de mai doux et ensoleillé avec moi anéanti de bonheur et fierté.

    Rien n’a effacé de ma vie ces premières heures exaltantes de paternité.

    Ce jour là je me suis réparé de n’être plus un fils pour mes parents.

    J’ai eu instantanément le cœur en passion d’amour pour ce bébé.

    J’étais légitime à nouveau dans cette vie qui me signait contrat d’aimer.

     

    J’étais dans l’année de mes dix-huit ans.

     

    Belles années fabriquées par bonheur d’époux et père aimé aimant.

    J’ai su au sortir d’une autre nuit que l’amour se partage en parts égales

    En une fraction de seconde dès que bébé-sœur a été là je l’ai aimé.

    Je me savais alors être père aussi sincèrement deux fois autant qu’une.

    C’était une inquiétude que celle d’ignoré qu’être père faisait aimer.

    Aimer de la même façon chaque enfant naturellement instinctivement.

     

    J’étais dans l’année de mes vingt-quatre ans.

     

    Belle était ma vie d’époux et de père et belle était cette famille mienne.

    Beaux sont mes souvenirs d’alors où j’existais simplement heureux.

    Vie dévouée à plaisir à mes enfants sans jamais moi le moindre doute.

    Heures jours semaines mois dans une paternité aimée et assumée.

    Un jour j’ai été invité à bien vouloir divorcer pour favoriser sa carrière.

    Ce jour j’ai été privé du droit de partager le quotidien de mes enfants.

    Ce fut un déchirement épouvantable que j’ai accepté la mort dans l’âme.

    Irréprochable je n’ai pas participé aux frais de la procédure de divorce.

    Ce fut fait par mon ex-femme heureuse de s’offrir sa délivrance de moi.

     

    J’étais dans l’année de mes vingt-cinq ans.

     

    Une autre vie en apprentissage d’autres souffrances et humiliations.

    Une vie en construction sur la douleur de l’absence de mes enfants.

    Une vie étrange et inutile pour moi réinscrit dans autre rejet de moi.

    Six ans de dérive sentimentale car inapte à l’acceptation du bonheur.

    J’étais aussi devenu père qu’en droit de l’être un week-end sur deux.

    Je passais abîmé de périodes dépressives en périodes dépressives.

    Je ne manquais ni de présence ni d’amis mon préféré était le suicide.

    J’ai alors rempli le vide de mes enfants et de mes parents de tentatives

     

    J’allais bientôt avoir trente ans.

     

    Je réussissais à être père lorsque la loi m’en donnait si peu le droit.

    Combien il m’était alors difficile d’être joyeux entre deux séparations.

    Je savais moi que par amour j’avais survécu depuis dernière visite.

    Personne n’aura réussi durant ces années à me faire vivre apaisé.

    Je me détournais de qui osait me suggérer que j’étais méritant de la vie.

    Hors de question de me piéger dans un autre échec et de souffrir.

    J’aimais mes enfants qui grandissaient et m’aimaient et j’avais honte.

    Honte de n’être plus hors mon amour pour elles capable d’aimer vivre.

    Je me souviens de ma culpabilité de les leurrer en prolongeant notre amour.

    Dès leur départ de ma vie je replongeais dans un gouffre de détresse.

     

    J’avais trente ans.

     

    Un jour j’ai du réapprendre à survivre.

    A survivre après cela…

    On m’a volé le droit de mourir.

    On m’a récupéré de la mort.

    On m’a sorti d’un coma d’une semaine.

    On m’a torturé trois semaines en réanimation.

    On m’a retenu quatre semaines en soins intensifs.

    On m’a perfusé pendant cinquante-neuf jours.

    On m’a opéré en urgence deux fois sous anesthésie locale.

    On m’a réappris à marcher

    On m’a réappris à récupérer l’usage de mon bras gauche.

    On m’a obligé à consulter un psychiatre.

    On m’a réopéré six mois plus tard.

    On m’a réinstallé dans la vie couvert de cicatrices.

    On m’a remis au travail au bout de onze mois.

    On m’a dit que ma fille aînée savait tout…

    On m’a demandé alors de vivre pour mes enfants…

    On m’a demandé de rester père auprès de mes enfants.

    On m’a affirmé que j’étais aimé et indispensable.

    On m’a même redemandé en mariage pour reconstruire notre famille.

     

    Je vais vous faire grâce de « MOI » au centre de tous ces « ON ».

    J’y étais privé de ma délivrance et dans mille autres souffrances.

    MOI j’ai fait semblant de survivre et je me donnais le change.

    MOI j’ai détesté être aussi malheureux qu’avant plus malheureux !

    MOI tellement coupable alors d’avoir préféré mourir que d’être père.

    MOI défiguré par une cicatrice qui me raconte cette vie d’avant.

    MOI obligé de vivre.

    MOI pris en charge par des nouveaux amis et une vie imposée.

     

    Puis j’ai réussi à survivre au-delà d’une première année terrible.

    J’avais enfin déménagé pour venir habiter dans le centre ville.

    Puis au-delà d’une seconde difficile sans jamais y avoir été seul.

    Mes enfants et leur mère étaient présentes dans ma vie souvent.

    J’avais repris mon travail je tenais le coup qu’en me voulant en sursis.

    Chaque soir était pour moi le dernier et je détestais le suivant.

    Je vais là vous faire grâce du reste de « MOI » pendant ces deux années.

     

    J’étais dans l’année de mes trente-trois ans.

     

    Année de la rencontre avec Bernard.

    Bernard a réussi lui à s’imposer dans ma vie.

    Bernard m’a sauvé.

    Bernard s’est acharné à me faire aimer à nouveau la vie.

    Bernard s’est débrouillé pour me faire survivre malheureux puis heureux.

    Bernard est devenu l’ami de mes amis(es).

    Bernard est devenu l’ami de mes filles l’ami de leur mère.

    Bernard a tout mis en œuvre pour nous être agréable.

    Bernard a contribué grandement à ma relation avec mes enfants.

    Bernard a participé aux anniversaires et aux fêtes ici ou chez elles.

    Bernard a supporté beaucoup de mes filles en adolescence.

    Bernard a partagé douze ans de ma vie avec elles.

    Bernard les connait parfaitement et plus objectivement.

     

    Un soir, je me suis disputé pour la première fois avec ma fille aînée.

    C’était au téléphone, elle venait de partir à Paris avec son ami.

    Notre dispute a porté sur un problème d’argent à l’avantage de sa sœur.

    Je ne savais pas que ce soir là j’allais la perdre définitivement.

    Je ne l’ai plus jamais revu depuis ce soir sombre d’octobre 1998.

    Elle avait vingt-six ans.

    Elle ne m’a jamais pardonné d’avoir osé lui tenir tête.

     

    J’étais dans l’année de mes quarante-cinq ans.

     

    Quatre ans plus tard sa sœur a fait le choix de me renier à son tour.

    J’étais soudainement encombrant dans un projet de mariage.

    J’avais déjà été encombrant dans le projet de carrière de sa mère.

    Je me rappelle combien elle s’était affirmée choquée et navrée par sa sœur.

    Je me rappelle toutes les soirées passées ici à discuter de cela impuissants.

    Je me rappelle que grâce à elle je pouvais avoir des nouvelles de sa sœur.

    Je me rappelle de tout durant ces quatre années après la rupture avec sa sœur.

    A l’inverse de sa sœur j’ai lutté pendant des semaines pour ne pas la perdre.

    Son amour et son respect pour moi se sont volontairement interrompus.

    Elle aussi avait alors vingt-six ans.

     

    J’étais dans l’année de mes quarante-neuf ans.

     

    J’ai appris à vivre sans plus rien savoir de mes filles jamais.

    Etrange apprentissage de ne plus jamais être père.

    De n’être père que de souvenirs.

    De ne jamais savoir rien sur ses enfants.

    D’y penser tous les jours et de se raisonner…

    Personne ne nous aura jamais reliés pendant plus de quatre ans.

    J’ai trouvé ma force en acceptant cela tout simplement.

    Puis c’est devenu une habitude.

    Puis j’ai accepté de renoncer à attendre.

    Puis j’ai été délivré de mes enfants puisqu’inexistantes dans ma vie.

    Puis j’ai mesuré alors que je ne soufrais plus de leur absence.

    Puis j’ai accepté que nous fussions devenus des étrangers.

    Puis j’ai fini par en sourire…

    Puis j’ai enfin appris à vivre pour moi.

     

    Je n’étais plus père sauf dans ce qui avait été ma vie avec mes enfants.

    Je n’avais plus été le fils de mes parents à partir de l’âge de quatorze ans.

    J’étais aguerri en matière de rejet et de refus de moi dans la vie des miens.

    Je devais surtout ne pas laisser mes enfants me blesser elles aussi à mort.

    Je ne me sais pas avoir mérité cela de leur part jamais.

    Ce sont mes amis qui me l’affirment toujours.

    C’est surtout Bernard qui me l’affirme toujours.

    J’ai donc vécu ici à Metz ma vie une vie heureuse une vie dispensée de culpabilité.

    J’ai appris à penser à mes enfants tous les jours sans aucune souffrance.

    J’ai même appris à en parler sans être submergé d’émotions devenues inutiles.

    J’ai compris surtout que je me refusais père dans une relation médiocre.

    J’ai accepté de n’être ni plus aimé ni plus respecté ni plus toléré.

     

    J’étais dans l’année de mes cinquante-deux ans.

     

    Ce dont je ne peux faire l’économie c’est du retour de ma seconde fille dans ma vie.

    Il n’aura duré qu’une année malgré je l’imagine nos efforts réciproques.

    Je n’oublierai pas ce que j’ai vécu en la revoyant après plus de quatre ans de silence.

    J’ai perdu ma voix pendant une dizaine de minutes incapable de prononcer un mot.

    Cette année nous aura permis de nous accepter incapables d’avoir une relation.

    Je l’ai vécue replongé dans la seule attente de son bon vouloir.

    Je l’ai vécue confronté à sa seule loi qui décidait de nos rencontres.

    Je l’ai vécue en pardonnant trop de choses pour moi blessantes.

    Je l’ai vécue sans devoir jamais ni parlé de sa famille de la mienne.

    Je l’ai vécue de plus en plus mal car elle n’en faisait qu’à sa tête et de loin en loin.

    Je l’ai vécue confronté à trop de déceptions et à sa légèreté des plus irrespectueuses.

    Je l’ai vécue à me retrouver insatisfait d’être maintenu à la place qu’on donne à un copain.

    J’avais été sacrifié lors de son projet de mariage elle ne s’était jamais mariée !

    Un soir de janvier je lui ai parlé au téléphone.

    Rien de ce qui pouvait m’avoir blessé contrarié déçu irrité n’a été admis de sa part.

    Ce soir là je lui ai proposé que nous en restions là puisque nous n’étions pas heureux.

    Je me suis entendu répondre : « bien pas de problème pour moi c’est toi qui décide ! ».

     

    Je suis là dans l’année de mes cinquante-cinq ans.

     

    J’y suis redevenu heureux.

    J’y suis protégé par mes renoncements définitifs.

    J’y suis totalement libéré de la plus infime espérance de les revoir.

    J’y suis à nouveau sans plus avoir la moindre information sur mes filles.

    J’y suis sûr de moi et certain de ne pas avoir mérité cela.

    J’y suis convaincu que nous sommes trop devenus des étrangers.

    J’y suis convaincu d’être à vie séparé d’elles.

    J’y suis redevenu simplement heureux car je maîtrise ma vie.

    J’y suis heureux et Bernard s’est mis à faire des photos magnifiques.

     

    Si un jour l’une ou l’autre devait avoir la curiosité de me rencontrer j’accepterais.

    J’accepterais moi aussi par curiosité uniquement pas curiosité comme elles.

    Je me promets de ne pas perdre inutilement ma voix pendant quelques minutes.

    De mon côté comme depuis toujours je n’entreprendrai jamais rien pour les revoir.

    J’ai eu deux enfants que j’ai aimé passionnément qui vivent dans mes souvenirs.

    Je n’ai plus envie qu’elles aient envie de me revoir car nous sommes des étrangers.

    Mes filles sont les filles de leur mère et leur mère aura été finalement une ennemie.

    Ces même filles maintenant adultes ne sont plus mes enfants c’est là préférable.

    Préférable et définitif pour moi.

     

    Octobre est pour moi mois heureux.

    Un soir d’octobre 1986 j’ai rencontré Bernard.

    Chaque nouvel octobre rajoute aussi une année de vie.

    Heureuse au point que je peux là avoir écrit cette histoire.

    Ecriture en absence d’aucune nouvelle souffrance.

     

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  • Metz chanceuse a des milliers de toits.

    Ils servent d’écrins à la cathédrale Saint-Etienne.

    Metz heureuse a des milliers de bâtiments.

    Ils servent à nous protéger des aléas du temps.

    Metz chaleureuse a mille beautés à offrir.

    Elles servent à provoquer de belles émotions.









    Au-delà de la place Mazelle, Plantières et Queuleu.

    Ils sont quartiers résidentiels parmi d’autres…








    L’hôpital des Armées Legouest est réputé dans la région.

    L'exellence des soins y est maintenant accessible à tous.








    Avant les années 70 une ville devenait moderne qu'en érigeant des tours.

    Peu de ces constructions barrent ici le ciel sauf sur la place Coislin.

    Voici l’unique grand parking qui ne soit pas enterré dans notre ville.








    Le clocher de l’église Saint-Martin flirt avec le Mont Saint-Quentin.

    Ce site magnifique est revenu civila grâce au départ des militaires.

    Il offre un point de vue exceptionnel sur Metz et la vallée de la Moselle.








    La place du Quarteau est l’un des salons de Metz.

    Il est agréable de s’y assoir pour y prendre un verre.

     

     







    Sur nos vieux toits la tuile rouge rivalise avec l’ardoise grise.

    Sur les plus récents le béton plus confidentiel se la joue discret.








    L’hôpital militaire Legouest occupe une place privilégiée en ville.

    Il sera très bientôt le seul hôpital dans les murs de Metz.

    Metz construit en périphérie une plate-forme hospitalière régionale.

    Une seconde est aussi en cours de construction à l’opposé.

    Sur ces sites tous les hôpitaux civils de Metz seront intégrés.








    Au loin, les immeubles du quartier des Hauts de Blémont.

    Souvenir d’une urbanisation à outrance, il est en requalification.

    Le campus universitaire Bridoux et la clinique Claude Bernard en sont voisins.








    Se sont quelques toits du quartier de la colline Saint-Croix.

    Ils sont à la rencontre des rues des Tanneurs, Haute-Seille et Fournirue.

    C’est sur celle hauteur que se trouve la plus ancienne partie de Metz.

    L’institut Européen d’Ecologie, présidé par Jean-Marie Pelt, est installé là.








    Le clocher de l’église Saint-Martin est fier dans le ciel messin.

    A sa droite, à auteur de l’horloge apparait Saint-Pierre-aux-Nonnains.

    C’est le plus ancien édifice religieux de Metz (380 après Jésus-Christ).








    Juste au pied de Plantières la petite rue des Frères Lacretelle.

    Elle est sortie de sa léthargie depuis qu’elle est l’accès à Legouest.

    Nous sommes nombreux à y trouver une place gratuite de parking.








    Face à ces deux tours, une troisième et dernière de même hauteur.

    Elles dominent depuis plus de quarante ans notre quartier d’Outre-seille.

    De cette tour, Bernard a rapporté ces photos prisent d'un treizième étage.


    Photos prises par Bernard. 

     

     

      

     

    2010 Bannière Suivi d'articles Metz 17 09 2010

     

     

     

     

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  • Une année en sordides trente et un an

    Au bout de mes forces j’étais dans bilan


    Je m'y suis alors offert saveur de la mort

    Je n’ai jamais ressenti qu’un seul remord


    Celui d’avoir été de ma conclusion privé

    J’ai eu un jour un autre âge jamais oublié


    Je suis voyageur dans une vie suivante

    Nostalgie dans mes bagages troublante


    Croisière en quatre escales en pays suicide

    Au port du retour je vis en regrets lucides


    Je me suis laisser faire horrible trentaine

    Je m’accorde droit de vie en cinquantaine


    Si vie imposée depuis en habits cicatrices

    Mort volontaire n’y est plus unique actrice


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