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Quinzkû : Fuite...
Juste quelques mots sur une photo
Des mots pour traduire des émotions
Sur une photo en harmonie avec ces mots
Un quinzkû s’écrit toujours avec le cœur
Photo prise en Moselle par Bernard...
Le quinzkû est une variante de l’haïku et du senryû japonais.C’est un petit texte poétique écrit avec le cœur.
Un quinzkû ne doit pas dépasser quinze syllabes.
Il est toujours écrit sur trois lignes.
Chaque ligne se lit en cinq syllabes.
Il décrit des émotions heureuses ou malheureuses.
Un quinzkû ne s’écrit pas en vers.
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Commentaires
C’est définitif !
J’apprécie vraiment ces longues virées en ta compagnie dans Metz.
Je m’y amuse bien plus que lorsque je suis seul à me promener…
C’est sympa, c’est sportif, c’est amusant et nous faisons le plein de photos.
Je suis partant pour des tas d’autres vadrouilles avec nos amis Canon et Lumix.
Je vous embrasse tous les deux, bonne soirée à vous.
Marc de Metz.
Aucun mérite de notre part !
C’est la Moselle qui se montre belle.
Même durant un hiver si rude elle l’est.
Merci Fanfan, @mitié de Metz, Marc.
Sublime…
Juste « sublime »…
Ce n’est que cela l’esprit de cette forme de poésie.
Merci Chronique de me faire partager quelque chose de si « efficace » et beau !
Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. Bonne soirée à toi.
Moi : comme c’est dommage !
Il m’aurait été si agréable d’être par vous interpellé.
Moi : nous étions Laurent et moi, lui ami ayant lui aussi un blog sur OB : Le terrier des renards, en effet en train de profiter de ce soleil bienvenu et revenu en « safari-photo » sans espoir d’éléphants et de girafes et de Kilimandjaro au bout d’une rue mais avec l’intention de photographier Metz si belle sous ses soleils, même celui, surtout celui volé à la grisaille de cet hiver.
Moi : il m’aurait été très très agréable de faire, place Saint-Nicolas ou n’importe où dans notre ville, cette rencontre qui vous donne définitivement une belle avance sur moi car vous vous êtes capables de me savoir en ville, ce que je ne peux pas faire bien entendu. Je vous accorde bien volontiers cet avantage puisque je peux ne le considérer que comme provisoire : n’est-ce-pas ? Dire que nous avions pour cela l’autorisation du mari… Ce pouvait être d’évidence des conditions idéales pour faire connaissance sous les beaux hospices d’un premier vrai jour de presque printemps.
Moi : bien que là très frustré, je ne vais tenir aucune rigueur à Murielle de ne pas avoir « obéi » à son mari et acceptée de venir en sa compagnie à ma rencontre. Je vous remercie pour ce très précieux contact, il adoucit tout ce que peut avoir de virtuel Internet et cela est très porteur pour moi d’envie de continuer avec passion d’alimenter mon blog en articles sur Metz.
Moi : cordialement, amicalement, au plaisir de vous lire. Bonne soirée à vous deux et bonne semaine à venir. Marc.
Moi : merci pour cette savoureuse narration de ce que vous deux avez vécu en me croisant.
C'est vrai que cette fin de mois de février voit partir avec lui ces longues journées grises et enneigées de l'hiver en Terres Messines.
Heureusement le soleil était au rendez-vous cet après-midi et même si la chaleur était moindre que pendant les mois d'été, les rayons salvateurs de notre astre de lumière m'a fais le plus grand bien aujourd'hui.
Je profite de ce commentaire pour te remercier de m'avoir accompagné dans cette nouvelle et longue promenade dans les rues de Metz, la belle.
Nous vous souhaitons un bon dimanche,
Nous vous embrassons tous les deux,
Cathy et Laurent
Un petit Quinzku
L'hiver en dentelle
Dévoile les charmes
D'un futur printemps
Je t'embrasse très fort Marc.
Chronique
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elle : regarde c'est Marc avec un copain,ils font des photos
lui : qui ça Marc ?
elle : mais tu sais, Marc du blog "cap metz"!
lui : viens,allons les saluer
elle : mais ils ne nous connaissent pas
lui : ce sera l'occasion !
elle : (timidement ) une prochaine fois si tu veux,il ne faut pas les déranger !
et voilà comment une rencontre n'a pas eu lieu....malgré l'accord ....du mari !
bon dimanche ! Marc