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Mourir un sourire aux lèvres... (1971)
Le dernier sourire
Je crois qu’il est compréhensible
Que certains hommes souvent les plus pauvres
Meurent le sourire aux lèvres
Ceux-ci doivent être heureux
Car ils quittent ce monde
Où l’on ne connaît le plus souvent
Que haine violence et malheur
Tandis que la mort
Leur ouvre un nouvel horizon
Que la religion leur promet
De joie et de bonheur
Oui c’est sûrement pour cette raison
Que certains hommes meurent en souriant
Marc, écrit à Metz le 11 mars 1971
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Commentaires
Chanceux je suis de t’avoir lu dans ce commentaire et d’être tout de suite allé en lecture de ces mots dont tu me parles ici ! Je ne peux que demander à qui peut le souhaiter, d’aller absolument lire cette merveille que tu nous offres en amour-amitié… Je t’embrasse très fort et surtout n’arrête plus jamais de nous offrir d’autres sublimes textes. Marc de Metz. Bonne soirée Brigitte.
C'est un beau poème, Marc. J'espère que tu liras le mien écrit ce matin en votre honneur à tous. J'avoue en être assez fière... Amitié, BrigitteBonjour, merci de ta visite, elle me fait plaisir, @ mon tour de te souhaiter une très belles semaine. Bien amicalement, Marc.
Florence, je sais que là tu auras une nouvelle fois compris ce que je tachais d’imaginer ou de savoir lorsque j’avais que 16 ou 17 ans. Il est vrai que j’avais déjà le cœur et l’âme en charpie ! Je t’embrasse, bonne journée, @ bientôt. Marc.
Mourir avec le sourire est le fait d'une personne qui a achevé
sa mission d'être humain, alors la cela ressemble au repos du bon ouvrier.
Amitiés, bonne soirée, MarcJe ne suis pas qu’étonné, loin s’en faut mon ami Chevalier, que tu sois un de mes lecteur préféré, je suis ravi et plus encore touché puisque je crois devoir comprendre que mon écriture met la tienne en projet de nous être offerte en lecture bientôt. Pour moi cela est la plus belle et amicale conclusion à tes visites et plus encore le plus prometteuse pour bientôt. Je suis dans l’impatience, à cause de toi et cela est très sympa. Amitiés de Metz , @ bientôt, Marc.
bonjour marc trés bon texte, je comprend trés bien , que la mort parfois peut-être pour certains une délivrance, parfois même à des moments de notre vie nous pouvons avoir aussi cette envie bonne journée ne sois pas étonné que je parcours encore ces textes d'adolescents, mais ton blog me plaît énormément, je continue donc mes découvertes, je crois que tu auras longtemps mes visitesColette, moi aussi et je l'ai écrit lorsque j'avais que 17 ans, je crois que l'on peut mourir oui en souriant car moi aussi presque quarante ans après ce poème j'ai appris que la vie est dure difficile, trompeuse, parfois barbare mais que c'est cela la vie aussi. J'avais que 17 ans et je découvre là que j'avais déjà bien compris ce qu'allait être ma vie. Mais j'ai eu aussi de merveilleuses choses dans cette vie. Bises et laissons nous vivre longtemps pour avoir d'autres raisons de mourir un jour en souriant. Marc
Je ne cesse de me demander depuis ces semaines que je publie mes textes écrits en 1971, et je n'en ai encore que très peu... ce qui peut m'avoir fait déjà avoir autant envie d'écrire. Je me souviens d'une immense solitude et d'une authentique déjà tendance à tout ramener à la mort... Je réfléchis à cela. Merci de trouver ce texte somme toute réaliste et tendancieux au sujet de la religion. Je n'avais que 17 ans... BIses, Marc
Très joli ce texte! Mourir en souriant... Une joie de quitter ce monde quand la vie est pas top, je comprends, un peu plus perplexe sur ce que la religion te promet... mais bon milles baisers
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Bonjour, LUEUR, ce que je pouvais ne pas vraiment avoir encore appris lorsque j’ai écrit ce poème il y a plus de quarante ans… Merci pour ce commentaire. @ bientôt, Marc de Metz.
Vraiment désolé pour mes réponses toujours trop tardives en ces jours d’été… Je suis toujours en manque de temps… Mais là je me trouve, je me donne ce samedi 15 août, celui de répondre enfin à ce commentaire.