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Le poids des mots et le choc des photos...
Depuis toujours les mots ont un poids.
Depuis longtemps les photos provoquent des chocs…
Rappelez-vous : « Le poids des mots, le choc des photos »…
Quatre photos pour la vie !
Celle des enfants du Monde.
Si différente au hasard de leur naissance…
Si injuste au seul regard de leur destin…
Si facile pour certains…
Si difficile pour de trop nombreux d’entre eux…
Pourtant tous les enfants sont l’avenir du Monde…
Quatre photos pour y penser…
Quatre photos pour savoir…
Quatre photos…
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Commentaires
33gavrocheDimanche 5 Mai 2013 à 21:29bonjour ces photos me choquent me surprennent
il est difficile dans cet univer de lEurope
de realiser tant de difference ces enfants ont le sourire...
bonne fin de journee amities
J’en conviens en toute amitié et en toute solidarité avec ces pays concernés. @micalement, Marc de Metz.
Nous vivons trop dans l’ignorance de ces contrastes entre Nord et Sud. Ces photos parlent plus de cette terrible réalité que des centaines de lignes. @micalement, Marc de Metz. Bon dimanche Cacao.
Merci Marc pour ces photos et le fait d'aborder ce sujet. Oui, le contraste est saisissant ! A bientôt !
Encore un commentaire de vous (de toi) auquel je n’ai pas répondu en temps voulu ? Incapable de me souvenir de ce qui peut m’en avoir empêché… car j’aime répondre à mes commentaire… Je tiens juste, là dans ces quelques mots à m’excuser de cet oubli… Avec toutes mes excuses et avec amitié. Marc de Metz, le mercredi 28 avril, presque « honteux » de devoir utiliser ce copier-coller afin de retrouver très vite du temps pour me redonner un accès normal à vos mots et aux miens aussi. Merci à vous, @vec mon amitié. Marc de Metz.
4 photos dont 3 qui m'indiffèrent totalement car figées, la seule qui me laisse sur un sentiment de bien être étant celle de l'Inde où les enfants rient, la photo semble animée, les couleurs chaudes...
mais ça c'est mon point de vue à chaud...
Bonne nuit Marc, je vais épiloguer certainement sur ce passage qui me touche particulièrement...
Je partage totalement ton point de vue. Nous savons que la société japonaise peut être impitoyable avec ses enfants ! J’ai adoré les rires des enfants indiens. Je n’ai vu aucun rire dans les photos des petits japonais… Oui, nous sommes d’accord. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. Bonne soirée à toi.
Oui, en plus les enfants en Inde eux rient aux éclats…
Ce n’est pas le cas des petits japonais !
Nous portons sur ces photos notre regard d’occidentaux…
Leur vécu est si différent du notre que je ne sais même pas être choqué.
@mitié de Metz, Marc.
Bonne soirée à toi.
Je t’embrasse.
Bonjour Marc de Metz
Le confort dans le travail est synonyme de compétitivité mais aussi d'uniformité dans l'entreprise Japonaise..... l'individualisme n'a pas sa place.
En Inde comme le montre la dernière photo...... c'est l'aventure où tout est possible
C'est surtout les sourires de ces enfants que j'aime car ils sont vrais.
Un japonais, dans l'entreprise, lui ne sourit que si on lui en donne l'ordre..... c'est toute la différence...... et elle est énorme à mes yeux.
Je t'embrasse très très fort
j'espère que tout va bien pour toi mon petit corsinou
Chronique
Je ne connais pas assez l’Inde pour commenter ton commentaire…
Merci de me l’avoir déposé sous ces photos.
@mitié, bonne nuit Covix.
Marc de Metz.
Même sans les mêmes chances de départ, pour leur pays ils restent l’avenir et je leur souhaite que le leur soit moins pénible que le présent de beaucoup de leurs parents… Merci pour ce commentaire Line, @micalement de Metz, Marc.
J’ai appris depuis longtemps que nos jugements de valeurs ne correspondaient pas à ceux de ces hommes, femmes et enfants qui vivent dans d’autres sociétés. Ici, nous ne voyons la vie qu’en matière de confort, ce qui est légitime, alors que là-bas ils vivent, ils survivent sans rien connaître du niveau de nos exigences pour eux. Tant que personne n’est abusé, traité en esclave, j’arrive à imaginer que leur vie n’est pas aussi sordide que ce que nous en dit notre regard d’occidentaux… Je t’embrasse Brigitte, @mitié de Metz, Marc.
Une différence de moyen et de culture. Une différence de société mais je ne suis pas sûr que ces enfants indiens soient plus malheureux que des enfants japonais victimes de leurs société qui ne les exigent que comme des surdoués. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.
C’est justement ce que m’inspirent ces photos : d’un côté des enfants pauvres mais éclatant de rires et de bonne humeur et de l’autre côté d’autres enfants embrigadés par leur parents dans une obligation de succès scolaires. Je pense comme toi Mary-Pascale. @mitié d’ici, Marc. Je t’embrasse, bonne nuit.
Ce choc est parfois très violent ! Les photos peuvent faire l’économie de mots mais jamais d’émotions. @mitié, de Metz Fanfan. Bon dimanche dans tes montagnes corses. Marc.
Si nos enfants sont ceux du Monde autant que les nôtres, nous pouvons restés inquiets… Mais après tout ceux-là d’enfants ils ont l’air si heureux… C’est nous qui portons un jugement d’après nos valeurs d’ici… Mais leurs conditions de vie me dérange quand même. @micalement Patrick, Marc de Metz.
Avant Nettoue : ces mêmes enfants n’allaient pas à l’école. Elle était trop chère ! Leurs aînés eux y allaient de temps à autres à pied ! Eux ils sont hilares dans leur carriole… Nous nous sommes choqués ! Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. Bon dimanche Nettoue.
Ce que j’aime à penser, et ces petits indiens éclatant de rire me le confirment, c’est qu’au moins les enfants ne sont pas capable de souffrir de ce qu’ils ne connaissent pas et c’est heureux. C’est vrai qu’il est odieux de savoir des enfants si inégaux devant la vie. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.
Il nous permet cet article aussi de ne pas toujours nous supposer être plus mal lotis que tous les autres… Il me permet de dire que ce qui pour nous peut-être inconcevable ne l’est pas ailleurs… Il me permet de suggérer qu’il faut simplement savoir comment vivent les autres partout autour de nous. Merci pour ce commentaire qui ne m’étonne pas du tout venant de toi mon amie. Je t’embrasse, @mitié de Metz. Marc.
Oui, en effet au moins les petits indiens sont eux éclatés de rire, ce qui n’est pas souvent le cas des enfants japonais qui vivent une scolarité épouvantablement stressante pour eux. Merci Mary-Pascale de la pertinence de ton commentaire. @mitié de Metz, bonne nuit.
Je peux te dire mon amie que j’aime ce genre de lapsus car il traduit bien tout ce que peut nous inspirer ce transport vers l’école pour ces enfants indiens. Pourtant les enfants sont très souriants… Terrible que de constater de telles différences au travers du Monde. Belle et douce nuit Violette. Je t’embrasse, Marc de Metz.
Quatre photos qui parlent à elle seule.
Mais ne sous estimons pas l'Inde, pays des contrastes entre son savoir, la technologie, à une époque pas si lointaine, 1995, les écoles en inde disosaient d'internet que chez nous c'était une rareté, même a Paris.
@mitié
covixBonsoir Marc. Les conditions scolaires de ces enfants sont très différentes : les uns bénéficient de toutes les nouveautés technologiques et les autres sont transportés à l'école serrés comme des sardines dans un triporteur... As tu vu mon cycliste Vietnamien? Lui aussi vit dans des condtitions très différentes des nôtres ! Amitiés et bisous,
Brigitte
Je t'embrasqse monsieur mon ami Marc
Nettoue
c'est en effet un drôle de contraste entre le petits japonais et les petis indou !!
et ceux d'afrique ce n'est pas mieux !!!
mais que faire ? ? comment remerdier à ce genre de choses !!celà semble impossible quelle tristesse , car les enfants de tous les pays , méritent le mieux
bonne soirée
bisous
En tous les cas, merci d'avor posté cet article... il sert aussi à nous obliger à rester vigilent... donc merci beaucoup de l'avoir fait...
Bonne après-midi et @très vite.
Je t'embrasse très fort.
Amitié de Terres de Champagne.
Do, Dom, Domi, Dominique, Domajj
Ta Dame CoquelicotJe n'arrive pas à imaginer ces enfants tassés dans ce moyen de tyransport... Je n'ai pas volontairement mis un y dans ce mot, c'est une faute de frappe... Mais je laisse le mot ainsi car il correspond tout à fait à l'image... Un lapsus dirait-on dans le langage... En effet je pensais à ces enfants tout en écrivant ma réponse et mes doigts ont suivi ma pensée.
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Cela se passe de commentaire je crois. Les photos se suffisent à elles-mêmes.