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L'inutile réflexion...
Au loin devant moi rien que de l’inconnu
Au jour qu’il est là que de l’improvisation
Au loin derrière moi que du trop connu
Au mieux c’est une salutaire constatation
Au pire c’est une habitude très convenue
Au fond de ma vie je serai encore en mission
Au bout je m’y devine alors en triste déconvenue
Au fait de cette certitude j’ai étrange impression
Au devant de moi je peux avoir une vie soutenue
Au fond pour cette vie j’ai affectueuse ambition
Au seuil de ce futur je me sais par la mort attendue
Au pire elle me ravira très vite sans ma permission
Au cœur de ma vie à une conclusion je suis parvenu
Au mieux elle reculera longtemps mon admission
Au jour le jour je vis pour beaucoup en malvenu
Au centre de mes certitudes je m'acccorde réflexion
Au fond de ma vie peut m’importe d’y être bienvenu
Au fait qui sera là pour avoir avec moi une discussion
Au mieux un Dieu que je n’aurai jamais ici reconnu
Au mieux rien et ce sera alors la fin de ma perdition
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Commentaires
15gavrocheDimanche 5 Mai 2013 à 21:12De mon côté, c’est ce que j’espère… Je serais très dépourvu s’il devait y avoir quoi que ce soit après ma mort. J’ai envie de ne pas redouter de m’être trompé une vie entière en étant sûr du contraire. Donc oui, pour moi ce serait un repos définitif bien mérité après l’expérience « ma vie »… @micalement, Marc de Metz.
Je trouverai regrettable que toutes nos expériences soient réduites au néant.
y aurait-il donc de l'absurdité dans cette vie ?Il m’est moi rassurant de n’avoir pas à imaginer « un après ».
Cela me convient alors de ne pas en avoir peur, jamais !
J’aime l’idée d’une vie qui cède sa place à d’autres vies sur Terre.
Pour moi, s’il devait y en avoir un « d’après », je ne le mériterais, jamais !
C’est donc pour moi une inutile réflexion que de me pencher sur « l’après ».
@micalement, Marc de Metz. Bonne soirée à toi.
Merci pour cet amical « réchauffage ».
Il est utile puisqu’ici si mes mots eux ne me glacent pas les températures elles oui.
Seulement depuis hier.
Marc de Metz.
Tes mots me glacent...
Je te réchauffe et me réchauffe par une accolade amicaleJ’ai trouvé sur ton blog un très beau texte solidaire.
Il est accordé à une amie commune en inquiétude.
J’ai appris d’elle détail de cette autre et nouvelle épreuve
Bien d’autres ici sont subies pas autres personnes proches
M’est venu alors cette réflexion intime que j’ai exprimé ici.
Merci pour ton commentaire, pour aussi tes mots sur ton blog.
@mitié de Metz, Marc. Bonne journée à toi.
Sans aucune intention de ma part de vouloir te blesser, je me trouve très chanceux de ne pas croire qu’après la mort… il puisse y avoir quoi que ce soit… Je n’arrive pas à adhérer à une quelconque croyance qui puisse me permettre de supposer autre chose que la mort c’est simplement la fin d’une vie… Mais je suis incapable aussi de refuser à une immense partie de l’humanité de croire autrement et d’être apaisée au travers d’autres certitudes que les miennes. Je ne me suis encore jamais trouvé la plus infime raison de me projeter au-delà de la mort… Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. Je vous souhaite à chacune et à chacun que ce soit moi qui me trompe…, de tout cœur.
Bonjour Covix.
Je n’ai eu, au début, envie que de m’en parler à moi…
Puis j’ai eu besoin de vous mettre ces mots en lecture.
Je nous suppose être nombreux à penser à cette échéance.
Je sais et cela est foncièrement précieux ne pas en connaître la date.
Merci pour ces mots que j’apprécie beaucoup. @mitié de Metz, Marc.
bisesDestiné,
ici évoqué,
la dame nous a donné un rendez vous,
mais nous ne savons où
Mais après tenir la conversation
nous ne le savons
très bien raconté, cette destinée
@mitié
CovixMerci Gavroche.
Merci d’aimer les lire.
Moi, de temps à autre j’ai juste besoin d’écrire…
Lorsque j’en trouve le temps.
Merci, @micalement de Metz, Marc.
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bonnesoiree