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Gouttes d'eau enjeux de vie...
Au sud
Des enfants des femmes des hommes
Pleurent de n’avoir pas une seule goutte
Une seule goutte d’eau pure pour survivre
D’est en ouest
Chaque jour et chaque nuit du Monde
Des milliards de gouttes sont perdues
Chaque semaine et chaque mois
Des millions de vies restent assoiffées
Chaque année et chaque siècle
Des milliards de souffrances endurées
Au nord
Des enfants des femmes des hommes
Gaspillent par milliards cette même goutte
Ignorent qu’une seule peut sauver un enfant
Photo Intenet.
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Commentaires
Encore une séquence de commentaires que je trouve là sans réponse… Explications amicales : ici c’est l’été, je travaille aussi, j’ai des amis(es) qui ne me supportent pas ne pas leur consacrer du temps, beaucoup de temps en amitié, celui qu’ici nous aimons passer à l’extérieur pendant la belle saison et cette année elle dure depuis début juillet et j’ai privé souvent mes mis(es) de moi « à cause de ce blog comme eux disent…).
Je te prie de bien vouloir alors me pardonner ce terrible retard dans cette réponse et de me pardonner aussi d’utiliser (vraiment à contrecœur) un copier/coller. Je découvre confus que ce commentaire de toi est encore aujourd’hui 21 août sans réponse de ma part… Je sui vraiment désolé de ne pas réussir à apporter là une réponse comme à mon habitude à ton commentaire…
J’ai en effet que très peu de temps en ce moment. I faut alors que j’accepte d’utiliser ce moyen autrement je ne réussirai jamais à te faire au moins cette réponse. Merci pour ton commentaire, @mitié de Metz, Marc.
Encore une séquence de commentaires que je trouve là sans réponse… Explications amicales : ici c’est l’été, je travaille aussi, j’ai des amis(es) qui ne me supportent pas ne pas leur consacrer du temps, beaucoup de temps en amitié, celui qu’ici nous aimons passer à l’extérieur pendant la belle saison et cette année elle dure depuis début juillet et j’ai privé souvent mes mis(es) de moi « à cause de ce blog comme eux disent…).
Je te prie de bien vouloir alors me pardonner ce terrible retard dans cette réponse et de me pardonner aussi d’utiliser (vraiment à contrecœur) un copier/coller. Je découvre confus que ce commentaire de toi est encore aujourd’hui 21 août sans réponse de ma part… Je sui vraiment désolé de ne pas réussir à apporter là une réponse comme à mon habitude à ton commentaire…
J’ai en effet que très peu de temps en ce moment. I faut alors que j’accepte d’utiliser ce moyen autrement je ne réussirai jamais à te faire au moins cette réponse. Merci pour ton commentaire, @mitié de Metz, Marc.
Encore une séquence de commentaires que je trouve là sans réponse… Explications amicales : ici c’est l’été, je travaille aussi, j’ai des amis(es) qui ne me supportent pas ne pas leur consacrer du temps, beaucoup de temps en amitié, celui qu’ici nous aimons passer à l’extérieur pendant la belle saison et cette année elle dure depuis début juillet et j’ai privé souvent mes mis(es) de moi « à cause de ce blog comme eux disent…).
Je te prie de bien vouloir alors me pardonner ce terrible retard dans cette réponse et de me pardonner aussi d’utiliser (vraiment à contrecœur) un copier/coller. Je découvre confus que ce commentaire de toi est encore aujourd’hui 21 août sans réponse de ma part… Je sui vraiment désolé de ne pas réussir à apporter là une réponse comme à mon habitude à ton commentaire…
J’ai en effet que très peu de temps en ce moment. I faut alors que j’accepte d’utiliser ce moyen autrement je ne réussirai jamais à te faire au moins cette réponse. Merci pour ton commentaire, @mitié de Metz, Marc.
Encore une séquence de commentaires que je trouve là sans réponse… Explications amicales : ici c’est l’été, je travaille aussi, j’ai des amis(es) qui ne me supportent pas ne pas leur consacrer du temps, beaucoup de temps en amitié, celui qu’ici nous aimons passer à l’extérieur pendant la belle saison et cette année elle dure depuis début juillet et j’ai privé souvent mes mis(es) de moi « à cause de ce blog comme eux disent…).
Je te prie de bien vouloir alors me pardonner ce terrible retard dans cette réponse et de me pardonner aussi d’utiliser (vraiment à contrecœur) un copier/coller. Je découvre confus que ce commentaire de toi est encore aujourd’hui 21 août sans réponse de ma part… Je sui vraiment désolé de ne pas réussir à apporter là une réponse comme à mon habitude à ton commentaire…
J’ai en effet que très peu de temps en ce moment. I faut alors que j’accepte d’utiliser ce moyen autrement je ne réussirai jamais à te faire au moins cette réponse. Merci pour ton commentaire, @mitié de Metz, Marc.
Encore une séquence de commentaires que je trouve là sans réponse… Explications amicales : ici c’est l’été, je travaille aussi, j’ai des amis(es) qui ne me supportent pas ne pas leur consacrer du temps, beaucoup de temps en amitié, celui qu’ici nous aimons passer à l’extérieur pendant la belle saison et cette année elle dure depuis début juillet et j’ai privé souvent mes mis(es) de moi « à cause de ce blog comme eux disent…).
Je te prie de bien vouloir alors me pardonner ce terrible retard dans cette réponse et de me pardonner aussi d’utiliser (vraiment à contrecœur) un copier/coller. Je découvre confus que ce commentaire de toi est encore aujourd’hui 21 août sans réponse de ma part… Je sui vraiment désolé de ne pas réussir à apporter là une réponse comme à mon habitude à ton commentaire…
J’ai en effet que très peu de temps en ce moment. I faut alors que j’accepte d’utiliser ce moyen autrement je ne réussirai jamais à te faire au moins cette réponse. Merci pour ton commentaire, @mitié de Metz, Marc.
Ce l’est depuis des dizaines d’années dans bien des pays du Moyen-Orient ! Je partage ton inquiétude d’autan plus que le moteur à eau pour les véhicules existe depuis des dizaines d’années selon certains bien informés. Bonne fin de journée à toi Covix. @mitié, Marc.
Merci mon ami de ces mots qui me font accompagner cette eau dont tu me parles avec autant de poésie et de respect. J’aime encore ces mots, tes mots. Bonne journée à toi Loic en te la souhaitant douce et magnifique, @mitié de Metz, Marc.
L’eau qui ruisselle
N’a pas d’ombrelle
Le soleil la dore
Et elle s’évapore.
Le vent pousse les nuages
Mais vers quels rivages ?
Où vont-ils aller s’échouer
Pour laisser leurs eaux s’échapper ?
L’eau a ses mystères
Indispensables à la vie de la terre.
Laissons-les lui !
Amitiés. Loic
Bonjour Marc
Très belle poésie pour un problème délicat.
Si nous n'y prenons garde, c'est une source de conflits bien plus grave que le superficiel pétrole!
Bonne journée
certaines régions gaspillent tandis que d'autres manquent !
mais je crois que l'eau va de venir une " denrée " rare d'ici quelques années !
bonne journée bisous
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En quoi le gaspillage de l’eau d’après toi…
Ne peut être du qu’à la pollution ?
Je ne comprends pas ton constat.
@micalement, Marc de Metz.