C'est avec plaisir que continue à vous promener dans Strasbourg en me servant de photos prises samedi dernier.  

Nous y étions en promenade entre amis(es) de Metz et de Strasbourg. Nous avons tous fait des photos. Voici une nouvelle série de celles que j'ai rapportées.

Je me suis amusé, obligé aussi à ne faire que des gros plans, comme ceux des deux précédents articles que j'ai déjà publiés depuis notre retour.

J'ai pris un grand plaisir à m'appliquer à ce qu'ils réussissent à restituer le charme de la ville...

A l'inverse de Metz, je ne connais pas le nom des rues par lesquelles nous sommes passés pendant des heures très agréables. 

Vivre à Metz c'est ne pas être étranger à l'architecture du centre historique de Strasbourg. 

En effet, l'héritage allemand, construit pendant l'annexion (1871 - 1918) de l'Alsace et de la Moselle, est commun à nos deux villes mais sans y être tout à fait identique. 

Mais Strasbourg reste une ville alsacienne avec ses magnifiques maisons et immeubles à colombages. Celles-ci dominent un petit jardin médiéval, ravissant.

J'aime l'ambiance de cette grande cité si attachante.  

C'est sans doute parce que je suis alsacien par mon père que je ne me sens pas tout à fait étranger lorsque je suis en Alsace. 

Des toitures en cuivre et du grès rose nous en avons aussi à Metz mais pas forcément au même endroit. 

Cet immeuble que je connaissais pas m'a été très familier dès le premier regard.  

Là, j'étais dépaysé et ravi de l'être. 

J'ai souri en faisant cette photo. Si je peux photographier à Metz l'équivalent, il y sera toujours en pierre jaune de Jaumont, jamais en cuivre... 

Qu'il doit être agréable de vivre dans l'un des appartements de ce splendide immeuble ! 

C'est un clin d’œil au savoir faire ancestral des artisans alsaciens. 

Cette photo l'est aussi mais à un personnage auquel nous ne connaissons aucune origine locale... 

J'ai fait au cours d'autres visites à Strasbourg des centaines de photos des maisons à colombages. Cette fois c'est en me faisant violence que j'ai réussi à me limiter. 

Les enfants et les moins enfants de Metz peuvent eux aussi jouer comme à Strasbourg dans des fontaines... 

Partout, de loin, des mamans surveillent, au sec, leurs enfants... 

D'autres parents, ils existent à Metz aussi, n'hésitent pas eux à mouiller leur chemise en même temps que celles de leur progéniture.  

J'ai vu cette petite fille arriver assise dans ce... ce... ce landau alsacien... Elle n'avait d'yeux que pour ce qui se passait dans la fontaine. 

C'est de loin que j'ai pris ces photos aquatiques... 

Je ne pouvais pas m'éloigner de ma "bande", enfin de celle qui au sec me surveillait elle aussi. Attardez-vous un instant sur le jeune couple de dos assis à droite et gardez-le en mémoire. 

Si ces fontaines avaient existées lorsque mes deux filles étaient aussi petites que ces enfants, c'est en scaphandre et bottées, avec un k way et un parapluie qu'elles auraient eu de droit d'approcher un peu de l'eau...   

C'est le couple de dos, celui assis derrière ma "bande"... 

Lui, c'est une des petits de ma "bande". C'est pas du tout une poule, mouillée. Il s'est battu courageusement avec l'eau : elle a gagné !

Je ne résiste pas au plaisir de remettre cette photo. Son grand frère, celui qui fait son "gentil" à gauche, est lui aussi revenu trempé.

Il est certain qu'en voyant de près ces jets d'eau, on comprend qu'aucun enfant n'en revient sec. 

Ces deux murs, cette fenêtre et cette tache de soleil c'est aussi Strasbourg... 

C'est aussi cela partout dans le centre ville. 

C'est encore ceci mais j'en conviens vu d'une certaine façon. 

C'est parfois cela. Et ce parfois ludique contribue au pittoresque de la ville. 

Histoire de conclure cet article. 
A bientôt pour une suite...