Ils vivent ici et là sur nos vitres et vitrines.

Le soleil est leur unique complice en journée

La nuit venue ils utilisent d’autres lumières.

Les reflets sont toujours silencieux.

Pourtant ils nous racontent la vie et la ville.

Taquins parfois ils nous captent et nous mettent en scène.

Dans les reflets nous passons dans une autre histoire.

J’aime m’y attarder…

 

 

 

    

 

 

      

 

 

    

 

 

 

  

 

 

        

 

 

 

  

 

 

Sur cette plage, si personne ne s’y baigne et surtout pas le Maréchal Ney, beaucoup n’hésitent pas à y passer un moment les pieds dans l’eau (bonjour mesdemoiselles et mesdames). Les messins et les visiteurs s’y installent volontiers sur l’un de ces grands transats blancs en pierre. Ils ressemblent à des sculptures modernes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oui, dès que les beaux jours arrivent, comme l’avaient prévu les concepteurs de la place et plage  de la République, les gens de Metz aiment y venir, aiment s’y retrouver dans une ambiance alors estivale. Prévu pour être une halte reposante dans la ville, c’est par centaines que s’y attardent celles et ceux qui passent un moment dans le centre ville.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette plage domine une fontaine-rivière de 180 mètres de longueur. Le bruit de l’eau, très agréable à écouter en pleine ville, contribue au succès de la nouvelle organisation de la place de la république. Sa fréquentation a le mérite d’avoir fait terre les détracteurs de ces changements. Ils les taxaient de scandaleux, d’onéreux, d’inutiles et en totale contradiction avec l’architecture de Metz…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je sais ne pas être le seul ici à ne jamais regretter le temps, pas si lointain, où cette partie de la place était un parking en plein air, de très grande capacité. Je me rappelle que les détracteurs de ce projet visanr à rendre la place aux piétons prétendaient qu’il fallait le maintenir et que les messins n’accepteraient jamais sa disparition…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    

 

 

 

 

 

Ils vivent ici et là sur nos vitres et vitrines.

Le soleil est leur unique complice en journée

La nuit venue ils utilisent d’autres lumières.

Les reflets sont toujours silencieux.

Pourtant ils nous racontent la vie et la ville.

Taquins parfois ils nous captent et nous mettent en scène.

Dans les reflets nous passons dans une autre histoire.

J’aime m’y attarder…

 

 

 

    

 

 

      

 

 

    

 

 

 

  

 

 

        

 

 

 

  

 

   

 

  

 

Nous les côtoyons tous les jours

S'il fait beau nous les utilisons en permanence

Elles sont présentes toujours à nous attendre

Nous les occupons toujours que par intermittence

 

Ce sont les bancs chaises et sièges de nos vies ici

Très facile de ne pas les manquer ils sont partout

Je vous invite à les découvrir dans leur simple poésie

Celle que je leur trouve quand ils sont vides de nous

  

 

 

 

   

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour voir ou revoir : Chaises et sièges d'ici / 26 par un clic ici... 

 

 

        

 

 

   

  

 

 

 

Ils vivent ici et là sur nos vitres et vitrines.

Le soleil est leur unique complice en journée

La nuit venue ils utilisent d’autres lumières.

Les reflets sont toujours silencieux.

Pourtant ils nous racontent la vie et la ville.

Taquins parfois ils nous captent et nous mettent en scène.

Dans les reflets nous passons dans une autre histoire.

J’aime m’y attarder…

 

 

 

   

 

 

 

   

 

 

 

   

 

 

  

   

 

 

        

 

 

 

  

 

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