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Mon évangile...
Amies en lectures et écritures me raconter je dois faire
Je ne me connais plus en père blessé mais en père réparé
Ma punition j’y ai mis fin après de mes enfants me défaire
Décision sage acquittée en bout de milliers d’heures reniées
Blessures, déceptions, trahisons, rejets tus en ma mémoire
Paternité d’avant acceptée défaite par des années silence
Particulièrement blessé je l’ai été dans mes années espoir
Insensée disposition que la mienne de tuer ma conscience
Tripes trop longtemps encombrées de paternité bafouée
Leurres perdus dans nuits ravagées par trop d’insomnies
Bout de paternité dépassé après une nuit toujours éveillé
Père soudain libéré de refuser à ces dictats rester soumis
Confiance en moi réinvestie après libération de mes peurs
Refus de me garder prisonnier d’un amour sans réponse
Amour souffrance, humiliation, désespoir amour malheur
Paternité enfouie en moi pour ne plus qu’à vie je renonce
Salvatrices sont mes raisons de me mettre en délivrance
Terme d’années de compromissions entre amour et colère
Mes tripes sont stériles d’une paternité qu’en arrogance
Mon deuil est paisible refusé dans cette vie comme père
Voyageur passionnel dans des séjours en contrée suicide
Bagages lourds de pleurs et désespérance jamais oubliés
Comptable de larmes jamais plus versées je reste lucide
De l’incompréhension que je dispense en vos cœurs aimés
Lecteur de vos écritures matinées de vos doux reproches
Compréhensif envers votre refus amical de me croire réparé
Souvenez-vous que pour moi ma vie est avenir en approche
Pardonnez ma carapace par ces renoncements fabriquée
Si je devais m’être trouvé capable d’une foi envers un Dieu
Mon amour vers mes filles serait entendu pour toujours
Vivre est possible dans un évangile jamais écrit par Mathieu
Ecrit tristement par une vie où refusé par enfants en amour
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Commentaires
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Bonsoir Catherine.
J’ai passé mes trois plus belles années de ma vie à Fort de France.
J’y étais enfant, je n’ai jamais cessé depuis d’aimer la Martinique.
J’y suis revenu adulte lors de deux séjours fantastiques.
Dès l’aéroport, je m’y sens « chez moi »…
La Martinique est inscrite dans mon cœur à jamais.
Alors, trouver un commentaire chaleureux qui vient de « mon île » c’est super.
Je suis né en Nouvelle Calédonie, lorsque je peins, dans ma peinture…
Dans ma peinture, je mets les couleurs de ces îles de mon enfance.
J’y mets tout ce qu’enfant j’ai eu la chance de vivre et d’aimer vivre.
Je suis vraiment ravi de ce contact. Il me fait très plaisir.
@mitié de Metz, bonne fin de journée à toi. Je t’embrasse. Marc.
En attendant une réponse si cela vous agréé, sincères salutations.
Nettoue, merci pour ce très très long commentaire. Je ne vais y répondre qu'en affirmant qu'en effet je n'ai jamais été un mauvais père, un père brutal, un père absent, un père égoïste, un père incompréhensible. Comme je n'ai pas été ce père méritant d'être renié, au bout de longues années de souffrances, j'ai décidé que cela suffisait et que je devais m'accepter renié et indésirable. Ce que je peux, je veux dire c'est que mes filles sont devenues des étrangères et que je ne me sais pas avoir envie ou besoin de les revoir. Trop de temps est passé. Je t'embrasse très très fort, merci mon amie. Marc. @mitié.
Si je devais ne pas avoir réussi à accepter cela, je sais que je serais incapable d'en parler, d'écrire sur ce thème. J'ai envie d'en parler mais sans vraiment savoir pourquoi ? Je ne ressens plus de douleur, plus de déception, si je me veux honnête je dois avouer que je ne ressens plus qu'une colère muette et froide ! @mitié, je t'embrasse Fanfan, Marc.
Bonjour Saadou, je n'ai pas eu le temps de te répondre avant aujourd'hui, et je tiens à te préciser que je suis rentré dans ce club il y a plus de dix ans quand même. Ce fut douloureux, ces dix ans rendent les choses maîtrisées le mieux possible et sans nouvelle souffrance. J'ai quand même écrit pas mal de fois sur ce thème sur mon blog. @mitié, Marc, @ bientôt,
Tu as du être un bon père, et tu le serais encore, si la possibilité t'en étais donné.
Je suis ton amie, et il est vain de nier, on ne parle pas, de se que l'on ne ressent pas !
Je suis triste pour toi, mes enfants ne pense plus à leur père ou du moins n'en parle jamais. DE plus, lui, n'a jamais donné ou presque, d'argent pour les elever... Toi, tu n'aurais jamais fais une chose pareille
Voilà un très long com ! Il m'aurait été plus simple de te dire seulement que j'ai beaucoup d'amitié pour toi !
Je t'embrasse monsieur ami Marc
Nettoue
Un jour , elles comprendront j'espère ..
bisous
je t'embrasse (j'avais perdu ton lien! je te mets dans mes favoris pour ne plus te perdre!)Merci Mamiekéké, j’ai compris depuis des lustres ce que veut dire : la famille ont ne la choisi pas, les amis oui ! J’ai comme allié mes amis(es) puis le temps qui est passé depuis cela. Je me suis accordé un jour le droit de ne plus être le bienvenu dans la vie des mes deux filles et surtout celui d’accepter ! Depuis, je suis bien moins crucifié et bien plus serein. Je me sais même être tout simplement heureux. Je vous embrasse, bonne fin de soirée ou bonne nuit à vous tous. @mitié, Marc.
J’ai connu des tristesses des déchirements et je n’hésite pas à y mettre un S partout. Puis je me suis accordé la paix au bout de mes renoncements. Aujourd’hui, j’aime écrire sur ce thème qui n’est plus pur moi douloureux car trop de temps est passé, ce temps est mon allié ! Merci Solange de ce très précieux commentaire pour moi. Bonne fin de journée à toi, ici je vais me plonger là dans ma nuit. @mitié, Marc.
Tiens pour te rassurer
Je t' ai trouvé deux magiciens
Ils feront tout pour te consoler
Et te rendrons heureux avec des petits riens.
Je t' aime mon ami et bravo pour tes résolutions qui à mon humble avis te permettrons de vivre bien plus décontracté qu' avant . Les enfants on ne les choisis pas mais ses amis OUI .....
Gros bisous-poutous de nous 4.
Mamiekéké et Cricri d' amour .
Sabine et Dimitri ton petit copain.
Florence, j’ai réussi à me pardonner de ne plus avoir à aimer ceux qui auront refusé mon amour et mon respect. Ce fut douloureux mais j’ai appris à me refuser le devoir d’aimer contre leur volonté. Merci pour tes mots, ils me démontrent que ce que j’écris peut avoir souvent un écho favorable à cette décision. Je t’embrasse. @ bientôt, Marc.
Il arrive un moment où l'erreur, si erreur il y a est pardonnée.
Si on a fait de son mieux pour montrer une affection qui est refusée, on peut vivre sans remords, sans regrets, en paix avec soi-même.La vie est assez généreuse pour ouvrir des fenetres quand la porte se referme.Toute mon amitiéBonjour Jipi, merci et bonne fin de semaine à vous dans cette belle Bretagne. La Lorraine est en été ce week-end… je vous embrasse, Marc.
Bonjour Bigornette, je n’ambitionne plus de retrouver un jour mes enfants, enfin celles que j’ai perdu depuis si longtemps. Ce temps qui est passé, il se compte en une dizaine d’années pour mon aînée, m’oblige à ne surtout plus rien attendre. Mais j’ai appris que d’accepter de renoncer à ceux que l’on se supposait avoir le droit d’aimer toute sa vie en étant simplement aimé d’eux est le plus salvateur des raisonnables moyens dont je dispose.
J’ai accepté après mille et une souffrance de trop de n’avoir été ni aimé et respecté par mes parents et par mes enfants. J’ai renoncé à m’en supposer seul responsable. J’ai compris qu’une vie est possible même sans l’amour des siens. J’ai du rêver ou cauchemarder d’avoir était un enfant pas aimé et respecté par ses parents et adulte un père plus aimé et renié par ses enfants après plus de 25 années d’une exceptionnelle relation père-filles…
Bigornette, ma vie est là heureuse, libre, personnelle et remplie d’amour, d’amitié, de partage. C’est ma plus belle contribution à ce présent et cet avenir que je souhaite à vie moins douloureux que ce passé que j’ai eu.
Je t’embrasse, ravi de notre correspondance Amitié, Marc.
Je tombe ce soir sur cet article que je n'avais pas encore vu...Je pense qu'il est des choses douloureuses qui méritent d'être mises en écrits, car les écrits libèrent...et tu le fais si bien...Cependant te connaissant à travers tes écrits j'ai été stupéfaite...j'étais loin de penser à une rupture de ce genre...Pas facile tous les jours d'être parent...et même si j'ai gardé des rapports corrects avec les miens (mes parents) par moment ç'était chaud...Avec mes enfants beaucoup de sujets sont à éviter...Et parfois un peu d'éloignement arrange les choses...Je te fais des gros bisous et je pense qu'arrivera un moment où tu retrouveras tes enfants à une occasion quelconque...je te le souhaite...La maturité des enfants fait changer les rapports avec les parents....Heureusement....
Merci, mais cette journée de la Fête des pères n’aura pas été pour moi une mauvaise journée. Je n’ai même pas été mélancolique… j’ai juste aimé voir sur les blogs ceux qui aiment leur père le leur faire savoir. Merci Ptitsa de cette pensée pour moi. Je t’embrasse. @ bientôt, Marc.
C'est bien pour cela que je pensais tout particulièrement à toi en cette journée d'hier, avec toute la tendresse dont je pouvais t'envelopper...L'écriture est l'une des plus merveilleuse manière de vider son sac, il faut le faire souvent et souffler un bon coup sur la carapace, je suis sûre que tu peux réussir à te livrer davantage, c'est bon parfois et c'est apprécié aussi. Je te salue amicalement. A très vite.Mon inventaire de ma boutique Over-Coeur... Certaines chose se rapprocheront fort des tiennes, d'autres changeront surement de rayons... sourire...je vais y réfléchir! Un très beau poème Marc...mais... "Père réparé" mais néanmoins "écrit tristement"... L'arc en ciel lave les larmes... pour toi!Bonsoir Dominique, c’est sans aucune difficulté que je te sais mettre la minutie et le travail requis pour ces magnifiques mises en costume de tes poupées en arrière de ton plaisir de créer et de réaliser ces trésors. Lorsque je peins je suis aussi dans les mêmes dispositions et je ne vois rien d’autre que le plaisir de réaliser mon projet en cours. Je t’embrasse, je te dis à demain et aussi je te souhaite une douce nuit. Marc.
Bonsoir Lmvie (youpi, j’ai réussi à ne plus en faire un impératif…) merci, un énorme merci de non seulement te satisfaire ce ces mots en réponse à tes interrogations, mais surtout de me dire que c’est pour toi le plus beau de mes poèmes. Merci, je t’embrasse, Marc.
Minuivie, merci pour juste ce petit mot « sans commentaire » sous mon poème. Juste avec une amitié sincère, cette réponse à ton passage dans mes écrits. Amitiés, Marc.
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Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.