J'ai envie, j'ai besoin de vous faire savoir qu'en décembre à Metz " Tant qu'il ne pleut pas il fait beau ! ". C'est ce que nous nous sommes répétés Evelyne et moi, tout au long de l'après-midi d'hier, celui que nous avons commencé par le marché de Noël devant la gare...  

Nous nous sommes retrouvés à 14 heures. Nous nous sommes quittés vers 19 heures.  Nous ne sommes pas restés près de la grande crèche pendant toutes ces heures.

C'est par la rue Gambetta que nous nous sommes éloignés de la gare, du grand sapin et même du Centre Pompidou-Metz. Pourquoi je vous en parle ? Mais parce qu'il est visible sur cette photo ! OK, il est très discret mais il est bien là à droite de la tour de l'Horloge, entre elle et l'arbre.  

 Très rapidement nous sommes arrivés sur la place Raymond Mondon. 

Regardez bien cette photo : Evelyne et la Porte Serpenoise, l'arc de triomphe de Metz, ont un point commun. Elles sont toutes les deux coiffées d'un bonnet...  

Depuis la gare, en marchant, en faisant de très nombreuses photos, en discutant aussi, nous avons décidé de mettre au programme de notre après-midi deux  choses. C'est pour cela que nous sommes passés par l'Avenue Ney. 

Au bout de laquelle nous nous sommes retrouvés place de la République.  

C'est grâce à cette photo que je peux vous donner un indice sur l'un de nos projets de l'après-midi.  C'est sûr que pas du tout par un pur hasard nous étions au bon endroit pour le réaliser malgré la grisaille. Il faisait encore beau puisqu'il ne pleuvait pas... 

Vous êtes en droit de vous demandez pourquoi je vous montre cette photo aérienne de l'Arsenal Metz. Je suis moi en droit, pour le moment, de ne pas vous en dire plus que ce qu'elle vous précise que nous sommes montés dans la grande roue...  

Voici la réponse que vous attendez peut-être. Nous sommes allés découvrir cette exposition présentée par l'Arsenal Metz.  

Pour ce faire, nous sommes rentrés dans ce prestigieux bâtiment pour monter (par l'ascenseur) dans la galerie d'exposition.  

Ne vous en voulez pas de ne pas, éventuellement, connaître Philippe Geslin. J'espère qu'il ne sera plus un inconnu pour vous après que vous ayez, comme Evelyne et moi l'avons fait, vu ses photos. 

Philippe Geslin à travers une centaine d’œuvres nous ouvre l'univers du peintre André-Pierre Arnal et en particulier ceux de son atelier de Paris et de celui des Cévennes. 

Ce détail d'une des photos (elle est visible sur la précédente) m'a semblé mériter cet agrandissement. J'aime ce rappel, cette recommandation, cette nécessité, cette réalité pour chacun de nous.  

Evelyne et moi avons trouvé passionnantes les photos de l'atelier d'André-Pierre Arnal. 

C'est encore un détail d'une des photos de la précédente. Je me suis senti très proche de l'univers de  cet artiste de réputation internationale.   

Si Philippe Geslin est lui un ethnologue de réputation internationale, il parcourt le monde...  

Au retour de ses périples il aime poser ses bagages dans les coulisses de la création en allant à la rencontre d'artistes.  

 Nous avons passé un moment exaltant a admirer les coulisses de la création d'un artiste complet.

Je ne pouvais ne pas être très touché moi qui ait une passion pour les arts premiers, ceux que l'on qualifiait avant d'art primitifs. 

  Les expositions d'Arsenal Metz sont toujours exceptionnelles.

J'ai eu le reflex de faire cette photo d'Evelyne avec son reflex NiKon... Je lui trouve, avec son bonnet, des airs de petite sœur du Père Noël. Ceci n'engage que moi..

Nous étions mardi, il ne m'a pas été très difficile de faire ces photos sans visiteurs apparents...  

Pourtant nous n'étions pas les seuls dans cette exposition que nous avons énormément aimée tous les deux.  

Il y a aussi quelques merveilleuses photos de Philippe Geslin, celles rapportées de terres lointaines. 

Ces terres sont celles du quotidien de l’ethnologue lorsqu'il séjourne dans d'autres cultures à travers le monde. 

Nous étions tous les deux tellement passionnés par ce que nous découvrions... 

Que nous avons d'un commun accord décidé de repartir dans l'exposition au lieu de la quitter près de la sortie.

Même sans l'accent circonflexe sur "ame" que cette phrase est belle !  

Nous avons eu raison de repartir dans les photos de Philippe Geslin.  

C'est André-Pierre Arnal.  Lui est exposé au Château de Courcelles en même temps que Philippe Geslin l'est à Arsenal Metz. 

Dès ce week-end j'irai voir ses tableaux. Lumix m'accompagnera. Je retournerai aussi voir ces photos sans avoir à les photographier. Je suis certain d'en découvrir mille autres aspects...  

C'est là que nous avons sacrifié à un rituel incontournable au cours d'une promenade en ville : nous poser (au chaud), nous désaltérer en dégustant une de ces petites choses que l'on appelle pâtisserie... 

Il a du faire nuit vers 17 heures, il faisait toujours beau... le noir ayant avantageusement remplacé le gris, nous sommes repartis dans le centre-ville. Nous n'étions pas seuls dans la rue Serpenoise. 

Nous sommes même rentrés dans les Galeries Lafayette pour aller au rayon photo de la FNAC. Il y faisait bon chaud. Nous y avons passé un agréable moment... 

Nous ne nous sommes déplacés que sous les illuminations de Noël. Elles réchauffaient l'ambiance du centre-ville.  

Nous avons fait bien d'autres photos. Puis nous nous sommes retrouvés le long du marché de Noël de la place de la République. C'est à travers la station du METTIS que j'ai fait cette photo dans laquelle j'ai eu à cœur de cadrer un bout de la grande roue.  

Pour conclure ce formidable après-midi en permanence improvisé en fonction de nos envies, je me sers de cette photo prise depuis la grande roue pour vous en promettre d'autres très vite.  

Je peux vous inviter, il vous suffit de cliquer sur cette photo, à découvrir l'univers d'André-Pierre Arnal.