Promenade dans la neige autour de Boulay-Moselle ...

1.

Je parle beaucoup de la neige. Si elle est tombée récemment sur Metz, elle ne l'a pas blanchie. Hier, sous un magnifique soleil, nous sommes Bernard et moi sortis de la ville par l'autoroute de Strasbourg.

2.

La petite ville de Boulay-Moselle, ici nous disons simplement Boulay, nous ne l'avons pas traversée. C'est en la dépassant que nous avons roulé jusqu'au plateau pour...

3.

Nous retrouver dans ces paysages enneigés, ce que nous étions venu chercher à une trentaine de kilomètres de Metz. 

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Les éoliennes ne sont pas des bonhommes de neige, peut-être là des danseuses de neige... 

5.

Nous avons repris la voiture pour nous "enfoncer" plus avant dans la campagne blanche.

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Quelques (quatre) centaines de mètres plus loin nous étions (enfin) totalement cernés par la neige.

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C'est en quittant la "grand route" que nous nous sommes aventurés le long de ces champs.

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Besoin d'une confirmation ? En Moselle les chasseurs préfèrent les coins tranquilles. 

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Le ciel était radieux et je ne me suis pas privé du plaisir de photographier les arbres autour de nous.

10.

Nous n'avons pas franchi cette barrière : terrain militaire, interdiction de passer...

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D'un commun accord nous sommes restés dans les beautés de la nature autorisées aux civils.

12.

Nous avons préféré le blanc au kaki... 

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Ces chemins nous nous sommes interdits d'y rentrer. Non pas que nous ne le souhaitions pas mais nous devions rentrer à Metz, pas trop tard...

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J'ai pris le temps de faire cette photo.

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Puis celle-ci ravi, enchanté par cette promenade improvisée dans notre campagne.

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Grâce où à cause de la barrière rouge, nous sommes repassés par le même route. 

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J'ai pris le temps, le temps nécessaire, indispensable pour faire ces photos pendant que le soleil brillait encore.

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Je n'ai pas hésité à m'éloigner (un peu) de la route pour faire des photos comme celle-ci. Je devais composer avec le soleil. Là je l'ai mis derrière cet arbre.  

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Je suppose être monté et descendu de la voiture au moins quarante fois. Il y faisait "bon chaud". 

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Nous n'en revenions pas de pouvoir faire cette promenade si dépaysante à proximité  de Metz.

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Je ne craignais que le passage d'un énorme-immense-épais nuage tueur d'ensoleillement. 

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Ils ont, les nuages, eu la politesse de ne pas trop s'attarder entre le soleil et l'objectif de Lumix. 

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Heureux, excité j'ai continué à faire ces photos. 

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Nous n'avons pas de cheminée, ce que nous regrettons toujours en hiver...

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Nous sommes arrivés près de la "grand route". Metz était sur la droite, nous sommes partis vers la gauche...

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Je crois que s'en nous l'être vraiment dit, nous étions enchantés au point de ne pas vouloir rentrer directement. 

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En plus, c'était dans la direction de Metz qu'il semblait y avoir le plus de nuages. 

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Nous nous étions encore au soleil... 

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Nous ne sommes pas restés longtemps sur cette petite route. Elle n'était pas déneigée. J'y ai fait cette photo avant que Bernard ne fasse une marche arrière. 

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Nous sommes arrivés au dessus du village de Boucheporn. Nous étions dans les "pays" de Bernard qui n'a pas toujours vécu à Metz. 

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Nous avons traversé ce village mosellan pour prendre la direction de Metz.

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C'est par une petite route très campagnarde que Bernard m'a fait passer.

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J'ai continué à passer du confort de la voiture à celui moins cocooning du bord de cette route...  

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Mais comment ne le faire entouré de cette campagne magnifiée par la neige ? 

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Nous progressions vers Metz, nous devions toujours ne pas y rentrer trop tard...

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Nouvel arrêt pour cette photo.

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Et pour celle-ci au même endroit en bordure de forêt. 

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Nous roulions alors sur cette route bien plus agréable que ne l'est l'autoroute (il passe tout près). 

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C'est dans le village de Zondrange que j'ai eu envie de faire cette photo d'une très vielle maison très pittoresque et très authentique. 

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J'étais debout face à elle lorsque j'ai remarqué cette flaque gelée à mes pieds. Je venais de trouver le chien de la maison... Je suis revenu en riant à la voiture.

Nous étions alors à une vingtaine de minutes de Metz. Je n'ai eu qu'à cesser de vouloir faire des photos pour que cela ne prenne pas trois fois plus de temps.