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C'est une promenade en automne au bord des étangs de Vaux.
Vaux se trouve à une dizaine de kilomètres au sud de Metz, dans le pays messin.
Toutes ces photos peuvent être vues en grand par un clic.
Il ne faisait pas beau, pas très beau, lorsque Chronique, Mireille du Sablon et moi nous sommes promenés le long des étangs habités ou pas.
Voici ce que photographiais Mireille du Sablon...
Ces photos me semblent être très parlantes de ce que sont les paysages des étangs de Vaux. En bas à gauche, un des sentiers qui dessert les constructions les plus reculées.
C'est dans cet univers hors du temps que nous avons passé quelques heures sans nous rendre compte de celles qui passaient pendant que nous avions envie de tout photographier...
Tous les panoramiques de l'article peuvent être vus en "GRAND"... Cet étang n'est pas habité. Il est réservé à la pêche. D'autres le sont aussi.
Cet endroit est un paradis pour les pêcheurs.
Le doute n'est plus possible : nous sommes bien en automne en Moselle.
Nous aurions pu rapporter des milliers de photos. Tout semble extraordinaire dans cette "ville" lacustre si proche des villages au sud de Metz. j'écris "ville" car il y a plusieurs "quartiers".
L'endroit est très très photogénique. Pourtant nous n'avions pas de soleil. Il a même pleuvioté plusieurs parfois. Les pontons se comptent par centaines.
Certains vieux pontons contribuent à donner un charme exceptionnel aux berges des différents étangs colonisés. Ils le sont depuis des décennies par des passionnés de cet endroit magique.
L'été s'est quand même rappelé à nous plusieurs fois.
La vie y est très organisée comme l'est le transport des marchandises jusqu'aux petites ou plus grandes propriétés. Elles sont souvent accessibles qu'à pied par des chemins à peine aussi larges que ces "remorques".
Ces "remorques" sont remisées aux endroits où les marchandises passent des voitures à elles. Pendant la belle saison elles sont bien plus nombreuses que durant les autres mois de l'année.
Des maisons ne sont elles accessibles qu'en barque. Dans les premières photos de cette série je partage cela : nous avons tous eu tous les trois le même sentiment, celui d'être quelque-part au Canada. Nous n'avons pas vu le chien bizarre.
L'absence de soleil aura rendu notre séjour quelque-peu nostalgique de l'été presque effacé.
Pour passer d'un étang "urbanisé" à l'autre nous avons longé un celui-ci laissé "sauvage" pour les pêcheurs et pour la préservation de la biodiversité très riche de cette zone le long de la Moselle.
Pour nous trois, tout est prétexte à faire des photos lorsque nous sommes en balade ensoleillée ou pas...
Avec ces séries j'ai imaginé une nouvelle façon de vous présenter énormément de photos. Vous pouvez ainsi ne choisir que celles que vous avez envie de voir en grand.
Il y a au moins 75 photos dans cet article. Il était pour moi impossible de ne vous en montrer que 20, 30 ou 40. Pourtant j'ai renoncé à vous montrer les 187 photos qui me sont restées après un tri impitoyable (merci Chronique) sur les 259 faites...
Il est possible que vous soyez en train de "sentir" la magie de ce lieux. C'est ce que je souhaite car je suis toujours émerveillé par l'ambiance si particulière de ses étangs.
Nous avons, pas si rarement que cela, détecté de la vie dans ces cabanons qui sont parfois devenus des maisons qui sont parfois devenues des pavillons voire des villas.
Mais nous sommes en automne et les riverains sont bien plus présents en dehors des jours pluvieux, froids voire glaciaux. L'été cette installation de pêche "tout confort" ne doit que très rarement être désertée.
Lorsque j'ai retrouvé les "filles" (nous nous séparons, nous retrouvons, nous nous séparons...) elles étaient en compagnie de ces cygnes très très sociaux.
Je vous présente leur préféré qui nous offrait un bal du cygne...
Voici l'endroit de la rencontre avec les cygnes.
Nous sommes certains que cet amoncellement de bois n'est rien d'autre qu'un repaire de castors. Je peux vous dire que nous étions vraiment ravis de le découvrir. Il a rendu encore plus magique notre promenade.
Ces photos montrent une partie de cet étang moins "urbanisé", plus sauvage, plus "canadien".
Je n'ai pas résisté au plaisir de faire ce panoramique avec sur sa gauche les cygnes près de la construction des castors. La partie sauvage commence à droite.
Bien calé, j'ai fait ce zoom pour dire au revoir à cette faune si sympathique, chez elle au milieu des constructions visibles qu'au travers des reflets.
A peine plus loin nous sommes descendu au bord de cet étant sans aucune construction. Nous étions tous les trois sous le coup d'une multitude d'émotions. L'endroit était simplement féerique malgré le gris du ciel.
Cette dernière série nous montrent tous les trois au bord de ce miroir. En face, j'ai vu des cygnes. En tentant de zoomer j'ai capté l'envol d'un héron. Puis nous avons quitté ce sublime étang pour, tout doucement, nous résoudre à quitter les étangs de vaux.
J'ai connu la beauté de cet endroit grâce à un reportage que TF1 lui a consacré. On m'en avait parlé souvent mais sans avoir réussi à me dire combien cet endroit était hors du temps, combien il était exceptionnel, insoupçonnable même.
La deuxième photo de cette dernière série est l'une de celles de Chronique (merci).
Cette vue aérienne peut être agrandie elle aussi par un clic...
Il est possible que les étangs de Vaux soient aussi les étangs d'Outre-Moselle.
C'est pour cela que j'utilise cette là cette appellation.