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Mercredi dernier il faisait très beau. Je me suis retrouvé place Saint-Louis pour remonter la rue de la Tête d'Or, celle en face, pour donner une suite à :
- Bonjour Marc. Avec Gérard nous allons essayer l'Assiette au Bœuf puis nous nous promènerons.
- Bonjour Christine, cela ne m'étonne pas. Vous avez une idée de promenade ?
- Oui, nous avons prévu d'aller dans le quartier de la place de France. Gérard ne connait pas encore.
- Et vous déjeunerez à l'Assiette au Bœuf. Je ne connais pas depuis que ce n'est plus "Maire".
- Nous en avons de très bons échos. Tu nous rejoins ?
- Oui, mais pas pour y manger avec vous. J'ai à faire quelques trucs.
- Alors nous t'attendons pour le café. Super que tu puisses être des nôtres.
- ...
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Moins de vingt minutes après être sorti et plus de quinze nouvelles photos plus tard, je pouvais voir l'Assiette au Bœuf depuis la rue du Palais.
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Moins de cinq minutes plus tard et plus de cinq autres photos après, j'arrivais par le Moyen-Pont devant le restaurant.
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J'y ai bu un excellent café. Christine et Gérard y étaient enchantés de ce qu'ils y avaient mangé. J'ai fait cette photo de la cathédrale Saint-Etienne au travers de la baie vitrée avant de sortir.
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Nous avons tourné le dos au restaurant en passant par la rue du Pont des Morts. C'est le quartier du campus universitaire du Saulcy. Un jeune étudiant a cartonné très fort avec Christine.
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C'est en empruntant le Pont des Morts que nous sommes passés de l'Île Chambière à l'Île Fort-Moselle où se trouve la place de France et bien d'autres "choses". Notre printemps accuse encore quelques semaines de retard...
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C'est bien grâce à Christine que je n'écris pas ici : il y avait au bord de la Moselle un cygne bonsaï déguisé en page de la Renaissance.
Je peux écrire : dans le Parc de la Cavalerie nous avons pu photographier une ouette d'Egypte.
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J'ai, le soleil m'y invitant, souhaité dépayser mes amis là aussi enchantés en leur faisant découvrir les nouveaux aménagements (promenade et piste cyclable) du Port Mazerolle-Metz sur la voie fluviale à grand gabarit.
A droite au fond je vous suggère de remarquer les arches blanches du Pont Éblé . Vous les reverrez dans cet article (photo n° 20).
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Nous avons pris un grand bol d'air. Nous avons tous les trois fait des photos. Je me suis rappelé toutes les heures passées là lorsque je travaillais à moins de 300 mètres de ces quais, de ce petit port de plaisance, de cette annexe du port céréalier de Metz.
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Enfin, façon de parler... j'ai fait découvrir à Gérard et redécouvrir à Christine la Messine la place de France.
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Je leur ai montré la fausse austère mais vraie très belle ancienne Ecole de Cavalerie. Elle héberge aujourd’hui l'Ecole de Rééducation Professionnelle Jean Moulin.
Question : qu'elle est la pierre dans laquelle est fait son grandiose fronton ?
Je ne vous accorde qu'une seule réponse !
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Nous sommes rentrés dans l'église Saint-Simon-Saint-Jude. Achevée en 1740 elle bénéficie depuis du patronage de deux saints protecteurs. Elle est ouverte tous les jours de 7h45 à 19h00.
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Là encore nous avons fait quelques photos.
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Chaque dernier mercredi du mois les croyants peuvent participer à un pèlerinage dédié à Saint-Jude.
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J'ai ensuite proposé à mes amis de se promener le long de la Moselle dans les allées du Parc de la Cavalerie et de revenir vers le centre-ville en traversant le quartier de Pontiffroy.
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De l'autre côté de la Moselle nous avons pu constater l'avancée du chantier de requalification du site de l'ancienne manufacture des tabacs (construction de logements sociaux et résidentiels et aménagement-embellissement de ce secteur).
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Si je n'ai pas le sourire de la fermière à vous proposer, je peux vous montrer celui de la "photographe" saisi de loin grâce au zoom de Lumix.
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Nous sommes très vite arrivés au bout de ce parc laissé naturel... L'auberge de jeunesse est toujours sur pilotis. Les arches du Pont de Thionville sont elles toujours en pierre jaune de Jaumont.
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En fait, le Pont de Thionville vient de devenir le Pont Tiffroy. Il ne l'était pas fin 2013 lorsque j'ai cessé de le fréquenter tous les jours avant d'être en retraite. Les installations du premier port céréalier fluvial de France sont elles toujours là au delà du Pont Jean Monet.
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Depuis l'entrée du Pont Tiffroy j'ai fait cette photo de la station METTIS Sainte-Barbe. Le pont Éblé avec les arches blanches, celles visible sur la photo n° 8, est là tout près.
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Une fois de plus, grâce à Christine, je peux ne pas parler de grands pigeons voyageurs mais de cormorans au dessus des berges de la Moselle...
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Autour de la station METTIS Pontiffroy, la place a elle aussi été totalement réaménagée devant le siège social de l'Usine d’Électricité de Metz. C'est elle qui nous fournit et facture l'électricité dans Metz et dans plus de 140 communes dans notre département, celui de la Moselle...
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Nous nous sommes arrêtés un moment dans un café pour nous poser et nous désaltérer. Puis nous avons traversé Pontiffroy. Très vite nous nous sommes rapprochés de la cathédrale.
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Christine a fait bien d'autres photos dans le Pontiffroy. J'en ai faites quelques unes... Gérard en a fait.
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C'est en débouchant sur l'Esplanade des Thermes, au bout du Pont Saint-Georges, que nous avons retrouvé l'hyper centre ville historique et commercial.
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Christine photographiait des cygnes, Gérard la regardait faire et moi en contre-jour ensoleillé j'ai photographiais Gérard en train de regarder les cygnes que photographiait Christine ravie de la lumière.
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Il est vraie que cette lumière, si particulière quand le soleil tombe doucement en hiver sur la Moselle, nous aura donné envie de faire encore et encore de nombreuses photos.
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Je n'ai pas résisté au simple plaisir de faire cette photo du Moulin des Thermes et des tours de la basilique Saint Vincent.
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Je ne me suis pas non plus interdit de faire celle-ci du Pontiffroy que nous venions de quitter.
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Ni plus loin celle de ces immeubles du Conseil Général de la Moselle sur la place de la Préfecture. Même en hiver le soleil est l'ami de la pierre jaune de Jaumont.
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Rue des Piques, ruelle du Moyen-âge, cette ambulance démilitarisée m'a fait penser, sous ce balcon séculaire, à une version revisitée et messine de Roméo et Juliette...
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L'ange musicien sonne de sa trompette depuis 1959 à 60 mètres de hauteur au dessus de Metz. Réalisé en cuivre forgé et doré il est l'oeuvre Robert Barriot sur un dessin de Joël Martel.
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C'est grâce au zoom de Lumix, utilisé depuis la cour du restaurant À la Ville de Lyon de la rue des Piques, que je peux vous le montrer de si loin si près...
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Nous avons appris que cette ancienne ambulance est un camping-car. Cela n'a fait que renforcer l'insolite de sa présence au pied de cet immeuble.
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Encore l'une de ces "choses" que l'on ne peut photographier que sans s'y attendre. Il suffit juste d'avoir son appareil photo avec soi.
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Nous sommes passés sous la cathédrale pour profiter du soleil au dessus de la place de Chambre.
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Je vous laisse deviner ce que photographiait Christine dans cette lumière idéale, l'une de celles qui donne à la pierre de Jaumont son nom de pierre du soleil.
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C'est quelques minutes plus tard que nous nous sommes séparés. Mes amis sont rentrés par les berges ensoleillées de la Moselle. Moi je l'ai fait en traversant quelques rues du centre-ville. J'avoue avoir encore fait quelques... photos pendant mon retour.
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Il m'a donc fallu un temps certain pour me retrouver de l'autre côté de la photo n° 1 de cette promenade improvisée dans la ville. Et je vous le prouve en là remettant ici.
39 bis...
Ce que ne vous précise pas cette photo, je suis là pour le faire, elle est horodatée de 13h18.
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Celle-ci prise place Saint-Louis l'est de 17h31. Je venais de passer plus de quatre heures à me promener, à redécouvrir, à faire des photos en compagnie d'amis rencontrés grâce à FaceBook il y a quelques mois.
Je souris toujours en m'entendant demander comment se passe ma retraite. Je réponds toujours : formidablement ! J'en partage souvent des heures en compagnie de plusieurs personnes qui se connaissent ou pas mais toutes "dingues" de Metz et fières d'y vivre où de bien la connaître.
Puisse personne ne plus s'inquiéter pour moi. Metz a bien trop de choses à m'offrir pour que je risque pas de n'y être pas heureux dans une retraite enrichie au quotidien d'amitié(s)...