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Je n'ai pas hésité une seconde : j'ai fait cette photo. Si je ne peux pas vous montrer d'alignements de menhirs à Metz, je peux au moins vous montrer celui-ci entre la place Mazelle et la gare.
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Bernard et moi étions à l'heure. Le soleil était au rendez-vous. Ce n'est qu'un des fabuleux réverbères de Philippe Starck. Ils sont incontournables et je rajoute "admirables" sur la place devant la gare.
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Jazzy57 était elle aussi au rendez-vous. Tout allait bien. La Grande Poste en grès des Vosges était à sa place en face de la gare. Grâce au soleil les réverbères de Starck n'étaient pas allumés...
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C'est en faisant quelques photos que nous avons laissé aux autres le temps de nous rejoindre. Il faisait magnifique...
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Mais pour nous mettre à l'abri d'une bises glaciale et rester visibles nous nous sommes réfugiés dans la structure très moderne qui dessert le parking souterrain de la gare. Très très vite nous nous sommes retrouvés.
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En voyant ce poisson exotique (n'est-ce-pas que c'est un poisson exotique...), j'ai eu envie de me retrouver au bord du lagon de Nouvelle Calédonie où je suis né il y a peu...
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Je me suis ressaisi. Je suis très vite mis de retour à Metz en m'éloignant de ce poisson tropical...
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J'étais bien le long de la Grande Poste en partance, non pas dans les paysages de Nouvelle Calédonie, mais dans ceux urbains du quartier Impérial. Merci adorable @54 de m'avoir adressé ce sourire alors que tous les autres ne faisaient absolument pas attention à moi.
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Je ne vais dans cet article que vous faire partager ces moments d'amitié que nous passons lorsque nous nous retrouvons.
Je venais de montrer à @54 ce siège enfant dans la vitrine d'un coiffeur. Il était dans son salon et lui a fait signe d'entrer pour le photographier de l'intérieur. Yvonne, Bernard et moi sommes restés dans la rue du Sablon, @54 dedans à fait des photos de tout le salon... Un moment très sympa !
Bernard, coiffeur à domicile, est allé ensuite dire bonjour (un certain temps) à ce collègue.
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Je ne vais pas être le seul à garder de cet autre moment, dans la rue Pasteur, un souvenir inoubliable. Les photos me permettent d'économiser des mots, ceux qui raconteraient moins bien qu'elles un moment de pure délire joyeux, taquin et surtout collectif.
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Mireille du Sablon et Martine de Queuleu étaient "éclatées". Nous en face, autant qu'elles. J'ai agrandi la photo suivante pour vous mieux montrer cet instant magique. Une fausse vraie presse était présente.
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Ce que vous ne savez pas encore c'est que Martine de Queuleu travaille chez un concurrent. Non, ce n'est pas chez Ricard ! Les habitants de la Picardie ne sont pas des Ricards et des Ricardes ! Tout le monde sait cela ! (bises de Metz Annick d'Amiens).
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Si Monsieur son patron devait voir ces photos, j'affirme que nous avons PRESQUE obligé Martine de Queuleu à poser devant Thiriet. D'ailleurs à sa décharge il est flagrant que Mireille du Sablon la retient fermement de force (regardez, Monsieur son patron, son bras).
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Bien entendu je ne me suis pas laissé dissiper tout le temps par les bêtises du groupe (*). J'ai pensé à faire des photos et ce très sérieusement mais en pas du tout professionnel, ce que je ne suis toujours pas !
(*) J'avoue avoir ri tout le temps. En matière d'humour et de bonne humeur j'ai à faire à une bande d’hyperactives et ce déjà quand Bernard n'est pas de la partie !
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Parfois le groupe est statique. Nous passons notre temps à nous montrer des détails, à discuter de ce que nous voyons, à partager ce que nous aimons et à faire des photos.
C'est alors qu'il est RAREMENT mais pas impossible d'avoir tout le monde sur la même photo. A deux secondes prêt @54 n'aurait plus été dessus ! Si vous cherchez Marie-Anne de Metz elle est à droite en train de faire une photo dans une vitrine.
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Moi, toujours sérieux j'ai engrangé des photos pour mes futurs articles.
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Rue François de Curel, dans la vitrine d'un excellent chocolatier, j'ai repéré mes Pâques de cette année. Ne me reste plus qu'à croire au Père Noël. Je ne suis pas en train de vous demander de lancer une suscription ! Je n'oserai pas.
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C'est un autre moment magique (du moins pour moi) de cet après-midi en amitié. Je ne savais pas que j'étais au bout de l'objectif d'Evelyne de Queuleu. Ce fut furtif mais d'une très belle intensité !
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Je pense que Marie-Anne a compris que je venais de rencontrer un ange qui était heureux d'en rencontrer un autre...
C'est son expression qui me fait être sûr de moi. Jazzy57 et Yvonne de Moulin semblent elles n'avoir vu que moi. Tant mieux ! Avec les histoires d'anges il faut savoir rester discret, à Metz.
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C'est en me retournant que j'ai senti que Mireille du Sablon pouvait elle aussi avoir perçu quelque chose d'extraordinaire. C'est aussi son expression qui me permet de le penser.
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Nous étions en train de revenir sur la place de la gare. Il était l'heure du goûter. Ne nous restait plus qu'à décider de l'endroit où nous allions nous adonner, sans aucune culpabilité, au pécher de gourmandise.
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Martine de Queuleu et Evelyne de Queuleu, nos deux cuculotines ne faisaient même pas attention au superbe bus couleur mirabelle qui passait. Les habitants du quartier de Queuleu sont des cuculotins.
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Mireille du Sablon et Marie-Anne de Metz faisaient elles du lèche vitrine tactile à la banque.
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Nous avons décidé d'aller au Beny's de l'autre côté de la gare que nous avons traversée en moins de cinq minutes. Les plus gourmandes étaient bien en avance sur moi... Bernard sympa m'attendait et attendait qu'Evelyne de Queuleu fasse ses photos.
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Le soleil faisait moins le fier au dessus du quartier de l'Amphithéâtre. C'est comme si nous l'avions laissé de l'autre côté de la gare. Personne n'a eu envie d'aller au Centre Pompidou-Metz. C'est tant mieux car le mardi il n'est pas ouvert.
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Je vous épargne les photos de ce que nous avons dégusté. Pourtant je tiens à décerner une mention très spéciale aux délicieuses, exquises et somptueuses madeleine faites par Marie-Anne de Metz. Un autre moment magique dans cet après-midi.
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Nous avons pris le temps de... au Beny's. Ce fut très agréable. Rue de la Fontaine, je n'étais plus qu'en compagnie de Marie-Anne de Metz. Pendant qu'elle découvrait la nouvelle boutique de fleurs de Merlino, j'ai fait (incorrigible) des photos.
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Ce fleuriste vient de ré-ouvrir une boutique sur la place Saint-Louis.
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Nous sommes, les gens du quartier ravis de ce retour car étrangement les fleuristes sont devenus rares.
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Il est facile de s'attarder devant de si belles vitrines et très agréable d'en faire des photos. Nous sommes encore en hiver et en manque de couleurs...
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Je n'ai eu qu'à me retourner pour capter ce reflet. Vous le savez, les reflets me fascinent. Ils m'offrent une ville à l'envers et cela m'amuse beaucoup.
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Je n'ai pas résisté au plaisir de faire cette dernière photo. Les orchidées elles aussi me fascinent.
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Entre la vitrine des orchidées et cette terrasse de la place Saint-Jacques, il s'est passé une heure pendant laquelle, en compagnie de Marie-Anne de Metz. j'ai fait d'autres dizaines de photos pour les besoins d'articles à venir.
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C'est depuis cette terrasse, nous étions installés sous les rampes chauffantes, que j'ai fait cette photo. J'ai été très heureux de ces moments passés en belle compagnie. Marie-Anne, messine depuis toujours est passionnée, amoureuse et fière de sa ville. Elle aime la photographier et la partager sur FaceBook et sur son blog.
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Puis nous nous sommes quittés au moment où je faisais ces photos de la place Saint-Jacques. Il était près de 19h30.
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Je n'étais qu'à une quinzaine de minutes de la place Mazelle. C'était sans compter sur cent raisons de faire d'autres photos...
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Le bar que nous venions de quitter est là au fond de cette photo prise depuis la nouvelle entrée du centre commercial Saint-Jacques. Il n'y avait personne... J'ai décidé que c'était le moment idéal pour la photographier et vous la faire découvrir.
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Metz n'est vraiment pas aussi sale que ne l'affirment quelques détracteurs, pas même à la fin d'une journée où des dizaines de milliers de personnes sont passées par les rues de l'hyper centre-ville !
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La mairie consacre des moyens considérables pour assurer la propreté de la ville ! Il y a sur cette photo un employé (en jaune) du service concerné encore au travail.
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Je ne suis pas très souvent en hiver en ville vers 20h00. J'ai eu raison de décider que c'était le bon moment pour faire ces photos. Il y a plus de 100 magasins et boutiques au delà de cette entrée.
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J'étais en train de me décider à rentrer lorsque j'ai été interpellé par...
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Ces deux charmantes, très polies et agréables jeunes filles. Elles ont souhaité que je les prenne en photo après m'avoir demandé ce que je faisais de celles que je prenais. J'ai répondu que je m'en servais pour illustrer des articles sur Metz. C'est avec leur accord que je vous les présente. Celle de gauche, très gracieuse, m'a confié qu'elle rêvait d'être mannequin...
Je n'ai pas fait d'autres photos. Il s'est mis à pleuvoir une pluie froide une minute après cette rencontre. Je suis arrivé trempé mais enchanté du déroulé de cet après-midi. Nous sommes partis à deux sous le soleil, je l'ai partagée à neuf, je suis rentré seul sous la pluie... HEUREUX !
Nous serons ensemble mais pour une journée le lendemain de Pâques. Nous lancerons les invitations très très vite auprès des autres amis(es) plus éloignés(es) de Metz.
Nous nous sommes toutes et tous rencontrés(es) grâce à nos blogs dont voici les liens :
@54
Marie-Anne de Metz
Jazzy57
Mireille du Sablon
Evelyne de Queuleu : FaceBook.
Yvonne de Moulin : ni blog ni FaceBook.
Martine de Queuleu : ni blog ni FaceBook.
Bernard est accédant permanent à mon blog et à mon profil FaceBook.