Metz Montgolfiades 2014 / J'ai volé au dessus de Metz / 2...

1.
Avant de survoler le plan d'eau il y a eu la préparation du ballon, ce que j'ai  photographié...

TOUTES les photos de cet article peuvent être vues en GRAND.
C'est vues en GRAND qu'elles sont plus nettes, très nettes.
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2.
Le briefing des pilotes.  Dès cette photo les "choses" sont devenues concrètes, pour moi.

3.
Christian le pilote est allé mettre en place l'attelage pour commencer les préparatifs du vol. 

4.
Première étape : poser la nacelle au sol. 

5. 
Nous n'étions pas les seuls à nous préparer à un vol. 

6.
Vous allez comprendre la "chronologie" de la préparation  d'une montgolfière... 

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J'ai assisté, nous avons les passagers avons assisté à l'ensemble des étapes. 

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L'enveloppe a été déroulée. 

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Elle a été accrochée à la structure de la nacelle. 

10.
Pendant ce temps d'autres ballons  étaient en cours de gonflage.

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J'ai été désigné par Christian comme "photographe" pendant que les autres passagers s'activaient sous ses directives... 

12. 
Les ventilateurs permettent de gonfler l'enveloppe. 

13.
Ce qui se passait alors autour de nous me faisait de plus en plus prendre conscience que j'allais voler.  

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Les passagers d'un vol participent toujours, me semble t-il avec beaucoup de plaisir et d'excitation, aux diverses opérations. 

15.
Je faisais ces photos sans tenir compte du passage de quelques nuages... 

16.
Ce sont les deux autres ballons identiques, sauf par leur volume plus important,  à celui dans lequel j'allais réaliser un rêve.  

17.
Comme c'était encore plus concret, cela devenait pour moi très très excitant. 

Je vous rappelle que TOUTES ces photos peuvent être vues en GRAND.

18.
Christian, assisté par trois de mes compagnons dans cette fabuleuses aventure, poursuivait le gonflage. 

19.
Je savais alors que bientôt notre ballon volerait lui aussi et je n'avais plus aucun doute : je serai du "voyage"...  

20.
J'ai fait ces photos presque en regrettant de n'être pas impliqué dans cette succession d'opérations... 

21.
Je vous laisse regarder les autres photos car il est évident qu'elles n'ont pas besoin d'être toutes commentées.

22.
Plus nous approchions du moment du décollage, plus le ciel devenait lumineux : ouf ! 

23.
Plus l’enveloppe était gonflée, plus je pouvais en mesurer les dimensions. 

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27. 
Là, nous avons été prévenus que nous devions nous préparer à grimper dans la nacelle (je n'ai pas été le dernier à le faire).

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La consigne a été donnée d'être le plus rapide possible. 

29. 
Dès que j'ai été passager j'ai fait cette première photo.

30. 
Pendant l'embarquement des autres, j'ai pris ces ballons au milieu desquels très vite nous allions évoluer.

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Notre vol a commencé à côté du ballon de la Ville de Metz. 

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Mes premières secondes pendant lesquelles je ne cessais de me dire : tu es en train de voler ! Je peux vous confier que j'étais dans un état entre bonheur extrême et ahurissement tout autant extrême...

34. 
J'étais en même temps fasciné et toujours ahuri d'être dans un "ascenseur" pour l'aventure la plus exceptionnelle de ma vie... C'était MAGIQUE.

35. 
J'étais  en train de comprendre que le vent n'allait pas nous offrir le survol du centre-ville historique.

36. 
Je n'ai pas permis à la petite pointe de déception que j'ai ressenti de me "gâcher" mon rêve.

37. 
J'allais me satisfaire de chaque secondes passée en vol en et je l'avoue là, en souhaitant que ce vol pour moi si extraordinaire dure, dure, dure longtemps, très. 

38. 
Je me souviens qu'à partir de cet instant, j'ai su que quelques serait la durée de celui-ci, je m'étais déjà fabriqué des souvenirs inoubliables...

39. 
Je me rappelle m'être dit : surtout n'oublie pas de photographier Metz, photographie "tout"...

40. 
C'est ce que j'ai fait, fait pendant 1 heure et 44 minutes de pur BONHEUR dans un ciel idéal, à une vitesse elle aussi idéale et à des altitudes idéalement variées... 

41. 
Là, au dessus du début du canal, au dessus du Palais du Gouverneur, au dessus de Metz sous le soleil, dans l'un de mes plus vieux rêves j'étais en train de faire le plein d'émotions, celles imaginées pendant des années...

C'est ce que j'ai fait intimement et égoïstement. En effet, personne ne m'a su être en train de voler au dessus de Metz. J'ai et je le reconnais aussi aimé cette sensation unique dans ma vie que le plus extraordinaire des hasards me faisait un cadeau non seulement merveilleux mais UNIQUE  et que tant que j'étais en vol il n'appartenait qu'à moi...

C'est à la fin de ce vol, que j'ai appelé Bernard pour lui faire savoir que je venais de réaliser MON rêve. J'étais dans un champ au sud de Metz...

Ce vol, ce rêve réalisé, ces moments de pur bonheur je les dois à la gentillesse de deux personnes formidables : Marie-Claude et son ami Christian aérostier auxquelles je dis à bientôt pour "ma suite" à moi...