Metz / La rue des Trinitaires dans les Hauts de Sainte-Croix...

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Ce n'est que depuis 1561 que cette rue est dénommée rue des Trinitaires...

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Lorsque j'ai besoin d'une précision au sujet de ma déclaration fiscale, c'est à la Cité Administrative que je sais devoir me rendre pour pouvoir la trouver...

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Lorsque j'y suis, je sais n'être qu'à quelques mètres des rues médiévales du quartier des Hauts de Sainte-Croix...

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Lorsqu'en plus j'y suis en même temps que le soleil, je me dis que c'est un moment idéal pour y faire des photos...

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La semaine dernière je n'ai eu qu'une décision à prendre, celle de tourner le dos à la place Sainte-Croix.

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Ce que j'ai fait. Cela me permet de vous faire entrer dans cette rue de moins de 100 mètres de longueur.

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De ne vous promener qu'entre l'église des Trinitaires et les arbres de la place Jeanne d'Arc.

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Construite en 1720, achevée qu'en 1787, désacralisée depuis 1945, elle est toujours de style baroque et en pierre de Jaumont.

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Elle possède des caractéristiques architecturales remarquables. A ce titre elle est classée monument historique depuis 1973.

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J'imagine que vous avait compris qu'elle sert de lieu culturel. Nous sommes très très nombreux à aimer y découvrir les nombreuses expositions qui y sont présentées chaque année.

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L'église Sainte-Ségolène n'est pas dans la rue des Trinitaires. Elle la domine depuis la place Jeanne d'Arc.

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Par contre, ces immeubles séculaires eux le sont.

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D'autres, conservent assez de leur identité pour les situer, sans problèmes, datant du Moyen-âge. 

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Ce grandiose portail, celui de l'Hôtel Saint-Livier, l'édifice civil le plus ancien de la ville construit au 12^e siècle, nous avons l'opportunité et le plaisir de pouvoir le franchir très facilement.  

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C'est l'adresse du Fond Régional d'Art Contemporain (FRAC) de Lorraine.

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De très nombreuses expositions permettent de le visiter. Il était en même temps un château défensif et une résidence de luxe au moment de sa construction. 

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Bien entendu, comme dans toutes les rues de Metz, des bâtiments plus récents existent dans cette rue. 

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J'espère ne pas me tromper en vous précisant que celui-ci est 18^e siècle. 

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Son portail est lui aussi monumental. C'est un immeuble d'habitation.

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La haute tour-donjon crénelée de Saint-Livier ne permet aucun doute sur l’influence italienne, exercée par les banquiers lombards, sur l’architecture civile médiévale de la ville à partir du 13^e siècle. 

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La cathédrale n'est qu'à 300 mètres (à pied) de la rue des Trinitaires. 

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Il y a "quelques années" c'était une section de la voie romaine, celle qui permettait de rejoindre le nord de l'empire romain à partir de Rome.

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Cet autre magnifique portail permet lui de découvrir quelques autres trésors de ce quartier.

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C'est celui du Foyer Carrefour de la rue des Trinitaires. 

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Ce n'est qu'un exemple de ce qui se cache derrière la façade sur la rue.

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Sur cette photo il y a plus de la moitié de la rue qui est visible. Je confirme : pas longue mais d'une richesse architecturale étonnante, passionnante et même sans le soleil... 

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Je précise cela car il n'y a plus eu de soleil lorsque j'étais en train d'arriver à proximité de la place Jeanne d'Arc.

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Je me suis retourné sur la rue pour vous montrer ce sublime trompe œil. 

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C'est depuis la place Jeanne d'Arc que j'ai fait cette photo.

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Puis, sans changer d'endroit, celle-ci. 

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Le soleil est revenu (bien entendu) lorsque j'étais au pied de la chapelle (elle aussi désacralisée) des jésuites du Caveau des Trinitaires. 

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Cette vaste salle a été créée par une dalle aménagée dans le volume de la chapelle. On s'y retrouve sous la nef. Cette photo, je l'ai prise pendant une Nuit Blanche. 

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Il y a aussi l'un des superbes cloîtres de Metz aux Trinitaires. L'ensemble de ce site est dédié à la musique. 

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Voici la chapelle photographiée depuis l'une des portes de l'église Sainte-Ségolène. Cette photo ne date pas de la semaine dernière... Si vous deviez ne pas ma croire, je vous invite à remarquer que les arbres ne sont pas feuillus et celle lumière n'est qu'hivernale.