Metz / La fresque du Café Paradisio au Jardin des Tanneurs...

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C'est en le traversant la semaine dernière que j'ai fait ces nouvelles photos du Jardin des Tanneurs.

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J'ai pris conscience que je devais pouvoir en montrer son caractère unique à Metz : il est en terrasses.

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En terrasses :  il est possible de le traverser de haut en bas où de bas en haut... par ces escaliers.

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En moins de cinq minutes ils permettent de passer (sportivement) de la rue des Tanneurs à celle des Murs. 

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Ce jardin a été aménagé entre 1979 et 1984. D'importants travaux de consolidation de la colline ont été nécessaires pour l'y installer.

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Il est possible d'y rentrer où d'en sortir par la rue Saulnerie sous la rue des Murs qui  passe, à cet endroit, au dessus des anciens entrepôts de sel. 

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Sa flore est méditerranéenne. Ces palmiers y prospèrent protégés par la colline. 

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Cette allée transversale, elle porte le nom de rue du Paradis, offre de très beaux points de vue sur les parties les plus pentues du jardin. 

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Je me suis cette fois appliqué à trouver des cadrages pour vous permettre de le constater.

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En bas, de l'autre côté de la rue des Tanneurs, commence le quartier d'Outre-Seille, celui où nous habitons. Lui a été urbanisé au Moyen-âge.

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Sans quitter l'allée rue du Paradis, j'ai fait cette photo de l'amphithéâtre accroché lui aussi à la colline.

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Les diverses allées sont toutes très agréables. La Tour Coislin, au dessus de la place Saint-Louis, n'est qu'à 400 mètres. 

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Je ne sais pas pour vous... Pour moi, la présence de la police municipale, me procure un sentiment de sécurité. Ces patrouilles à VTT, visibles dans toute la ville, y contribuent. 

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Je ne suis pas en train de vous montrer les pentes de l'Anapurna, juste celles de la colline Sainte-Croix. 

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On n'y voit jamais de sherpas, mais il arrive que des personnes y soient très chargées. L'hyper centre-ville commercial est à une centaine de mètres. 

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L'amphithéâtre, très prisé par les élèves du conservatoire régional et t aussi par les plus grands élèves de la Miséricorde, accueille diverses manifestations. 

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C'est par l'allée rue du Paradis que je suis sorti du jardin. Impossible de se tromper, il suffit d'aller tout droit pour se retrouver devant l’imposant "Conservatoire à rayonnement régional de Metz Métropole Gabriel-Pierné" (musique, dance et théâtre).

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C'est entre l'immeuble contemporain de la cité scolaire de la Miséricorde et celui d'à côté que j'ai photographié l'une des deux tours de l'église Sainte-Ségolène, distante d'une centaine de mètres. 

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Il n'y a plus, rue du Paradis, que deux immeubles : le conservatoire au n° 2 et celui du Café Paradisio en face au n° 3.

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Il a été ouvert, après un changement de propriétaire, il y a quelques mois seulement. Cette incroyable fresque nous ne l'avons découverte qu'il y a quelques semaines. 

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Vous ne serez pas étonné que je vous précise la cuisine qui y est proposée est celle d'une restauration rapide typique de la région de Venise. 

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C'est à une trentaine de mètres de ce très sympathique établissement que je me suis retrouvé, en haut de la rue du Tombois, là où j'étais attendu par une amie.

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C'est en me rendant au pied de son immeuble que j'ai pu faire cette photo des immeubles allemands du Boulevard Paixhans. Ils datent de l'annexion de Metz par l'empire Allemand (1987-1918).

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C'est depuis la fenêtre de son salon que j'ai pris quelques photos. Les locataires de la Tour de Saint-Ferroy bénéficient d'un panorama exceptionnel au dessus de cette partie de la ville. 

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Une délicieuses tarte aux pommes (ce que c'est délicieux lorsque le sucre est caramélisé et que la migaine (*) est parfaite !), un excellent café, la compagnie de deux amies auront été les ingrédients d'un nouveau café klatsch (**) plein d'amitié. 

(*) Je compte sur mes visiteuses-amies messines pour vous éclairer sur ce qu'est la "migaine". Je sais bien que des visiteurs-amis et messins en sont eux aussi capables...

(**) Vous ne savez pas ou toujours pas ce que c'est : cliquez alors sur ce mot et allez voir, directement ou pas, à la fin de l'article caché sous ce lien...

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La tarte était vraiment trop bonne pour que je prenne beaucoup de temps pour faire des photos. Je n'ai pas résisté pourtant à faire celle-ci de la toiture de l'église Sainte-Ségolène.

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C'est au retour, le Jardin des Tanneurs est le chemin le plus direct entre chez mon amie et la place Mazelle, que j'ai photographié de plus près la fresque du Paradisio.

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Je peux vous confirmer, grâce à ces gros plans que c'est bien là Venise.

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Il n'y a pas de gondoles, ni sur la Moselle, ni sur la Seille. 

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Autre indice indiscutable : ce palais n'est pas en pierre jaune de Jaumont... 

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Si c'est depuis la partie la plus haute du jardin qu'il est possible d'admirer ce panorama au dessus des toits de notre quartier d'Outre-Seille...

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C'est depuis la rue des Tanneurs que le jardin se révèle et dans sa superficie et dans sa hauteur et dans sa végétation méditerranéenne si accueillante et dépaysante.  

Il n'a a qu'un kilomètre entre chez nous et chez mon amie là-haut sur la colline de Sainte-Croix. Je peux m'y rendre par bien des itinéraires différents. Celui-ci, parce qu'il me permet de traverser ce jardin suspendu est mon préféré...