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Ce 21 janvier c'était celui de mercredi dernier.J'ai partagé, samedi dans un article, le pourquoi, le comment, le avec qui je me suis retrouvé en promenade. Elle s'est terminée devant l'hôtel de ville, place d'Armes.
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Pendant nos adieux (pas déchirants, mais joyeux) j'ai pris conscience qu'il y avait très peu de monde dans les rues autour de la cathédrale.
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J'ai su alors que j'allais pouvoir faire quelques "tableaux" sans avoir trop trop de personnages à "peindre". Pas que je n'aime pas leur présence, mais il aurait été cruel de leur demander de tenir la pause par un froid glacial.
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Avant de transformer mon Lumix en chevalet de peintre, c'est dans ce bar restaurant que je me suis réchauffé en compagnie de Christine et Gérard. Tous les deux sont aussi passionnés que je ne le suis par Metz et sont d'excellents photographes.
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"ICI" est l'un des nombreux restaurants de la rue du Faisan. J'ai réussi à croquer ce tableau en moins de vingt secondes.
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Pour celui du haut de cette rue, je l'ai fait aussi rapidement. Je me suis débrouillé pour n'avoir qu'une silhouette à "peindre".
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Je me suis engagé dans la rue du Palais et je ne m'y suis attardé que le temps de faire celui-ci.
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Très vite, je me suis retrouvé dans la rue Ambroise Thomas où, attiré par les couleurs des devantures des boutiques, j'ai pris le temps de faire ce "tableau".
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C'est pour celui-ci que je suis allé dans cette rue. Je lui ai consacré plus de temps pour saisir la tonalité de la pierre jaune, cette de Jaumont, magnifiée par cette merveilleuse mise en lumière.
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J'aime "peindre" les vitrines les plus originales. Par très grand froid je réussis à me limiter à une seule...
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Je n'ai pris que le temps de faire ce "tableau" du Marché Couvert au pied de la cathédrale.
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J'avais vu juste... J'ai été le seul "peintre" dans la rue Paul Bezanson. C'est aussi très rapidement que j'ai réussi à faire cet autre "tableau" avec cet immeuble si bien mis en valeur.
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Je savais que j'allais devoir passer du temps sur la place Saint-Jacques.
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Elle n'est aussi peu fréquentée que lorsqu'il fait très froid. J'y ai réalisé cette série de "tableaux" .
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Je n'ai pas eu à "peindre" les milliers de consommateurs qui y prennent place lorsque les terrasses des bars, des restaurants et cafés y sont installés.
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Je n'ai pas eu à y "peindre" la foule qui la traverse habituellement.
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Pouvoir "peindre" le pied de la statue de la Vierge sans que des enfants y jouent, cela n'est possible que lorsque le froid est un allié.
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J'ai bien aimé faire ce "tableau".
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Comme celui-ci avec à gauche de l'arbre (près d'une cheminée) la pointe de la tour de la cathédrale.
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Pour ce "tableau" je me suis appliqué. Je voulais cette balustrade en pierre de Jaumont au premier plan.
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Je suis passé très vite de la place à la rue Fabert. Mais j'ai pris le temps de "peindre" ce vélo devant l'une des entrées du vaste centre commercial Saint-Jacques.
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C'est son entrée principale. Elle vient d'être entièrement réaménagée. Pour ne pas passer trop de temps à faire ce "tableau", j'ai attendu quelques minutes pour avoir un minimum de personnages à "peindre".
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C'est l'accès principal à une centaine de boutiques et de magasins réparties sur trois niveaux. On y trouve aussi les trois immenses niveaux d'un parking souterrain et un hôtel quatre étoiles (Novotel).
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La rue de la Tête d'Or. Elle mérite elle aussi que je m'y sois attardé pour y faire plusieurs "tableaux".
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Lorsque je "peins" je fais comme lorsque je photographie, je suis attiré par les vitrines...
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La rue de la Tête d'Or n'en manque pas. C'est l'une des plus commerçantes. J'ai aussi fait ce "tableau".
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Ce "tableau" montre l'un des autres accès du Centre Saint-Jacques. J'y ai "mis" le Novotel.
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C'est par la rue de la Chèvre que j'ai continué à "peindre" les rues du centre-ville.
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Je n'ai pas hésité à prendre le temps (il faisait pourtant de plus en plus froid) de faire ce "tableau" de l'entrée de l'église Notre-Dame, elle aussi construite en pierre de Jaumont.
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Tout près d'elle j'ai très vite, en arrivant En Chaplerue, fait ce "tableau" de la minuscule place Coquotte.
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J'ai, dans la rue du Grand Cerf fait encore ce "tableau" d'un bar très branché mais là très glacé...
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Puis, gourmandise oblige, la mienne, j'ai "peint" la vitrine d'un des chocolatiers du centre-ville.
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Même les arcades de la Place Saint-Louis étaient désertes. Je n'ai eu aucun personnage à "peindre" pour ce "tableau", ce que j'aurais pu déjà faire au Moyen-âge...
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Ce "tableau" des arcades, sans cent personnages, ce n'est aussi que par un froid très vif que je pouvais le "peindre". J'ai pris le temps de le faire.
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En rentrant dans la rue Royale j'ai pris aussi le temps de faire celui-ci.
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Place du Quarteau, je me suis attardé pour faire celui-ci.
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J'aime beaucoup cet endroit mais il est toujours très très très fréquenté. Il ne l'était pas, j'ai réussi à faire ce "tableau" de la rue Royale et de la place Saint-Louis.
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Sans les voitures, sans les passants, sans les vélos j'ai pu très vite faire ce "tableau" de la place du Quarteau, l'une des très agréables du centre-ville.
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Notre rue était mercredi dernier, elle l'est toujours, derrière les immeuble au fond de ce "tableau".
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Juste avant de rentrer dans Outre-Seille, notre quartier, j'ai fait le dernier "tableau" de cette série. La place du Pont-à-Seille m'amuse toujours avec ses mats de lumière.
Je suis rentré glacé mais très heureux de cette promenade inattendue, que j'ai improvisée à la suite de la rencontre de l'après-midi.
Elle m'a permis de partager avec vous, grâce à ces "tableaux" l'ambiance d'un début de soirée lorsqu'en janvier il y fait très très froid dans le centre-ville.