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Mireille du Sablon et moi aimons aller au "Botanique" de Metz. Pour être franc, des milliers de personnes sont ravis le découvrir, aiment le connaître et le fréquenter pour y profiter d'une atmosphère particulière voire exceptionnelle.
Cette première photo, comme toutes celles dans ce format horizontal, peut être vue en GRAND.
C'est l'opportunité de voir autrement ce jardin extraordinaire et de constater la netteté des photos.
Le retour à l'article se fait par un clic à côté de la photo ouverte.
Il a été acquis par la Ville de Metz en 1866. Sa situation est insolite. Ses 4,40 hectares sont enclavés dans la ville de Montigny-lès-Metz.
Pour être plus précis après cette "révélation", les immeubles en face du Jardin Botanique sont eux à Metz. Ce bronze met en scène un combat entre des aigles et un cerf. Il est très semblable à celui qui se trouve, depuis 1863, dans Central Park qui n'est pas "encore" un parc messin mais new-yorkais.
Devant les serres je vous invite à ne pas confondre Mireille du Sablon avec l'une des sculptures des Simonnet. Je peux vous aider à ne pas les confondre. Cherchez qui dirige son APN vers moi...
J'ai promis à Mireille de ne rien écrire qui puisse vous laisser penser que c'est elle le modèle de cette très belle sculpture. Là je me rends compte que je me dois de vous préciser qu'il n'est pas question de celle de droite qui se reflète à gauche...
Nous nous sommes promenés dans les serres.
Elles ont été construites en 1861 à l'occasion d'une exposition universelle qui a eu lieu à Metz.
Un ferronnier messin, Monsieur Pantz est le créateur de ces serres. Je n'arrive pas à trouver d'autres détails sur cet homme, pas même son prénom.
Important : depuis la publication de cet article je vous invite à aller lire dans les commentaires ceux déposés par Claude Buttner le président de l'association "Sites et Monuments de Moselle". Vous y trouverez des informations très intéressantes sur Dominique Plantz. Merci Monsieur Buttner.
Si vous ne le répétez à personne, je peux vous dire que nous ne sous sommes pas attardés dans cette serre tropicale, voire équatoriale. Nous n'avons pas la même résistance à la chaleur suffocante de la forêt amazonienne (un jour d'extrême chaleur) que ses populations.
J'ai été obligé pour faire ces quelques photos d'essuyer plusieurs fois la buée qui se formait sur la lentille de mon objectif. Je précise de laquelle je vous parle à cause des lentilles d'eau dans ce bassin.
C'est en suffocant que j'ai réussi à atteindre le bout de la serre.
Sure le retour je n'ai eu à bousculer personne pour aller le plus vite possible.
Moite, accablée de chaleur j'ai eu le temps de prévenir Mireille (encore plus couverte que moi) de l'infernal climat de ce bout d'Amazonie.
Je peux, je le dois, il le faut, vous dire que son séjour dans la serre a duré moins de 53 secondes. Pourquoi 53 : c'est notre année de naissance. A 57 secondes, je pouvais vous répondre que c'est le département de la Moselle c'est le 57.
Ces plantes sont installées dans le hall. L'endroit n'est pas surchauffé. Nous y avons pris, avec un évident plaisir, le temps de faire ces quelques photos.
Nous l'avons fait sans déranger Madame ou Monsieur Tortue Mireillja. Mireille n'a pas pensé à me donner la recette de la soupe de tortue aux lentilles d'eau.
Si vous pensez que c'est le magnifique hall des serres : vous avez raison !
La serre des plantes grasse et des cactées , grâce au passage d'un nuage, a été agréable à visiter.
Mireille du Sablon, authentique lorraine en a profité pour vérifier la devise de notre région "Qui s'y frotte s'y pique".
Là je lui ai dit :
- Mireille, "chi va piano va sano" !
Je suis en mesure de vous traduire ma recommandation par "petite Mireille, ce n'est qu'en allant lentement que tu iras sûrement".
Et ça a marché !
Tout de suite elle a levé le pied !
Les serres et le hall sont toujours parfaitement briqués.
Je te l'ai promis Mireille et pour tenir ma promesse je ne vais pas écrire que tu as eu tellement chaud dans les serres que tu .'.. .... . ... aise quelques minutes.
Nous avons décidé de repartir au centre-ville en passant le long du canal. Nous sommes sortis par l'arrière du Botanique pour y accéder par ce parc de la ville de Montigny-lès-Metz.
Nous savions que nous pourrions parcourir le kilomètre et demi qui nous séparait de l'Esplanade à côté de la place la République sans quitter la verdure.
Ce parc tout en longueur est la plus belle façon de passer du Botanique aux berges du canal.
De le faire en moins de cinq minutes.
Cette photo du canal vous pouvez la voir en GRAND, les deux prochaines aussi.
Nous nous sommes dirigés du côté du centre-ville, celui où sont amarrées des péniches transformées en habitation.
Nous avons discuté avec ce couple. Ils ont des cousins à Amiens.
Il m'est impossible de longer ces péniches sans en faire des photos.
C'est toujours avec envie que j'imagine la vie sur une péniche.
Tant que vous ne faites qu'imaginer, me dit ma banquière, nous resterons amis !
Je demande toujours si c'est une chambre d'amis. Tout du moins pendant la belle saison.
La péniche Alclair fait chambres d'hôtes...
Il me semble qu'une future terrasse couverte y soit en construction. Au fond c'est le stade de foot de Metz dont l'équipe vient de remonter en première division et les tarifs des abonnements aussi.
Nous avons traversé l’exposition 2014 de l'Art dans les Jardins. Avec Mireille du Sablon sur la photo les arbres et les œuvres d'Edith Meusnier avaient l'air dix fois plus grands et plus beaux.
Puis nous sommes arrivés sur l'Esplanade.
Nous n'avons fait que la traverser pour passer à notre traditionnelle voire incontournable séquence terrasse-boisson-dégustation-discussion-détente.
J'ai, même pressé, pensé à photographier le Carrosse de Veilhan, cette fois sous le soleil. Lui aussi peut être vu en très GRAND.