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1.
- Tu as vu le temps, c'est pas la Pentecôte, c'est la Toussaint !
- C'est sûr que nous allons pouvoir économiser nos lunettes de Soleil !
- On peut quand même faire quelque chose !
- Si tu acceptes que nous allions à Pompidou, oui !
- Justement je me suis dit que c'était le temps parfait pour y aller !
2.
C'est lorsque nous y étions que je me suis rendu compte, en regardant vers l'arrière de la gare, juste au coin de l'immeuble à droite, que le talus était rouge...
3.
Je n'ai rien dit à Evelyne, pour ne pas qu'elle m'y traîne immédiatement, de force, quasiment manu militari. Nous sommes ressortis du Centre Pompidou-Metz (CPM) après avoir découvert une exposition et revu avec plaisir les autres.
4.
Nous nous sommes promenés autour du CPM. L'air de rien, je nous dirigeais vers la gare.
5. Je n'ai pas pu m'empêcher de prendre cette photo juste avant d'y arriver. Les nuages sont réels...
6.
Très vite nous nous sommes retrouvée devant une "vague" avec pour écume des millions de coquelicots.
7.
Ne suis-je pas gentil de m'être rappelé, depuis la galerie du CPM, que ce sont les fleurs préférées d'Evelyne ?
8.
Déjà lorsqu'elle n'en voit qu'une dizaine elle craque complètement...
9.
Je vous laisse imaginer dans quel état émotionnel l'aura mis cet océan de coquelicots.
10.
Il y en avait là des millions, que dis-je ? Des Milliards...
11.
J'en conviens, je ne suis pas allé jusqu'à les planter là pour la "scotcher" ! Je n'ai que le mérite de savoir que le long du talus de la gare ils s'y comptent par "milliards"...
12.
Je vous prie d'intégrer que ces gouttelettes ne sont pas de la rosée matinale... Il était alors 17 heures.
13.
C'est juste, l'air encore de rien, de vous faire savoir qu'il pleuvioter de temps à autre...
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Une fois de plus nous avons du laisser passer les plus épais des nuages, ceux qui soudainement vous font presque de la nuit alors que vous faites des photos...
15.
Il faisait là bien moins bon que dans les galeries du CPM, mais cette exposition éphémère méritait que nous l'admirions et la photographions.
16.
Si nous n'avions pas garé la voiture d'Evelyne de l'autre côté du CPM, c'est par ce passage que nous serions passés sous la gare pour nous retrouver dans le quartier Impérial.
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Bien entendu, il a suffit que nous quittions cette sublime expo ROUGE pour que le soleil réapparaisse !
18.
Pour rejoindre la voiture, nous sommes passés par le Parvis de Droits de l'Homme face au CPM. C'est sur cette façade vitrée que j'ai pu faire le reflet de la photo n° 5.
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Après les milliards de coquelicots rouges, je me suis débrouillé (l'air toujours de rien) pour faire traverser à Evelyne les 10 000 rosiers blancs qui y sont plantés. Leur parfum embaume tout le parvis.
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Je surveillais en même temps le temps au dessus du CPM. L'expo "Nuages tenaces de Mai" s'y tenait en dehors de ses galeries.
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Deux roses blanches. Je vous laisse deviner qui s'est mis à fredonner "Les roses blanches". Indice : ce n'est pas Evelyne !
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C'est au bout de cet immeuble de 170 mètres de long (la Hall Michelin) que se trouve la verrière de la photo n° 18, celle où j'ai fait la photo n° 5.
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Nous étions toujours en train de repartir vers la voiture d'Evelyne garée le long du Parc de la Seille.
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Nous nous y sommes aventurés sur quelques centaines de mètres. Incroyable : il y avait là aussi en cours l’exposition "Nuages tenaces de Mai".
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C'est toujours l'air de rien... que j'ai pressé les pas d'Evelyne et les miens. Nous sommes montés dans sa voiture au moment d'un grand coup de vent... Il était temps !
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C'est l'exposition que nous avons vue. Il est probable que je lui consacre un article d'ici quelques jours. D'ici là, j'espère que mai finira moins la tête dans des nuages gris et sombres que jusqu'à maintenant. Ce serait bien que juin ne lui ressemble pas vraiment.