Metz / Dans le fort de Bellecroix...

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Nous avons croisé François, passionné par les fortifications de Bellecroix, pendant les dernières journées du Patrimoine. 

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Nous l'avons retrouvé à l’entrée du fort devant le mémorial en l'honneur de la 95^e Division d'Infanterie Américaine qui y subit de très lourdes pertes en novembre 1944, à la libération de Metz.

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Si je m'étais déjà promené dans ces anciennes fortifications, aucun de mes amis ne connaissait ce site.

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Cette photo vous montre que nous étions près du centre-ville, sur le Boulevard de Trêves.

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Grâce à cet escalier nous avons pu, François et moi, faire découvrir aux "touristes" un beau point de vue.

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Je, vous le savez, "traîne" en arrière quand je suis en compagnie d'amis, pour les photographier in situ...

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Il m'arrive aussi d'être en avance, seul ou pas,  sur "le groupe" lorsque je le décide...

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Je m'amuse autant d'être en avance que d'être en retard. Autour de moi, plus personne ne s'en étonne. 

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Depuis le belvédère au bord des fortifications le "groupe" a découvert ce sublime panorama. 

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Les premiers immeubles appartiennent à mon quartier, celui d'Outre-Seille. Depuis le 13^e siècle ils n'ont jamais caché la cathédrale Saint-Etienne.  

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Le Centre Pompidou-Metz a aussi droit à une trouée aménagée dans la végétation forestière.

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En redescendant par l'escalier en bois je me suis photographié en ombre messine. 

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Nous avions à mesurer, grâce aux connaissances de François, l’importance de ce site défensif. 

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Les filles n'étaient pas dans les ronces mais en train de découvrir la signatures d'un des constructeurs des remparts.

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L'une des plus surprenantes et inattendues informations données par François est visible sur cette photo.

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Le seul matériaux de construction de ces nombreux ouvrages militaires est la pierre jaune de Jaumont.

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Aucun de nous ne pouvait l'avoir supposé à la vue de la couleur grise de ces murs construits entre 1734 et 1740. 

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Jean-Louis le téméraire est le seul à en avoir testé la solidité. Il est sain et sauf.

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Ce qui est aujourd'hui cette magnifique promenade entre le centre-ville et le quartier de Bellecroix...

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N'est qu'une partie (la moitié) des fortifications construites sous la direction de l'ingénieur militaire Louis de Cormontaigne.

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Des bastions, des courtines, des demi-lunes et une lunette sont encore, lorsqu'un passionné comme l'est François vous les montre, parfaitement visibles. 

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Nous nous sommes promenés dans une partie des 3 kilomètres de fossés secs, celle qui existe encore. Cette extraordinaire forêt n'existait pas tant que ces fortifications ont assuré la protection de la ville.

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François nous a expliqué l’intérêt stratégique des 4,6 kilomètres de galeries de contre-mine souterraines.

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Plus tard, nous nous sommes retrouvés devant la Porte de Sarrelouis, élevée en 1680 par Vauban . 

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Classée monument historique, elle, elle ne cache pas avoir été construite en pierre jaune de Jaumont.

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C'est l'une des entrées et sorties du quartier de Bellecroix. Il a été bâti sur la colline à partir du milieu des années 1950 en privilégiant un habitat collectif social.

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Ces vestiges électriques sont visibles entre la Rampe de Bellecroix et le premier bâtiment militaire du Boulevard de Trêves. 

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Ce bâtiment militaire, encore en devenir d'une requalification, nous nous en sommes approchés... 

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Pour aller jusqu'à y entrer afin d'en découvrir un tout petit aperçu de son architecture militaire allemande.

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Nous nous sommes contentés d'y faire quelques pas pour rapporter ces quelques photos.

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Je n'étais alors qu'à une dizaine de mètres d'Evelyne, de Mireille du Sablon, de Sylvie et de François.

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Nous y avons trouvé des traces de la présence de personnes qui y trouvent un abri aussi précaire que vital pour elles...

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Je sais avoir lu, beaucoup de choses sur différents projets le concernant. 

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Il est certain qu'un jour... Ce bâti militaire, les apparences sont trompeuses, est d'excellente qualité architecturale. 

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Nous nous sommes attardés quelques minutes, en compagnie de François Peiffert , à la terrasse de l'1tendance (Brasserie et restaurant) avant de nous quitter en nous promettant de nous revoir. François a un profil sur Facebook.

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Un autre patrimoine militaire allemand est à proximité immédiate du Boulevard de Trêves.

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Pour le découvrir il suffit de vous promener derrière la Porte des Allemands, le long des remparts.

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Je ne vais pas vous cacher qu'il est actuellement et depuis des dizaines d'années muré pour le préserver.

 

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Ces entrepôts frigorifiques militaires, à la façade assez austère en pierre jaune de Jaumont, cachent... 

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Depuis 1896, il répondait aux besoins de la garnison allemande de Metz, 1 300 mètres de galeries et de couloirs y sont encastres dans un talus orienté nord-nord-ouest et très arboré afin de...

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Créer les conditions propices à la conservation des denrées nécessaires à l'armée.  

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Je peux vous proposer avec le lien que j'ai glissé sous cette photo de découvrir le Boulevard de Trêves après la réhabilitation d'une immense partie de ce site. 

Le bâtiment au centre est celui des photos 28 à 34.