Metz / Autour du mat du Centre Pompidou-Metz...

1.

Il y a quelques jours, je me suis retrouvé là, pour me rendre au Parc de la Seille. Il était 9h45. Toute affaire cessante, je venais de sortir pour profiter du SOLEIL. Il était exceptionnel, inespéré dans une matinée pourtant glaciale, très. 

2.

A 10h00 j'étais près de la gare routière, le long du skatepark à un peu plus de 400 mètres de notre appartement. et à 300 mètres du Centre Pompidou-Metz (CPM). J'étais surtout au  soleil : bonheur... 

3.

10h04 : je n'ai plus été indifférent à la présence de ces nombreux nuages au dessus de la place Camille Hocquard.  J'ai positivé. Je me suis convaincu qu'ils ne faisaient que passer. Cette nouvelle allée est l'un des accès au Parc de la Seille. 

4.

10h05 : ce n'est pas, au centre de cette photo, la lune ! C'était MON soleil... J'ai positivé. Des nuages ça passent !  

5.

10h07 : comme ils passaient bien moins vite que je le voulais, j'ai scruté de ciel autour de moi. C'est en le faisant que j'ai aperçu, dans la grisaille, des silhouettes au pied et sur le mat du CPM. 

6.

10h07 : j'ai poussé le zoom de Lumix à presque son maximum. Ces trois techniciens étaient quand même à plus de 300 mètres de nous (lui et moi). 

7.

10h07 : il a a eu une fenêtre de soleil !  Elle m'a rendu la certitude que les nuages étaient en train de passer. Plus de lumière, j'ai alors usé des dernières ressources du zoom de Lumix. Puis je me suis dirigé raisonnablement optimiste vers le parc. 

8.

10h12 : c'est l'heure à laquelle j'y étais au bord le la Seille. Elle était haute. Parc que de l'eau même boueuse et glaciale m'attire toujours, c'était mon choix que celui de passer par sa berge. 

9.

10h14 : le Parc de la Seille est aménagé pour ne pas souffrir des crues de la rivière. Ce dispositif ne "mouille" que les berges et leurs abords immédiats. 

10h14 : voici ce qu'était devenue l'allée sur laquelle je cheminais. Je ne vous imagine pas espérer que j'y sois resté. J'ai renoncé à passer sous la passerelle du Graoully. J'ai renoncé à escalader le talus à droite. J'ai photographié ce qu'était devenu "MON" ciel. 

11.

10h15 : j'étais en train de revenir sur mes pas. Le talus très glissant, maintenant sur ma gauche, m'a bien aidé à rester sur cette partie de l'allée encore sèche. 

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10:19 : j'étais alors juste au dessus de l'endroit où je venais de décider de rebrousser chemin. Je n'étais plus sous le soleil. J'étais enveloppé de grisaille. J'ai positivé. 

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10h22 : les techniciens étaient toujours au dessus de CPM. J'ai eu froid pour eux. Il y avait du vent. 

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10h22 : debout à 250 mètres d'eux j'ai eu besoin que Lumix zoome. Il a accepté. 

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10:22 : il a accepté de zoomer encore plus. 

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10h23 : ils ne faisaient que leur "boulot". J'étais moi scotché. Le ciel lui était totalement gris. 

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10h24 : il y avait au dessus de la plus haute galerie un troisième technicien. Il est certain qu'il surveillait le bon déroulement de l'intervention en cours. 

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10:25 :  je me suis rappelé que j'étais venu dans le parc pour faire des photos. Je me suis décidé à avancer même si ses 20 étaient particulièrement froids. 

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10h26 : j'étais en train de m'éloigner lorsque j'ai fait cette photo. 

20.

10h27 : pour la faire, je n'ai eu qu'à faire zoomer Lumix une nouvelle fois. Si vous voulez bien être attentive ou attentif quelques secondes, immanquablement vous constaterez que le 4 février dernier il faisait très froid. En effet je ne saupoudre pas de sucre glace les pelouses du parc...

21.

10h30 : les deux techniciens s'étaient rejoints. Je ne sais pas à quelle hauteur ils pouvaient alors être.

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10h30 : ce que je peux affirmer c'est que le mat à une hauteur de 77 mètres. Pourquoi 77 mètres ?  C'est un clin d’œil à l'année de l'inauguration du Centre Pompidou de Paris. 

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10h32 : l'allée au niveau de la Seille était partout inondée. Je n'y suis pas allé. Je suis resté dans celles au dessus. 

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10h35 : j'avais un mouchoir à jeter dans une poubelle. Il est resté dans ma poche. 

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10h35 : c'est quand même très agréable qu'une immense partie des sept kilomètres des allées du parc ne soit pas en zone inondable. 

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10h37 : j'étais au sec lorsque j'ai pris cette photo. Cet escalier, habituellement plus long, me permet de vous montrer que pour aller sur les berges de la Seille il faut descendre. 

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10h37 : j'étais alors à près de 500 mètres du CPM. C'est à ce moment que j'ai pris la décision d'aller voir de plus près cette intervention sur son mat.

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10h41 : une photo. Elle vous donne une idée de l'endroit où se trouvait "MON" soleil.. Je l'ai soupçonné de n'avoir décidé de n'ensoleiller que Nancy, à une cinquantaine de kilomètres au sud de Metz. 

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10h46 : c'est sous la plus timide des luminosités que je suis arrivé à l'arrière du CPM.

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10h48 : j'ai zoomé. J'ai déploré qu'il fasse sombre. J'ai espéré une fenêtre de soleil.

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10h48 : il n'y en a pas eu. Il faisait assez clair pour qu'un des deux techniciens m'aperçoive. 

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10h49 : j'ai eu droit à un sympathique geste. J'y ai répondu. Je savais alors que ces photos seraient trop sombres.

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10h50 : je ne vais jamais savoir qu'elle était la nature de cette intervention. Malgré l'absence de soleil je suis très heureux d'avoir pu en faire ces quelques photos. 

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10h52 : je venais de me retourner lorsque j'ai vu ce coin de ciel bleu apparaître au dessus du chantier du futur centre commercial Muse. 

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10h54 : je suis passé devant le CPM pour me diriger vers le centre-ville. J'avais des courses à faire. 

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10h56 : lorsque j'ai vu du bleu dans le ciel j'ai pensé : à coup sûr je vais rentrer sous le soleil. 

Dix minutes plus tard, Metz était à nouveau ensoleillée. J'ai apprécié. Je suis allé faire faire mes courses avec les lunettes de soleil sur le nez. 

Pendant  toute cette journée, il n'y a pas eu, plus eu de soleil UNIQUEMENT lorsque j'étais dans le parc de la Seille. Ce que je regrette surtout c'est qu'il n'y en avait pas lorsque je photographiais l'intervention sur le mat du CPM.