Metz / Autour de la chapelle des Petits-Carmes il y a...

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Mireille du Sablon, Evelyne de Queuleu et moi ne sommes pas arrivés "incognito" place d'Armes...

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Lors d’événements extraordinaires... impossible est devenu messin de ne pas y rencontrer des amis(es). 

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En cliquant sur cette photo vous saurez et surtout vous entendrez ce qui nous a donné envie d'être là samedi dernier. Pour revenir à l'article il vous suffira de fermer la page ouverte.

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Nous n'avions pas (cette fois) rendez-vous..Pourtant aucun de nous n'a été surpris(e) de cette rencontre au pied des 88 mètres de hauteur de la Tour de la Mutte. 

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Dominique Gros, le Maire de Metz, a satisfait aux exigences de sa fonction à quelques mètres de nous.

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Nous, devant l'Hôtel de Ville, étions "vent debout" sous un océan de nuages heureusement frangés de soleil...  

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Le vent n'a pas gâché la "première" de la Mutte depuis 1919. C'est très très émus(es) que nous l'avons écoutée, presque religieusement...

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Nous sommes restés ensemble pour suivre les officiels au Musée de la Cour d'Or pour y découvrir...

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Dans la chapelle des Petits-Carmes une exposition qui célèbre la restauration de la Tour de la Mutte et de ses cloches, après un chantier commencé à l'automne 2009.

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Je vous laisse découvrir son volume, son mobilier actuel son style architectural. Elle a été construite entre 1670 et 1675 dans le couvent des Carmes.

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La Révolution de 1789 a privé en 1790 l'ordre des Carmes Déchaux de ses biens après sa dissolution.

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C'est en 1803 que la chapelle transformée devient la bibliothèque municipale de la ville. 

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Elle a cessé de l'être en 1977 lors de l'inauguration de la médiathèque de Metz dans le quartier Pontiffroy.

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Vous détenez maintenant l'explication de la présence de ces kilomètres de rayonnages.

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Nous avons admiré les œuvres des fondeurs de bronze de Lorraine et d'ailleurs. 

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Mais, subjugué par l'ancienne bibliothèque je peux avouer, reconnaître et assumer l'avoir scrutée de près.

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Je dois aussi avouer que j'ai découvert cette "chapelle" pour la première fois samedi dernier. 

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J'en connais son existence depuis toujours. Je rêvais de la voir et de la photographier. C'est chose faite.

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Cette exposition sera visible jusqu'au 20 septembre prochain. 

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J'assume totalement avoir cadré mes photos pour montrer beaucoup de ce lieu si atypique à Metz.

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Une fois de plus je me suis fait "du mal" en sélectionnant les photos pour cet article. Que c'est dur !

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Quel bonheur, quel émerveillement que le mien d'être, sans m'y attendre, passé par là avec mes amis(es).

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Les ouvrages saisis dans le Pays Messin après la Révolution ont été rassemblés dans ce lieu.

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C'est sans doute à cause de son poids (10,5 tonnes), de sa hauteur (2,64 mètres) et de son diamètres de 2,30 mètres qu'il n'a a pas de réplique de la Mutte fondue en 1605 dans cette exposition.

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J'ai demandé à une jeune demoiselle la signification de ces médaillons. En rougissant elle n'a pas pu satisfaire ma curiosité.

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J'avais alors encore en tête la sonorité de la Mutte à la volée en faisant cette photo.

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Giovanni Betto l'architecte de cette ancienne chapelle en forme de croix latine était italien. 

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Si vous cliquez sur cette photo vous découvrirez le devenir de la chapelle des Petits-Carmes. Pour revenir à l'article il vous suffira de fermer la page ouverte. 

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Je suis sorti à regrets pour suivre mes amis(es) sans savoir où elles et ils allaient... 

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Je ne vais pas prétendre que j'étais en pays inconnu si près de la cathédrale au bord de la place d'Armes. 

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J'ai pensé que nous allions sacrifier à notre "tradition" d'une pause désaltérante, là place de Chambre.

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Je me suis quand même étonné que dans la rue du Vivier nous suivions toujours le groupe des officiels.

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Moins de trois minutes plus tard nous découvrions la cour ensoleillés du siège de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC Lorraine).

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nous avons eu le loisir et le plaisir d'y admirer de très près ces vestiges de sculptures de la cathédrale. 

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D'évidence ce sont des parties qui ont été déposées et remplacées lors de chantiers de rénovation.

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Evelyne et Jean-Louis, ils n'ont pas été les seuls, n'ont pas cessé de faire des photos dans ce lieu qu'aucun de nous ne connaissait.

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Voici l'objet de toute leur attention sur la photo précédente, celle que je venais de prendre, l'air de rien.

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J'ai levé Lumix au dessus de leur tête, pas très haut, pour vous montrer où nous étions arrivés.

 

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Le bâtiment de la DRAC Lorraine, service du Ministère de la Culture depuis 1976, date de 1762. 

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Il est un peu plus récent que la cathédrale Saint-Etienne construite sur trois siècles à partir de 1240...

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Photographes passionnés(es) par Metz, nous n'en sommes pas moins très gourmands. Aucun de nous n'a boudé son plaisir de déguster quelques excellentes réductions offertes par la DRAC. 

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J'ai eu la chance d'être présenté à Monsieur le Maire il y a près d'un an en découvrant alors qu'il me connaissait au travers de "Fier de vivre à Metz". Il aime à dire que "tout le monde" lui parle souvent de mes articles, lui envoie des liens.

Monsieur le Maire je ne vous tiens aucune rigueur de vos dires... 

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Lorsqu'il est passé à côté de nous, je l'ai salué. Nous avons discuté entre passionnés(es) de Metz. Christine a eu droit à deux bises municipales... Je ne savais pas que Jean-Louis me photographiais pendant que je prenais cette photo.

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Place Saint-Jacques nous nous sommes arrêtés pour y boire un café et surtout partager ravis(es) voire enchantés(es) nos impressions sur cet autre équipée en amitié, photographiée. Nos photos ancreront longtemps ces nouveaux souvenirs à rajouter à d'autres.

Nous nous sommes quittés, sans nous dire à quand. Un "quand" il y en aura un même plusieurs très vite...