Fier de vivre à Metz : découvrir Metz avec des centaines d'articles et des milliers de photos.
Je me livre en pensées.
J’écris avec mes mots.
Je fabrique des articles.
Je publie des photos.
Je cherche des histoires.
Je vous montre ma ville.
Je ris de vous faire rire.
Je m’amuse de vous faire sourire.
Je découvre des maux terribles.
Je mesure des détresses indicibles.
Je mets ma vie en pages.
Je me perds dans des vies.
Je m’indigne dans d’autres.
Je meurtris aussi mon âme.
J’exulte souvent mes passions.
Je m’inscris parfois en faux.
Je clique sur des visages.
Je m’installe dans des bonheurs.
Je m’irrite de mon impatience.
Je suis comptable d’autres peines.
Je me plaît dans vos écrits.
Je me laisse toucher par vos vies.
Je me sais manquer de temps.
Je me sais être de passage.
J’aime vos commentaires.
J’en dépose aussi chez vous.
Je trouve de la solidarité chez vous.
Je donne de mon temps à mes écrits.
Je vole des heures à ma vie ici.
Je défais mon passé en ligne.
Je suis passager de vos destins.
Je suis sensible à votre présence.
Je suis indigné de vos blessures.
Je suis courroucé par vos déboires.
Je suis émerveillé par vos talents.
Je m’émeus de votre attention.
Je m’insurge contre vos déceptions.
Je doute parfois de moi.
Je doute parfois de vous.
Je doute parfois de tout.
Mais je suis là.
Je vais y rester.
Parfois dubitatif.
Parfois nauséeux.
Parfois compromis.
Parfois rejeté.
Parfois impliqué.
Parfois fatigué.
Parfois inquiet.
Parfois blessé.
Parfois incompris.
Mais je suis là.
Je vais y rester.
Toujours heureux de partager.
Toujours heureux de vous lire.
Toujours heureux de vous rencontrer.
Toujours heureux de vous écrire.
Toujours heureux de votre compagnie.
Toujours heureux de partager vos richesses.
Toujours heureux d’être en votre compagnie.
Toujours heureux de cette amitié avec vous.
Il me faudrait m’éloigner de mon blog.
J’aimerais m’éloigner quelques temps.
Il me faudrait vous oublier quelques heures.
J’aimerais vous abandonner dans vos mots.
Il me faudrait me mettre en vacances de vous.
J’aimerais me libérer de l’emprise de vos mots.
Il me faudrait…
Mais je suis là.
Je vais y rester pour toutes ces raisons.