Augny / Le Parc Simon...

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Avant de pouvoir faire cette photo souvenir nous avons quitté Metz, roulé quelques minutes pour arriver à Augny à une douzaine de kilomètres au sud de Metz. 

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C'était samedi et nos avions du soleil lorsque nous sommes rentrés dans le Parc Simon, simplement  en ouvrant ce portail de bois. La "Ferme" est un foyer pour les jeunes, une salle des sports. Elle héberge encore les services techniques de la commune d'Augny.  

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J'ai fait une très très belle découverte tout au long de notre promenade sur les allées aménagées pour parcourir les 24 hectares de ce parc. 

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Merci Evelyne de m'avoir montré l'endroit où tu aimes très souvent passer te ressourcer au milieu de tes amis les arbres. 

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En 1840, des descendant de la famille Simon, tous les deux banquiers à Metz, ont fait transformer la propriété en parc romantique. Il a été très apprécié et très fréquenté jusqu'à la Première Guerre mondiale. 

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Ce n'est que depuis mai 2013, après de très long travaux et réaménagements que le parc est en train de redevenir ce qu'il a été : surprenant , dépaysant et magique. 

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J'ai beaucoup aimé le parcourir en en captant qu'une infime partie de ses beautés et mystères car je me promets d'y retourner puisque j'en connais dorénavant l'existence. 

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C'est très lentement que nous nous sommes promenés le long de cette allée très là joliment forestière. 

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Sans la quitter, à une exception près..., toute la richesse de ses collections d'arbres et d'arbustes est restée à portée de mon regard. 

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J'ai demandé l'explication de cette clôture autour de cette vaste prairie. Réponse de mon amie : des chevaux ont pu s'y ébattre pendant la belle saison. 

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Nous sommes arrivés près de l'étang, sans nous presser. 

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Je me suis attardé dans ce qui a été un pavillon. On y retrouve la pierre de Jaumont... Metz est tout près. 

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Heureusement je n'ai été qu'un photographe photographié et pas un arroseur arrosé. Je peux envisager de l'être mais surtout pas à la mi-janvier, ni en lorraine ni au nord de la Loire... 

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Nous ne sommes pas passés sur la toute petite île au bout de l'élégante passerelle.

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Mais nous sommes allés marcher le long de l'étang.

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Il méritait que nous passions quelques minutes les chaussures dans la gadoue.

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Le pavillon est encore en travaux. 

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Nous avons continué à suivre l'allée tout en courbes. Je n'ai rien dit à mon guide mais j'ai été très impressionné par les arbres.

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Nous n'avons pas pique-niqué. Là encore je peux (cette fois très volontiers) envisager de le faire mais qu'entre les mois de mai et d'octobre.  

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Je n'ai pas eu besoin de compter les arbres. J'ai lu sur le panneau informatif installé l'entrée du parc qu'il y en a 150. Ils font partie de la collection exceptionnelle réunie depuis près de deux siècles.  

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Je peux rajouter qu'il y a 800 arbustes qui complètent cette collection.

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J'ai fait connaissance avec quelques amis de mon guide. J'ai trouvé un drôle de regard à ce palmipède pas farouche du tout. Je suis resté prudent . Il ne m'est rien arrivé, de fâcheux.

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C'est peut-être l'exceptionnel séquoia ou le remarquable chicot du Canada. Si je sais, lorrain depuis plus de 45 ans, identifier les nuages, je ne sais différencier qu'un mirabellier d'un chêne, qu'un bananier d'un olivier et un saule pleureur d'un platane.  C'est comment un chicot du Canada ? 

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C'est peut-être l'un des hêtres tortillards du parc. Il me semble avoir les branches assez entortillées pour être un hêtre exceptionnel... 

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Lui a été, il n'est plus qu'une souche. Je ne suis jamais insensible à la fin d'un arbre. 

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Ce qu'il y a de "bien" c'est que même ignorant en botanique il est très agréable de découvrir la beauté intrinsèque de ces arbres. 

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Heureusement que l'on n'a pas besoin de savoir identifier les arbres, les plantes, les fleurs pour avoir le droit de les photographier.  Je sais différencier un champ de  canne à sucre d'un champ de blé, un champ d'ananas d'un champ d’artichauts et un chant de coucou d'un chant grégorien. 

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Cet arbre fait partie de la prestigieuse collection du parc.

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Ces trois là aussi... 

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Celui-ci aussi. 

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Je vous promets un ou deux autres articles dans les mois à venir. Il y en aura peut-être plus...

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Pourquoi ? Mais parce qu'Evelyne adore ce parc et qu'elle a hâte de me le faire découvrir au printemps, en été et en automne et de le faire découvrir à d'autres. Je nous vois déjà entre amis(es) de blogs y aller pique-niquer dans quelques mois... Je lance cette idée !

J'ai oublié de vous dire qu'il y a aussi 3000 plantes vivaces dans le Parc Simon.