je me situe entre mére téresa(mamoune) et mére tout court(mireille) ....vrai probléme dont tu parles .....aujourd'hui, on n'a plus le droit comme le dit la chanson....et pourtant ? on a des sous pour faire la guerre...mais pas pour ses enfants.....je suis vieux enfin relatif mais il a fallu que je travaille pour connaître les vacances...je suis d'autant plus sensible à ton texte...aujourd'hui je suis vieux hihihihi je ne peux plus partir mais çà m'est égal...tu sais pourquoi marc....pas grave....mais les enfants eux.....reste des enfants et les droits dont on doit les nantir.....bref il y a tant à dire et à faire......
bonne journée à toi attention au bureau il fait chaud à ton âge il te faut bien boire ..... P T D R .....
AMITIES
SUMADRAD.C B

Seul au pays des bisounours, la vie est belle, très belle, que belle !

Les enfants ne méritent pas d’être oubliés par la vie heureuse !

@mitié et bises de Metz, Marc. Bonne soirée.

et oui c'est la dure réalité de la vie certains ont tout et trop et d'autres rien ce n'est pas juste

• Nom / Pseudo :
  
  E-mail (facultatif) :
  
  Site Web (facultatif) :
  
  Commentaire :
  
  Me prévenir par mail en cas de réponse
  

Oui, comme toi Cacao, j’ai lu ces commentaires et je suis « heureux » d’avoir accordé ces quelques mots à ces enfants qui là doivent redouter la dernière heure de classe ou de cours… Bonne journée, @mitié et bises de Metz, Marc. Merci d’être solidaire de celles et de ceux que cette société ne rend pas heureux…

Très bien cet article, tu as raison de parler de ces enfants. Notre monde est tellement injuste. C'est de plus en plus du chacun pour soi. Je vois dans les commentaires que tes lecteurs ont du coeur et de la réflexion. Bises amicales.

Je ne ferme que rarement les yeux sur ce monde !

Je les ai grands ouverts sur les enfants dans nos villes et ailleurs.

Si je suis impuissant pour les aider tous, je peux leur dédier ces mots !

@mitié, merci l’ami, ton commentaire me touche. Marc.

Bonne soirée à toi.

Oui, c'est le malheur des enfants de ces cités, cacher cette misère que l'on ne saurait voir...

très beau et douloureux

@mitié

Je n’ai jamais vraiment souffert de cela car j’ai eu la chance de passer mes quinze premières années au bord de mers différentes et nous y passions presque tout le temps dès que j’ai été au collège. Mes parents ne partaient pas en vacances, ma mère n’aimait pas cela ? C’était une autre époque. Je pense à ces enfants qui savent ce que sont les vacances par la télé, mais qui eux ne quittent pas leur ville ou village. @mitié de Metz, Marc. Bonne soirée Mireille, Bises.

Je te propose Mamoune de lire mes autres réponses aux autres commentaires pour que tu saches qu’à Metz, il est offert aux enfants privés de vacances de passer de très belles semaines dans différentes activités qui ont un énorme succès et qui ne coutent chacune que 1,50 euros. Il y aura aussi Metz-Plage pour ces familles et d’autres car c’est très fréquenté.

Je ne suis pas mère Theresa, mais j’ai les yeux ouverts sur ce monde qui est le mien, celui que je vois déjà ici à Metz et je me sens, je me sais concerné !

J’ai travaillé aujourd’hui et c’est hier que je me suis promené en ville pour y faire des photos, d’autres photos. Merci pour ce commentaire très solidaire, il me touche. @mitié de Metz, bises, bonne soirée à toi et aux tiens. Marc. Ici, canicule aussi !

Il y a tant à dire et à faire !

J’ai juste moi offert ces mots à ces enfants sans vacances !

Metz leur organise des dizaines de loisirs pour 1,50 euros chacun et pour une durée d’une semaine en principe ! Ils peuvent alors changer d’activité, de sports, de loisirs pour la semaine d’après…

C’est une tradition ici que la municipalité offre à ces enfants, à tous les enfants qui le souhaitent en fait mais en priorisant ceux dans des familles très modestes, de passer des vacances extras mais sans quitter la ville.

Bonne soirée l’ami, et oui, je sais ce qui peut réduire tes départs…

@mitié, Marc. @ bientôt Sumadrad.

Je constate que ce texte vous rappelle des souvenirs personnels. Je n’ai jamais vraiment été en vacances pendant que je vivais avec mes parents : sauf à 11 ans une classe de neige avec l’école, à 12 ans un séjour en Alsace, expédié dans la famille de mon père (nous vivions à Nice) et à 14 ans, un camp d’ado en Bretagne…Je n’en ai pas vraiment souffert de plus de vacances… Nous vivions alors en bord de mer, nous étions sur des lieux de vacances. Je te souhaite une très belle soirée, @mitié de Metz, un bisou pour dire bonne nuit. Marc.

Bonjour Marc de Metz

Je suis comme beaucoup jamais partie en vacances car mes parents n'en avaient pas les moyens..... c'est seulement plus tard quand j'ai commencé à travailler que je me suis offert mes premiers voyages...... Je sais aussi que certains associations ont permis et permettent qu'un grand nombre d'enfants défavorisés puissent goûter aux joies des vacances..... Bien sur tous malheuresement ne partiront pas car beaucoup ne sont même récensés mais le fait que ces associations en aient pris l'initiative on ne peut que les féliciter........

Belle journée à toi

Gros bisous

Chronique

bonjour Marc, les vacances ne sont pas toujours les meilleurs momets pour ces enfants là! l'école aujourd'hui est obligatoire et c'est bien même pour le familles défavorisées, il y a beaucoup plus d'aides sociales qu'à notre époque, mais la pauvreté règne en maitre dans les grandes villes , il est difficile de contôler les familles dont les enfants n'auront pas ce privilège....on pourraient épiloguer sur le sujet, mais nous n'avons pas le pouvoir de tout arranger, il faudrait que quelques retraités instit ou autre puissent donner un peu de temps pour suivre ces familles qui parfois se trouvent en grand désarroi ..quoi faire?

enfin je suis peut-être un peu trop (mère Thérésa!!!)c'est dans ma nature et j'y peux rien..

sur ce, je te souhaite une belle journée avec ton appareil phot en main au

retour!!!bises, d'Anjou où la canicule s'est installée..amitiés . MAmoune

Bonjour Marc,

Tu as raison d'évoquer ce problèmes des enfants qui ne partent jamais en vacances. Je l'ai connu et le temps était bien long quand certaines copines étaient parties.Pour aller en"ville" (comme on disait à l'époque et j'habitais à Woippy) il fallait prendre le bus et le budget familial ne le permettait pas. Maintenant, il y a des associations et le plan d'eau aménagé mais autre époque, autre souci .

Bonne journée, bises de Mireille du Sablon.