Sarang, nous ne sommes que des joueurs de mots et si tu devais vouloir connaître les vraies règles des senryûs je te propose de lancer une ou deux recherches sur Internet. Ce que tu dois savoir c’est que le senryû en français n’a plus la même valeur que le senryû en japonais. Mais ce qui compte c’est surtout la musicalité de tes mots. @mitié de Metz.

Bonjour,
Je viens de découvrir il n'y a pas longtemps le Haïku que je m'applique à " construire".
Le senryû, je le découvre par-ci par-là, mais je dois encore en comprendre le style.

Sous l'eau sombre, à l'abri des regards ...
La grenouille qui sait...à envie de sortir et de chanter
Quand au sournois serpent...

Bonne journée...sous un ciel pluvieux :'(

Bonjour de messin à une messine très sympa pour être venue dans mes mots et photos et surtout avoir laissé ce commentaire, ce qui me fait très plaisir. @ Bientôt, amicalement. Marc.

Savoir nager en eau trouble et même aimer le faire pour déjouer le dramatique et les peurs me semble pouvoir convenir à mes aspectes les plus troublés de ma « misérable » personnalité. Je suis troublé là… Je t’embrasse amie Violette. Marc.

Merci Malou, je ne fais que tenter de m’approprier en m’amusant la liberté d’écriture autorisée par les règles du Senryû… je suis très novice en la matière mais assez armée par ma vie pour tenter de m’y débrouiller en usant de ce qui me touche… sans oublier d’être gentiment « cinoque »… Amitié, je t’embrasse, Marc.

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Je tombe par hasard sur ce blog et...   Tiens, une ville que je connais ;))
 Alors, un petit clin d'oeil et un bonsoir d'une messine à un messin!
Je reviendrai pour découvrir ce blog plus en détail.

Cela continue à nager en eau sombre ou trouble... Bises. Violette

Joli! Cette nécessité de trouver une chute inattendue rend le senryû finalemlent plus distrayant que le haïku, enfin je trouve. Bises. Malou