Si cet ami devait savoir être comme moi…

Aucune nouvelle déception ne saurait plus le blesser !

Il lui suffit de les décider toutes derrière lui !

Si cet ami est comme moi…

Plus rien en amitié ne saurait le décevoir : jamais !

Je l’espère cet ami être homme averti et aussi sûr de lui que j’ai appris à l’être de moi…

Je t’embrasse, je quitte cet ordi pour ce soir.

Bonne soirée, Marc de Metz.

La seule chose qui lui reste est d'être là quand cet (te) ami (e) ouvrira les yeux

pour apaiser sa souffrance

Pourvu que l’ami alors ne se déplaise pas dans le silence…

La notion de duperie est intime est difficile à partager, je le crois !

Il y a des silences qui s’imposent dès qu’ils respectent les choix d’un autre.

Je suis depuis toujours familiers avec mes silences, j’aime alors ceux des autres.

Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. Bonne soirée à toi.

Bonsoir Marc de Metz

Un tanka sur le mot silence

Envie de crier

Quand ami se fait duper

garder le silence

Trop dur de lui expliquer

Tellement peur de le perdre

Gros bisous

Chronique

Lorsque je me rends compte que je n’ai pas répondu à mes commentaires, je me sens tout d’un coup bien mal à l’aise et même confus car je considère que vous répondre est en temps normal (lorsque je peux le faire) très agréable. Ce soir j’en découvre des dizaines sans réponse de ma part. J’utilise ce copier-coller pour au moins vous (te) dire que je suis désolé de ne pas avoir répondu à ce commentaire là… Il date de loin, j’espère que ces quelques mots réussiront à excuser ma non-réponse… Avec mes excuses et avec amitié. Marc de Metz, le mercredi 28 avril.

Comme Marielle et toi, je subis depuis deux jours ces nouveaux interlignes qui me compliquent bien ma vie ici dans mes commentaires et mes articles : encore une nouveauté que nous impose OB sans rien nous dire ?

S’il n’est pas mouillé, prochainement, nous pourrons nous assoir sur ce banc, au bord de la Moselle, et rire de ces commentaires au sujet de celui-ci. Je t’embrasse, impatient de promener une jeunette dans Metz et de lui montrer en « vrai, en réel» ce que je montre de loin en photos. Bonne soirée, Marc.

Bientôt la petite jeunette aura l'immense plaisir de croiser les mots en live. Là tu peux compter les jours.

Gros bisous

Chronique à la croisée des chemins

PS. Marielle a raison depuis 2 jours les interlignes ont des enjambées de géant.

Vivement la retraite…

Je trainerai alors sur les bancs publics de Metz.

J’y vivrai des moments de silence avec bonheur.

Puis avec mon lourd cabas à commission, je rentrerai à la maison.

Impatient je serai d’y lire d’autres très beaux mots envoyés par une jeunette bien habile dans cet exercice depuis l’année 2010…

Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. Je compte les jours jusqu’à ma retraite, voire là les années !

Là encore je rie, mais sans te croire tout à fait…

Non, vraiment, je ne te crois pas autant que tu peux l’espérer.

De mon côté aussi je peux passer dans la ville en n’y étant plus…

Cela à l’inverse de toi, est une vérité, elle me fait aussi sourire…

Je t’embrasse. Bonne soirée.

De Metz, ville bien trop là dans le froid.

Marc de Metz.

C’est un très beau premier essai de poésie sous une forme japonaise.

Je l’ai vérifié, il a bien 17 syllabes…

Elles sont parfaitement réparties sur 3 lignes.

Cinq sur la première

Sept sur la seconde

Cinq sur la troisième.

Ce n’est alors pas un senryû mais un haïku.

Le senryû lui aurait bien 17 syllabes, mais réparties d’une façon aléatoire sur trois lignes comme dans cet exemple :

Chagrin d'amour (4)

Cruelle solitude (6)

En addition à l’absence (7)

Depuis trois jours, les espaces ne sont plus les mêmes et cela m’oblige a en avoir corrigé le nombre habituel…

Je t’embrasse, @mitié de Metz et bravo pour ce très beau premier haïku. Bonne fin de journée Marielle.

Marc de Metz.

Bonjour Marc :Une autre raison d'être sur ce banc....

"Oui chagrin d'amour

Solitude bien cruelle

Garde ton sang froid"

Bonsoir Marc, une autre raison d'être sur ce banc :

Oui chagrin d'amour/Solitude bien cruelle /Garde ton sang froid/

Pour un essai d'un senryu....suis obligée mettre sur la même ligne

les interlignes sont trop grands , je ne sais pas cequi se passe...impossible de faire un commentaire correct.

Je t'embrasse mon ami Marc. Marielle.

  C'est un essai de senryu                         

Garde ton sans froid

ah si les bancs avaient la parole !
Pour ma part, maintenant je peux m'y assoir sans être importunée, alors que ça ne l'était pas pendant ma jeunesse...

Bonjour Marc de Metz

2 petits senryus en réponse

Mise au banc de la société

l'exclusion

se fait là silence

Quand à l'oreille résonne

tes mots doux

j'aime qu'on fasse silence

Gros bisous à mon petit bavard

Chronique silencieuse

Pour moi, un silence ne fait du noir que lorsque l’on est dans le noir.

Pour moi un silence, est bienvenu souvent pour reprendre son souffle.

Le silence n’est odieux que lorsqu’il est subi.

Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.

Merci pour ce « très beau » de ta part sur ce texte sur photo…

Bonne soirée à toi, douce soirée. @mitié, je t’embrasse, Marc.

Pour ma défense, même si cela dessert cette photo…

Cette dame est en solitude avec son potable à l’oreille.

Mais il est vrai que j’ai volé cette photo et je ne le regrette pas…

Je t’embrasse Violette, @mitié de Metz, Marc.

Merci Covix, je te sais plein de sensibilité.

Et, je ne suis pas étonné.

Pas étonné de ce commentaire venant de toi l’ami.

Marc de Metz, bonne soirée à toi. @mitié.

très beau! Bisoussssssssss

Un doux moment d'intimité... violé par ta photo chenapan! MDR
Gros bisous
Violette

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