• Rupture familiale inventoriée...






    Je me souviens sans plus de colère d’un soir d’octobre

    Dix ans passés depuis cette conversation téléphonée

    Trop d’automnes depuis pour m’accabler là d’opprobre

    Le temps de m’accepté renié et rejeté est déjà initié

     

    A ces années vécues sans plus être père respecté aimé

    J’oppose certitude ne n’avoir jamais mérité cet outrage

    Victime que de mon ignorance de ne pas m’être su rejeté

    J’ai renoncé à me designer seul coupable de ce naufrage

     

    Affirmation je dépose qu’une vie sans enfant est possible

    Nul autre constat qu’un amour de père est parfois indigent

    Démuni j’ai été contré dans une faute pour moi indicible

    Temps passé dans dix ans n’efface pas silence récurrent

     

    Rien dans cette absence là ne me spolie d’aucun souvenir

    Je me sais avoir été père de bébé d’enfant d’ado et d’adulte

    Je ne m’en parle ce jour car il est étape entre passé et avenir

    Je me sais n’être qu’en jachère d’un amour devenu inculte

     

    Je me souviens mais sans plus me vouloir d’elle en attente

    Mes renoncements sages taisent tout besoin d’un retour

    Trop de ma vie est devenue silence pour l’enfant absente

    Cette dizaine sans paternité et partage a suicidé mon amour

     

    En garde pour une autre vie je dois aujourd’hui le rester

    Dans celle vécue j’ai appris en pleurant à n’être ni fils ni père

    Vivre vies à Metz est possible sans plus m’y compromette

    Je parle de ces amours dénoncées par eux que je voulais aimer

     

     

     

    "Ma fille aînée ne m’a jamais pardonné qu’un soir, qu’une seule fois, je lui ai tenu tête au téléphone. C’était dans un début de soirée d’un 19 octobre 1998. Ce soir là, j’ai osé, l’entendant commencer à me manquer de respect, mettre fin à notre conversation mais, en la prévenant que je le faisais. Je n’ai commis que cette erreur : elle fut jugée inqualifiable, impardonnable, inexcusable, odieuse et choquante… par elle ! Ce fut notre première et unique dispute de vive-voix ou au téléphone. Je la supposais capable de la comprendre et de l’accepter car elle avait alors vingt-six ans ! Dix ans de rupture pour avoir, moi son père, osé lui tenir tête et avant, je l’avoue, lui avoir mis les points sur les i !"


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  • Commentaires

    32
    françoise
    Lundi 6 Mai 2013 à 00:05
    françoise
    Les enfants sont beaucoup plus dur que les parents.Moi aussi ma fille est très difficile et nous sommes aujourd'hui en rupture, pour seulement avoir souhaiter lui apprendre les règles du respect des autres et de la famille.Elle n'a plus de limite....insultes, plus aucun sentiment de faire mal et poutant ça dure depuis ces 15 ans elle en aura 20 en juin .
    Une ancienne Messine
    Françoise
    31
    Mardi 19 Mai 2009 à 20:05
    Marc de Metz

    Cette histoire est si lamentable que je me demanderai toute ma vie comment elle peut s’être passée dans ma famille qui je peux le dire était une famille à part entière, mais je n’ai plus fait partie de cette part entière dès que j’ai eu douze ans. En 1989, ma sœur qui a toujours adoré ses parents et réciproquement, m’a dit : je ne m’étais jamais rendu compte que nous n’avions jamais eu les mêmes parents ! Je t’embrase, bonne soirée, @mitié, Marc et vivons là notre vie, plus celle des nos passés.

    30
    Mardi 19 Mai 2009 à 18:02
    Dany
    Je comprend Marc...ton histoire ressemble un peu à la mienne.... bisous.
    Dany
    29
    Mardi 19 Mai 2009 à 16:06
    Marc de Metz

    Bonjour Dany, j’ai trop payé dramatiquement, socialement, professionnellement, intimement, et de mon intégrité physique ce que j’ai perdu en ayant été obligé pour survivre de répondre à la haine et au mépris que j’ai inspiré à mes géniteurs à partir de l’âge de douze ans pour que je pardonne : jamais ! C’est pour moi inconcevable ! Mais ce pardon que je ne leur accorderai plus (ils sont morts tous les deux) n’est pas pour moi une souffrance, bien au contraire, il est mon refus et j’en suis convaincu ma seule force pour accepter de subir d’autres personnes ce que je ne pouvais pas même me supposer devoir affronter dans ma vie hors de la leur ! Je me suis forgé ma propre religion, elle m’autorise à ne pas pardonner pour ne pas me contraindre à me renier dans ce qui m’est arrivé de désastreux et de lamentable du seul fait de mes géniteurs ! Ma mère n’avait qu’une ambition : me briser, me casser, me détruire ! Mon père l’a laissé faire puis la vie m’a imposé que c’était lui mon pire ennemi alors jamais je me suis juré de ne jamais pardonner ! Mais j’espère que je ne donne pas au travers de mon blog l’impression que je suis détruit, que je suis paumé, que je n’ai pas réussi à vivre enfin apaisé et heureux ! J’ai quitté le cercle familial en 1971, je ne m’y suis plus jamais senti chez moi ! Ce cercle a vécu à 900 kilomètres de moi pendant quarante ans et je sais que c’est cette distance qui aura été la plus belle alliée de ma sauvegarde et de mon futur d’alors qui est déjà mon passé et reste mon présent… Je t’embrasse, je ne vais jamais pardonner, je ne le veux pas, je n’en ai pas besoin pour vivre. @mitié de Metz. Marc.

     

    28
    Mardi 19 Mai 2009 à 13:59
    Dany
    Marc.
    La vie est difficile, pleine de problèmes quotidiens, le pardon nous redonne ce que l'on aperdu, il faut absolument etre clément, comprendre que les personnes peuvent faire des erreurs, le monde des humaisn est imparfait...
    Pardonner c'est accepter l'etre humain ...
    Personellement j'ai du mal a rester en colère avec les etres que j'aime, et je me dis que l'amour  gagne toujours sur la haine.
    Il n'y a qu'une personne au monde que je ne peux pardonner mais certainement elle n'est pas mon sang, et n'a jamais fait partie de ma vie, ne m'a jamais intérréssée où apporter joie où bonheur, une simple étrangère qui a pris la place de ma mère dans la vie de mon père, mais là peut-etre est-ce plus compréhensible?
    Je l'ignore et ne veux le savoir, le temps est passé...mais je  peux que dire que jusqu'à la fin elle sera ignorer... sans pardon, sans jugement simplement indiffèrence.
    Peut-etre la plus grande des méprises...
    Bonne journée mon ami.
    Dany
    27
    Lundi 18 Mai 2009 à 23:40
    Marc de Metz

    Je suis absolument d’accord avec toi dans la mesure où les parents sont de bons parents, ce que je sais avoir été pour mes enfants jusqu’à leurs vingt-six ans. J’ai été dixit elles : un père merveilleux, formidable, génial, solidaire mais… je suis renié et rejeté depuis plus de dix ans par mon ainée et depuis plus de six ans par sa sœur… Je les sais ne devoir jamais se remettre en question et cela finit par bien tomber car je dois et je veux le dire : je n’attends absolument plus rien d’elles, sauf qu’elles vivent heureuses de leur côté et moi du mien ce qui est facile car personne, absolument personne ne nous relie et reliera plus jamais… Donc je ne sais absolument plus rien de leur vie. Je t’embrasse de Metz, Marc. Bonne nuit.

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    26
    Lundi 18 Mai 2009 à 23:19
    Marc de Metz

    Je te souhaite Brigitte, si tu en as envie de réussir à te rapprocher de ton père. Mon père est mort le 18 janvier 2009, je ne suis pas allé à son enterrement, cette idée me faisait simplement horreur ! Ma mère elle est morte depuis 1985, je n’ai encore jamais une seule fois trouvé son absence ne serait-ce que pesante et je n’ai jamais versé une larme sur elle. Je vais avoir traversé cette vie sans avoir eu le bonheur d’être aimé de mes parents après que j’ai eu l’âge de douze ans, puis celui d’être aimé par mes deux filles après qu’elles aient eu chacune l’âge de vingt-six ans… J’accepte cela, mais sans vouloir un seul instant pardonner… J’ai un frère et j’ai une sœur qui je le suppose viennent sur ce blog mais je sais que jamais ils ne me laisseront un commentaire : jamais ! La mort de notre père est suivi d’un silence total de leur part et cela c’est une autre étape de ma vie : ils sont tous dans sur la Côte d’Azur et ici à Metz rien de ce qui s’y passe ne peut changer ma vie ici… Je t’embrasse Brigitte, bonne nuit, Marc.

    25
    Lundi 18 Mai 2009 à 23:10
    Marc de Metz

    Je trouve très touchant ce que tu me confies là Dany. Heureusement que des personnes sont capables elles de pardonner et parfois l’indicible. Je n’ai jamais pardonné à mes parents de m’avoir obligé à les désaimer d’un coup un soir de septembre 1968 ! Je n’ai jamais pardonné et jusqu’à ce jour j’ignore avoir eu tord ! Je suis admiratif de celles et de ceux qui aiment par-dessus tout ! J’en suis définitivement incapable et surtout je ne veux pas me renier pour pardonner ! J’ai appris à vivre mieux sans la quête absurde d’aimer ceux qui eux ne m’aiment pas, plus. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.

    24
    Lundi 18 Mai 2009 à 20:54
    corinne
    coucou, et bien ton texte est poignant

    Je trouve pourtant normal et logique que les parents doivent se faire respecter toute leur vie
    Ce n'est pas parce que l'on a 20, 30 ou 40 que cette règle doit s'arrêter

    La vie n'est pas facile

    je te souhaite une belle soirée
    23
    Lundi 18 Mai 2009 à 19:58
    Marc de Metz

    Fabienne, bien entendu que je ne peux oublier une seconde que j’ai été père durant vingt-six ans et d’une très belle façon et dans une très belle relation avec mes deux filles… Bien entendu que plus de dix ans après je ne suis plus du tout en souffrance, juste et de plus en plus dans une simple colère muette et intime ! Je veux et je dois en parler de temps en temps car c’est une extraordinaire situation pour moi que d’avoir été renié alors qu’absolument rien venant de mes filles pouvait m’y avoir préparé… Mais, mais je me savais depuis toujours en sursis, je le savais du fond de mes tripes et du fond de mon cœur… je l’ai donc très vite accepté et je n’ai jamais rien tenté pour conjurer ce sort et je ne ferai jamais rien, j’en suis de plus en plus certain ! Je ne peux me sauver de cette disgrâce, je ne peux vivre dedans qu’en refusant à mes filles le droit de me supposer assez misérable pour quémander de leur part quoi que ce soit ! j’ai perdu mes filles mais en me gardant cette dignité que je veux et que je dois m’autoriser… Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc, qui ose l'affirmer n'a plus jamais mal à cause de cela... Je ne suis qu'en colère. Elle est silencieuse, discrète et muselée sauf dans mes mots.  

    22
    Lundi 18 Mai 2009 à 19:38
    Bonsoir Marc, les relations parents-enfants sont très difficiles parfois. Moi ça se passe bien avec mes enfants mais moins bien avec mon père. Nous ne sommes pas fâchés mais nous n'avons pas grand chose à nous dire car il n'a pas été présent quand j'avais besoin de soutien, et en plus il a abandonné ma mère adorée pour partir avec une autre... Depuis ma mère est décédée, mais nous ne nous sommes pas rapprochés... Peut-être que mon blog va nous permettre de le faire car je lui ai donné d'adresse et il vient lire mes articles..
    Bonne soirée, Marc et amitié
    21
    Lundi 18 Mai 2009 à 18:35
    Dany
    Marc.
    L'Amour  d'un père ne doit en aucun cas etre offusqué, bléssé, offensé , manquer de respect à un père, c'est renier ce qu'il t'a donné: La Vie.

    Je ne saurais juger, je ne suis à la hauteur, je peux te dire que mon père que j'aimais à la follie(et que j'aime par dessus tout encore aujourd'hui malgrè qu'il ne soit plus parmis nous) m'a renié quand j'avais  12 ans pour une femme... après la mort de ma mère.

    Mais mon coeur a toujours était pour lui plein d'amour, je l'ai pardonné  sans problème et pourtant son comportement a été au dela de ce qu'il s'est passé avec ta fille...
     Bisous Marc.
    Dany
    20
    Lundi 18 Mai 2009 à 10:56
    fabienne
    je comprends tellement ton texte, il me parle, il me fait mal pour toi..
    je comprends parfaitement ta douleur et le fait qu'elle ressurgite de temps en temps, parce qu'injustifiée! Les enfants sont ingrats, ils ne pensent qu'à eux. Je sais que ta fille te manque. Mais ceci dit, vis ta vie, comme tu le fais. La blessure se ferme c'est vrai, au fil du temps mais demeure tout de même.
    Oh oui, je te comprends!!
    Je t embrasse très fort mon Marc 
    19
    Jeudi 12 Mars 2009 à 17:51
    Marc de Metz

    Bonjour l’ancienne messine, je crois qu’en effet nous pouvons être totalement en rupture avec nos enfants même si nous rêvions du contraire et même si nous avons tout fait pour que cela n’arrive pas. Mais en face de nous nos enfants peuvent être abominablement stupides et cruels et pire que cela irrespectueux. J’ai perdu mes deux enfants alors qu’elles avaient chacune 26 ans et à quatre ans d’écart. Pour des raisons qui feraient tomber sur la tête n’importe quel parent normalement constitué et normalement exigeant. Je ne crois plus que des enfants reviennent toujours… je ne crois plus qu’il est possible de tout pardonner et de tout oublier, je ne crois plus avoir besoin de ces enfants là qui ne sont et ne seront jamais ceux que j’ai élevés, aimés, éduqués, et traités avec tout l’amour et la patience que je devais avoir pour elles… Je ne crois plus que je serai capable de fonctionner avec elles, je ne crois plus avoir besoin d’elles, je sais m’être habitué et je sais surtout n’avoir rien de mieux à leur offrir en tant que père… Je te souhaite de te réconcilier avec ta fille si tu devais le souhaiter et l’espérer. @mitié, de Metz, Marc et merci pour ce commentaire.

    18
    Mercredi 4 Février 2009 à 12:36
    Marc de Metz

    Merci Revelize, au bout de ces plus de dix ans je ne me sais plus être en attente d’un retour si improbable de sa part. J’ai appris à vivre sans mes deux enfants. Il le fallait bien ! J’écris de temps à autre sur ce thème de l’absence et du vide mais je sais le faire sans aucune nouvelle souffrance. Merci, @micalement, Marc.

    17
    Mardi 3 Février 2009 à 20:10
    revelise
    un superbe poème, il reste encore beaucoup d'émotions à travers tes mots,  et pour quelques mots de trop, une absence qui a marqué ta vie, peut être un jour ... elle reviendra, bonne soirée amitiés
    16
    Mardi 3 Février 2009 à 18:41
    Marc de Metz

    Le plus navrant c’est qu’elles ne le sont devenues que lorsque mes filles ont eu chacune et à quatre ans d’écart vingt-six ans… au bout d’une très belle et constante relation. Mais je suis assez et volontairement mature que ce sujet pour réussir à vivre bien au bout de dix ans pur l’aînée de rupture et de six ans pour ma cadette… Merci pour ce commentaire Solange, il me touche. @mitié, Marc.

     

    15
    Mardi 3 Février 2009 à 17:44
    Solange
    Que c'est dommage que les relations soient si difficile parfois.
    14
    Lundi 20 Octobre 2008 à 07:59
    Marc de Metz

    Je ne me sais plus en souffrance concernant cette absence mais je tiens bien entendu de temps à autre à en parler car moi je n’ai rien provoqué. Je n’ai fait que subir au départ ce besoin de se fâcher avec moi en l’acceptant puisque je ne le savais pas être aussi définitif puisqu’il vient de durer dix ans et qui en durera autant voire plus. Je n’en ai parlé hier que parce que c’était simplement le 19 octobre 2008. Bonne journée Tendre espérance, merci encore, @mitié, Marc. @ bientôt.

     

    13
    Lundi 20 Octobre 2008 à 07:55
    Marc de Metz

    Bonjour Violette, je ne peux pas savoir comment il se fait que tu reçoives plusieurs fois l’avis de publication d’un article car je crois, je sais ne les publier qu’une seule fois avec l’indication « Prévenir mes abonnées… ». Cela m’est arrivé aussi mais rarement de la part d’autres amis(es). Je te souhaite une bonne journée, @ bientôt, Marc.

    12
    Lundi 20 Octobre 2008 à 01:25
    Violette la Dame Mau
    Parfois je reçois jusqu'à trois fois le même article! Pas grave... je suis KO ce soir. je te souhaite une très bonne nuit. Bisous.
    11
    Lundi 20 Octobre 2008 à 01:22
    TendreEspérance
    Tu ne me sembles pas dur, au contraire, trés sensible et trés affectueux !!! je comprends trés bien ta décision !!!
    Mais dans tes mots je perçois une douleur silencieuse, qui s'est endormie, mais qui n'est pas encore completement guérrit !!!
    Il faut bien se proteger, si on veut continuer de vivre plus au moins en paix!!! bonne et douce nuit Marc,à bientôt,@mitié
    10
    Lundi 20 Octobre 2008 à 00:19
    Marc de Metz

    Je ne crois pas que ma fille soit mère elle-même alors qu’elle vient d’avoir trente-six ans. Je ne peux le savoir puisque plus rien ne me raccorde à elle, plus aucun élément de sa famille maternelle et plus aucun de la mienne. Elle est mariée. Je veux absolument m’affirmer dorénavant dans une certitude qui est celle-ci : rien jamais ne me semble devoir nous permettre de nous retrouver après ces dix années passées dans le silence et l’absence. Au mieux pour elle si elle devait en avoir besoin un jour je serai capable d’accepter de la rencontrer mais sans plus jamais m’investir dans un amour paternel : celui-ci est resté dans mes souvenirs d’avant à cette époque ou j’étais papa et bienvenu dans sa vie dans leur vie. Je parle de celle de mes deux filles j’ai deux filles mais toutes les deux ont fait le choix de ne plus accepter mon amour et ma présence dans leur vie après une relation exceptionnelle qui aura durée pour chacune que vingt-six ans. Je n’ai pas besoin vraiment de parler de cela car pour moi c’est totalement assimilé au bout de 10 ans de rupture et j’ai ici sans elle une vie heureuse. Merci de ton commentaire et j’espère ne pas trop te sembler dur car c’est en l’étant que je me protège définitivement. Je t’embrasse, Marc. Bonne nuit, @mitié.

    9
    Lundi 20 Octobre 2008 à 00:08
    TendreEspérance
    Bonsoir Marc, je sens la douleur dans ton coeur de père d'une fille qui manque de respect à celui qui l'aime d'un amour incomparable, celui d'un parent, le papa qui voulait juste dire et mettre les choses au point !!! Ne te fais surtout pas des reproches, ce n est pas une cause pour couper radicalement le contacte, tu n'as rien fait de mal, mais plutôt c'est ta fille qui doit faire le pas pour s'excuser auprés de toi !!! A-t-elle des enfants??? peut-être qu'elle a de faux ami(e)s!!!
    J'espère de tout coeur que trés bientôt arriveraq une bonne nouvelle qui te rendra le plus heureux des pères!!! Je t'embrasse bien fort, courage et garde l'esprit positive! si t as besoin d'en parler, n'hésite pas de me faire signe, bonne soirée.
    8
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 23:47
    Marc de Metz

    Je ne te veux que comme amie, comme déesse, comme Galatée et cela me comblera car j’ai appris que je suis bien meilleur ami que fils et que père. Vivre en amitié est pour moi tout aussi préférable que de mal vivre en famille. Je t’embrasse et je te souhaite une nuit entre tous tes V et belle la nuit. @mitié d’ici de MVV… Marc.  

    7
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 23:21
    Galatée

    Alors, je viens juste te dire que je t'aime,
    comme une amie,
    comme une fille aussi...

    6
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 22:38
    Marc de Metz

    C’est en effet justement ce temps qui passe sans nos enfants qui pour moi me permet après dix ans de silence d’être serein et conforté dans la simple absurdité de cette situation que je n’ai jamais voulue mais que j’ai toujours su accepté pour ne pas avoir à me renier moi. Je t’embrasse Violette et je sais, même si nous n’en parlons pas combien toi aussi tu subis ce temps qui passe sans amour, sans rien… Je t’embrasse, bonne et douce nuit. @mitié, Marc.

     

    5
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 22:01
    Marc de Metz

    Merci de me le dire là Nettoue, mais je le ressens de la façon la plus évidente pour moi car autrement je ne serais pas aussi serein aujourd’hui  qui est le jour qui marque pour moi une absence de dix ans. Je suis dans de trop belles amitiés, ici et ailleurs pour me supposer vraiment être aussi indigne de ceux que je devrais avoir pu aimer sans aucune interruption durant toute ma vie. Je t’embrasse amie Dame Nettoue. Bonne nuit, @mitié, Marc.

    4
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 21:49
    Marc de Metz

    Bonsoir Marlou, ce n’est pas un jour si spécial, ou alors juste en filigrane d’une vraie réalité de laquelle, depuis dix ans ce soir j’ai eu le temps de faire un immense tour… Si je devais avoir une seule fois rejeté ma fille, je sais que depuis dix ans j’aurais eu besoin de la revoir et de la retrouver : ce n’est que seulement le contraire qui est arrivé et contre cela je ne me connais aucun moyen de lutter car j’ai toujours été un bon père selon toutes celles et ceux qui me connaissaient dans ma relation avec ma fille. J’ai la chance de vivre ici dans de très belles amitiés et la tienne là m’est très précieuse. Je t’embrasse, très fort et je te remercie de ce commentaire Marlou, @mitié, Marc.

    3
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 21:12
    Marc, j'imagine qu'aujourd'hui est un jour tellement pénible pour toi...J'essaie de comprendre sa reaction, peut-etre s'est-elle sentie rejetée par son père et cela l'a-t-il bloquée.As- tu repris contact avec elle ? Peut-etre faudrait-il essayer ?En tout cas, je suis la et te tends une amitié solide avec mes bises du jour
    2
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 14:50
    Nettoue
    Tu m'avais fais l'amitié de me confier ta peine, mon ami Marc. Tu n'as failli en rien, parfois les enfants sont imbèciles...
    Je t'embrasse. Et tu sais cimbien ton amitié m'est précieuse. Je crois que tu fais aussi grand cas de la mienne pour toi .
    Nettoue
    1
    Dimanche 19 Octobre 2008 à 13:58
    Violette la Dame mau
    Toi au moins tu sais pourquoi, moi je ne sais même pas pour mon fils! Mais le temps passe... Bises
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