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Mots écrits en novembre...
Penser quand on est malheureuxC’est se priver de forces pour vivre
Pour être heureux pour aimer la vie
Pour être aimé par la vie
Ces pensées sont malvenues
Elles mettent le cœur en lambeaux
Ces réflexions sont mes ennemies
Alors je dois je veux il faut
Refuser souffrances des passés dans présent
Je pense donc j’existe
Envers et contre moi et contre tous
Alors il faut je veux je dois
Penser lorsque je suis heureux
Je me donne des forces
Pour vivre pour être heureux
Pour aimer la vie pour être aimer par la vie
Ces pensées sont bienvenues
Elles mettent le cœur en habit de soirée
Ces réflexions sont mes amies
Je laisse le futur libérer le présent
Je pense donc j’existe
Envers et contre moi envers et contre vous
Heureux libéré serein apaisé
Ecrire pour mettre en ordre mes pensées
Raconte que je suis au-delà de ces pensées
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Commentaires
Si je ne devais pas avoir réussi à m’apaiser…
Je sais que j’aurais manqué de force pour vivre.
J’en ai laissé tellement dans mes combats d’avant.
Etrange pour moi que de me savoir sauvé qu’après…
Qu’après avoir accepté de n’être plus aimé et de ne plus aimer.
Il était devenu incongru que je me laisse dans cet état de dépendance.
Dépendance affective aux miens malgré tout ce que cela m’a coûté.
Merci Mirélie pour ce commentaire qui me touche et qui me sert aussi.
@mitié de Metz, Marc. Je t’embrasse.
J’ai fait un très long et douloureux chemin avant de laisser ma pensée, ma réflexion m’amener à rompre avec tous les acteurs de mon passé, même les plus intimes… J’ai orienté alors mes choix vers moi, uniquement moi et cela a été salvateur et libérateur de ces fantômes de qui je pensais devoir attendre le seul bon vouloir, vouloir de moi. J’ai rejeté ce mal, il n’a plus de prise sur moi, il n’en aura jamais plus et depuis je vis au moins en harmonie avec moi dans ma vie… Merci pour ce commentaire, il me touche beaucoup car si proche de ma vérité. @micalement, Marc de Metz.
J’ai toujours eu des amis(es) très très proches, toujours.
Mais je suis allé au bout de mes souffrances malgré eux.
J’y suis allé malgré l’amour que j’avais pour mes enfants.
Mais je ne trouvais alors plus capable d’être leur père…
Je n’ai jamais eu envie et besoin d’avoir de l’aide des médecins.
La seule chose que je sais avoir faite est celle-ci, la plus importante.
Je me suis accepté plus aimé par mes parents puis par mes enfants.
Mais en même temps j’ai accepté moi de les désaimer aussi…
Je me suis donné le droit de vivre sans plus partager la vie des miens.
Mais je ne renie rien de tout ce que nous avons vécu d’heureux ensemble.
Sauf que tout cela est devenu qu’intime et le plus souvent secret pour moi.
J’ai simplement accepté que je ne devais plus ne me situer qu’en fils et père.
Mais j’ai mis des années à comprendre que j’en avais le simple droit…
Il est trop cruel de se vouloir aimé toujours et de devoir se « renier » pour l’être.
Je n’ai eu qu’à me dire que je valais et mes parents et mes enfants pour revivre.
C’est simple… Juste savoir s’accepter indésirable dans la vie de ceux que tu aimes.
Après, on se retrouve simplement dans sa vie et on y retrouve sa légitimité absolue.
J’ai appris que sans famille il est pour moi plus facile de vivre en harmonie avec la vie.
En fait, personne ne semble te devoir quoi que ce soit… C’est terrible à comprendre !
Moins terrible si de ton côté tu apprends, tu décides alors de ne plus rien leur devoir…
Aucun de nous de doit se sentir prisonnier de quiconque, surtout pas d’une famille…
Une famille est pour moi un lieu de bonheur, de respect, de complicité et d’amour.
Qu’il est absurde de s’y retrouver en souffrance, en rejet, en paria… C’est assassin !
J’ai donné des années… Je ne donne plus rien et comme là la vie est devenue simple !
Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.
Savoir savourer les petits instants agréables
Bien sur que tu as raison
Ne pas raler pour rien
Ne pas se plaindre pour si peu
Quand on est passé si près du pire
On le peut
Je te comprends parfaitement Marc
Et je t'embrasseJ’ai passé mille temps dans mes pensées…
J’ai cessé de penser toujours car cela empêche de vivre normalement.
Depuis je me sens moins torturé et bien plus apte à aimer ma vie.
Bonne soirée, @mitié de Metz, Marc. @ bientôt.
Je crois, je sais, j’accepte que la pensée ne puisse pas être totalement libérée. Elle peut ne pas réussir à passer le barrage de la pudeur ou celui de la peur de trop en avouer… Mais lorsque j’écris je ne pense pas à tout cela… C’est ensuite que je peux en faire une analyse qui me permet d’écrire que malgré ma sincérité, il se peut que ma pensée reste prisonnière de moi… Merci de ces mots Loic. Ils sont puissants, je les apprécie. @mitié de Metz, Marc.
Bonjour Mirélie.
Si je suis triste, je crois m’être autorisé à exprimer cette tristesse ici.
Je la suppose alors ne plus réussir à m’étouffer…
Ces mots me semblent bien pouvoir m’affirmer être d’accord avec toi.
Je ne me sais pas dans un immense besoin de bonheur mon amie.
J’ai renoncé à « immense »… j’aime qu’il soit intime et confidentiel…
Ma vie ne m’a plus jamais plongé dans un immense bonheur depuis longtemps.
J’ai perdu cette ambition dès l’âge de quatorze ans dans ma famille…
Je n’ai rien de plus à tenter, à essayer pour plus de bonheur dans ma vie…
J’aime celui que je ressens, que je partage, que je me suis accordé.
Il est déjà si inattendu que ce serait stupide de ne pas le considérer complet.
Je t’embrasse, merci pour ce commentaire, @mitié de Metz, Marc.
Par les larmes, le corps nous montre la marche à suivre, laisser le mal partir...en acceuillant dans son esprit des pensées joyeuses.
Notre vie est ce que l'on en fait au moment présent.
Bonne journée
Je comprends ton immense besoin de bonheur, mais parfois, ces efforts nous épuisent. Si tu te donnes des forces pour être heureux, si tu essaies tout pour y arriver, Ok, et si tu y arrives tant mieux marc. Je suis avec toi et je t'embrasse bien fort
bisesLa pensée libre enlève à l’écriture ses chaines et quand on lit ce qu’elle trace on a envie de cette liberté.
Mais la pensée est-elle vraiment libre ? Des autres, elle le peut mais de soi, de ses peurs, de ses espoirs, de ce qui nous fait bien et moins bien ?
Amitiés. Loic
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bon lundi