• Mots écrits en novembre...



    Penser quand on est malheureux

    C’est se priver de forces pour vivre

    Pour être heureux pour aimer la vie

    Pour être aimé par la vie

     

    Ces pensées sont malvenues

    Elles mettent le cœur en lambeaux

    Ces réflexions sont mes ennemies

    Alors je dois je veux il faut

    Refuser souffrances des passés dans présent

     

    Je pense donc j’existe

    Envers et contre moi et contre tous

    Alors il faut je veux je dois

    Penser lorsque je suis heureux

     

    Je me donne des forces

    Pour vivre pour être heureux

    Pour aimer la vie pour être aimer par la vie

    Ces pensées sont bienvenues

     

    Elles mettent le cœur en habit de soirée

    Ces réflexions sont mes amies

    Je laisse le futur libérer le présent

    Je pense donc j’existe

     

    Envers et contre moi envers et contre vous

    Heureux libéré serein apaisé

    Ecrire pour mettre en ordre mes pensées

    Raconte que je suis au-delà de ces pensées



    « Le coeur écritoire / Amour (1968)...Je déteste ce sport régional hivernal… »
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  • Commentaires

    12
    gavroche
    Dimanche 5 Mai 2013 à 23:09
    gavroche
    comme vous l'ecrivez si bien la pensee aide a la reflection sur les autres mais surtout sur soi meme
    bon lundi
    11
    Mercredi 4 Novembre 2009 à 16:55
    Marc de Metz

    Si je ne devais pas avoir réussi à m’apaiser…

    Je sais que j’aurais manqué de force pour vivre.

    J’en ai laissé tellement dans mes combats d’avant.

    Etrange pour moi que de me savoir sauvé qu’après…

    Qu’après avoir accepté de n’être plus aimé et de ne plus aimer.

    Il était devenu incongru que je me laisse dans cet état de dépendance.

    Dépendance affective aux miens malgré tout ce que cela m’a coûté.

    Merci Mirélie pour ce commentaire qui me touche et qui me sert aussi.

    @mitié de Metz, Marc. Je t’embrasse.

    10
    Mercredi 4 Novembre 2009 à 15:20
    Marc de Metz

    J’ai fait un très long et douloureux chemin avant de laisser ma pensée, ma réflexion m’amener à rompre avec tous les acteurs de mon passé, même les plus intimes… J’ai orienté alors mes choix vers moi, uniquement moi et cela a été salvateur et libérateur de ces fantômes de qui je pensais devoir attendre le seul bon vouloir, vouloir de moi. J’ai rejeté ce mal, il n’a plus de prise sur moi, il n’en aura jamais plus et depuis je vis au moins en harmonie avec moi dans ma vie… Merci pour ce commentaire, il me touche beaucoup car si proche de ma vérité. @micalement, Marc de Metz.

    9
    Mercredi 4 Novembre 2009 à 15:01
    Marc de Metz

    J’ai toujours eu des amis(es) très très proches, toujours.

    Mais je suis allé au bout de mes souffrances malgré eux.

    J’y suis allé malgré l’amour que j’avais pour mes enfants.

    Mais je ne trouvais alors plus capable d’être leur père…

    Je n’ai jamais eu envie et besoin d’avoir de l’aide des médecins.

    La seule chose que je sais avoir faite est celle-ci, la plus importante.

    Je me suis accepté plus aimé par mes parents puis par mes enfants.

    Mais en même temps j’ai accepté moi de les désaimer aussi…

    Je me suis donné le droit de vivre sans plus partager la vie des miens.

    Mais je ne renie rien de tout ce que nous avons vécu d’heureux ensemble.

    Sauf que tout cela est devenu qu’intime et le plus souvent secret pour moi.

    J’ai simplement accepté que je ne devais plus ne me situer qu’en fils et père.

    Mais j’ai mis des années à comprendre que j’en avais le simple droit…

    Il est trop cruel de se vouloir aimé toujours et de devoir se « renier » pour l’être.

    Je n’ai eu qu’à me dire que je valais et mes parents et mes enfants pour revivre.

    C’est simple… Juste savoir s’accepter indésirable dans la vie de ceux que tu aimes.

    Après, on se retrouve simplement dans sa vie et on y retrouve sa légitimité absolue.

    J’ai appris que sans famille il est pour moi plus facile de vivre en harmonie avec la vie.

    En fait, personne ne semble te devoir quoi que ce soit… C’est terrible à comprendre !

    Moins terrible si de ton côté tu apprends, tu décides alors de ne plus rien leur devoir…

    Aucun de nous de doit se sentir prisonnier de quiconque, surtout pas d’une famille…

    Une famille est pour moi un lieu de bonheur, de respect, de complicité et d’amour.

    Qu’il est absurde de s’y retrouver en souffrance, en rejet, en paria… C’est assassin !

    J’ai donné des années… Je ne donne plus rien et comme là la vie est devenue simple !

    Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.

    8
    Mardi 3 Novembre 2009 à 23:21
    mirelie
    Savoir goûter chaque minute de bonheur
    Savoir savourer les petits instants agréables
    Bien sur que tu as raison
    Ne pas raler pour rien
    Ne pas se plaindre pour si peu
    Quand on est passé si près du pire
    On le peut
    Je te comprends parfaitement Marc
    Et je t'embrasse
    7
    Mardi 3 Novembre 2009 à 18:17
    Marc de Metz

    J’ai passé mille temps dans mes pensées…

    J’ai cessé de penser toujours car cela empêche de vivre normalement.

    Depuis je me sens moins torturé et bien plus apte à aimer ma vie.

    Bonne soirée, @mitié de Metz, Marc. @ bientôt.

    6
    Mardi 3 Novembre 2009 à 18:03
    Marc de Metz

    Je crois, je sais, j’accepte que la pensée ne puisse pas être totalement libérée. Elle peut ne pas réussir à passer le barrage de la pudeur ou celui de la peur de trop en avouer… Mais lorsque j’écris je ne pense pas à tout cela… C’est ensuite que je peux en faire une analyse qui me permet d’écrire que malgré ma sincérité, il se peut que ma pensée reste prisonnière de moi… Merci de ces mots Loic. Ils sont puissants, je les apprécie. @mitié de Metz, Marc.

    5
    Mardi 3 Novembre 2009 à 09:25
    Marc de Metz

    Bonjour Mirélie.

    Si je suis triste, je crois m’être autorisé à exprimer cette tristesse ici.

    Je la suppose alors ne plus réussir à m’étouffer…

    Ces mots me semblent bien pouvoir m’affirmer être d’accord avec toi.

    Je ne me sais pas dans un immense besoin de bonheur mon amie.

    J’ai renoncé à « immense »… j’aime qu’il soit intime et confidentiel…

    Ma vie ne m’a plus jamais plongé dans un immense bonheur depuis longtemps.

    J’ai perdu cette ambition dès l’âge de quatorze ans dans ma famille…

    Je n’ai rien de plus à tenter, à essayer pour plus de bonheur dans ma vie…

    J’aime celui que je ressens, que je partage, que je me suis accordé.

    Il est déjà si inattendu que ce serait stupide de ne pas le considérer complet.

    Je t’embrasse, merci pour ce commentaire, @mitié de Metz, Marc.

    4
    Max
    Mardi 3 Novembre 2009 à 08:36
    Max
    Par la pensée, on peut changer son état d'esprit...C'est un peu ça, la force et la magie de l'esprit...Il suffit d'orienté ses pensées vers le bonheur, la joie de vivre...et le sourire viendra.
    Par les larmes, le corps nous montre la marche à suivre, laisser le mal partir...en acceuillant dans son esprit des pensées joyeuses.
    Notre vie est ce que l'on en fait au moment présent.
    Bonne journée
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    3
    Lundi 2 Novembre 2009 à 23:24
    mirelie
    On ne peut pas se forcer à être heureux, Marc. On peut essayer, mais parfois, la tristesse est là et moi, je pense qu'il faut la laisser s'exprimer sans l'étouffer.
    Je comprends ton immense besoin de bonheur, mais parfois, ces efforts nous épuisent. Si tu te donnes des forces pour être heureux, si tu essaies tout pour y arriver, Ok, et si tu y arrives tant mieux marc. Je suis avec toi et je t'embrasse bien fort
    2
    Lundi 2 Novembre 2009 à 23:12
    aubert59
    un écrit magnifiqueque je vais garder , il exprime tout un chemnement de vie à faire, et il faut le faire si on veut se sortir de l'impasse où l'on se trouve, ne pas ressasser le passé et vivre pour le présent, l'avenir, c'est dur il faut de nombreux efforts, admettre que l'on a souffert mais ça on le sait et que maintenant la page est tournée, que nous avons une vie nouvelle qui s'offre à nous mais comment oublier tout le mal que l'on a subit, comment oublier de bons moment passés avec des êtres disparus pour le long voyage, seul on ne eput pas le faire, il faut être entouré par des amis sincères, des proches sur qui on peut se reposer, et voir également le corps médical
    bises  
    1
    Lundi 2 Novembre 2009 à 11:17
    Loic

    La pensée libre enlève à l’écriture ses chaines et quand on lit ce qu’elle trace on a envie de cette liberté.

    Mais la pensée est-elle vraiment libre ? Des autres, elle le peut mais de soi, de ses peurs, de ses espoirs, de ce qui nous fait bien et moins bien ?

    Amitiés. Loic

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